L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[5].
En 2016, la commune comptait 279 habitants[Note 1], en évolution de −10,58 % par rapport à 2010 (Landes : +5,78 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Fontaine Notre-Dame-des-Douleurs : une procession se rendait jadis à la source le lundi de Pentecôte et le troisième dimanche de septembre. Elle reste fréquentée de nos jours tout au long de l'année pour traiter les rhumatismes et les dérangements intestinaux. Son eau a une odeur fortement sulfureuse[8].
Église Saint-Martin de Garrosse.
Fontaine Notre-Dame-des-Douleurs.
Garrosse dans les arts
Dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[9], le poète se réfère à un village qu'il appelle Garosse. Ce village n'existe pas sous cette orthographe.
François Batbedat (1745-1806), négociant et homme politique, implante et diffuse le pin sylvestre à partir de ses terres de Garrosse, dans les Landes de Gascogne.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
↑Rites et signes religieux, panneau de présentation de la fontaine rédigé par la communauté de communes du Pays Morcenais, consulté sur place le 20 septembre 2012
↑Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN2-232-12242-5), p. 373-375