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Un autre tableau, de Charles Ronot (1820-1895), Les Derniers Montagnards[5], réalisé en 1882, représente les suicides ou tentatives de suicide héroïques des six députés condamnés à la guillotine, le 17 juin 1795, pour avoir soutenu l'insurrection : Romme, Goujon, Duquesnoy, Bourbotte, Duroy et Soubrany.
En 1869 dans un roman inachevé, resté longtemps inédit, Le Chevalier de Sainte-Hermine, Alexandre Dumas père brode en inversant les données politiques. Sous Napoléon des martyrs se suicident collectivement selon le même mode opératoire que ceux de l'an III pour échapper à la condamnation à mort : mais ce sont des chouans contre-révolutionnaires.
Françoise Brunel et Sylvain Goujon (préf. Bronislaw Baczko), Les martyrs de Prairial : textes et documents inédits, Genève, Georg, , 478 p. (présentation en ligne).
Sergio Luzzatto, « Le rêve d'un « lit de justice » populaire au printemps de l'an III », Annales historiques de la Révolution française, no 304 « Gilbert Romme. Actes du colloque de Riom (19-20 mai 1995) », , p. 361-372 (lire en ligne).
John Renwick, « Les « Martyrs de Prairial » : légende bleue, légende blanche, légende rouge », Annales historiques de la Révolution française, no 304 « Gilbert Romme. Actes du colloque de Riom (19-20 mai 1995) », , p. 417-429 (lire en ligne).
Evgeniĭ (Eugène) Viktorovitch Tarlé (trad. du russe par Jean Champenois), Germinal et Prairial, Moscou, Éditions en langues étrangères, , 408 p. (présentation en ligne).
Kåre Dorenfeldt Tønnesson, La Défaite des sans-culottes : mouvement populaire et réaction bourgeoise en l'an III, Oslo / Paris, Presses universitaires d'Oslo / R. Clavreuil, , XX-456 p. (présentation en ligne).