Son « lyrisme formel d'un médiévisme revisité par la dynamique baroque »[2] fait se côtoyer des figurations classiques et des représentations fantastiques dont le tétramorphe, symboles des quatre évangélistes, les têtes des douze apôtres, des fleurs d’aster tentaculaires, deux immenses bobèches, trois lutrins marqués de l’Alpha et de l’Oméga, le plus grand étant supporté par l'aigle de saint Jean aux ailes flamboyantes et déployées sur lesquelles le graduel est installé[3].