Goffredo Parise passe une enfance difficile et solitaire auprès de sa mère Ida Wanda Bartoli, jusqu'à ce qu'elle se marie en 1937 avec Osvaldo Parise, directeur du « Giornale di Vicenza », avec qui l'enfant nouera une solide relation affective.
À 15 ans, il entre dans la Résistance vicentine. Délaissant les études, il écrit pour des quotidiens qui l'ouvrent à l'écriture critique puis narrative.
En 1951, il écrit son premier roman, L'Enfant mort et les comètes (Il ragazzo morto e le comete), une sorte d'autobiographie marquée de réalisme magique. Mais c'est surtout avec Odeur de Sainteté (Il prete bello, 1954), récit des tentations d'un prêtre traduit dans de nombreux pays, que l'écrivain se fera connaître. Avec Il padrone, il sera lauréat du prix Viareggio en 1965. En 1969, il recevra le prix Campiello avec Il crematorio di Vienna, puis le prix Strega1982, avec Sillabario II .
Abécédaire (Sillabario I, 1972 ; Sillabario II, 1982), L’Arpenteur/Gallimard, 1989.
La Colline des sept-vents, suivi de Se faire un chez soi et de Tout passe (extrait de Il crematorio di Vienna, 1969 et des Opere, [1989]), L’inventaire, 1999, bilingue.
L’Odeur du sang (L’odore del sangue, [1997]), roman, Albin Michel, 1997.
Bibliographie critique
Collectif, Les illuminations d’un écrivain : influences et recréations dans l’œuvre de Geoffredo Parise, colloque organisé en collaboration avec l'Istituto Italiano di Cultura de Paris et le Musée des beaux-arts de Caen, université de Caen, MRSH, . Actes publiés sous la direction de Paolo Grossi, Presses universitaires de Caen, 2000.
Filmographie
Scénariste
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