Il termine sa vie au Prieuré d'Anzy-le-Duc. Un seigneur local du nom de Liébaud, lui donne un vaste domaine où il construit un hôpital dans le même temps que le prieuré en 876. En 1023 ses reliques sont translatées et portées au concile d'Anse (1025) où il fait un miracle. Ses reliques enchâssées sont exposées à la vénération de tous jusqu'en 1562 où elles sont brûlées et dispersées par les Huguenots[1].
La crypte de l'église priorale, siège de ses reliques avant la profanation, récemment fouillée et dégagée est rendu au culte après avoir servi de cave pendant la Révolution ; un gisant du bienheureux y est replacé.
Notes et références
↑Paul Guerin, Les petits Bollandistes : vie des saints, t. 4, Paris, Bloud et Barral, (lire en ligne), p. 928-930.