Johann Hari a écrit pour plusieurs publications dont The Independent (Londres) et The Huffington Post et a écrit des livres sur le thème de la guerre contre la drogue, la monarchie et la dépression.
Prix Orwell du journalisme politique en 2008 (révoqué en 2011)[2].
Journaliste de l'année aux Stonewall Awards en 2009.
Controverses
Johann Hari a été accusé de plagiat en 2011, pour avoir présenté des informations issues de sources écrites comme si elles lui avaient été rapportées directement[3]. Hari a admis les faits[4]. Il a été déchu de son prix George-Orwell reçu en 2008 pour un article inspiré et copié sur un article du Spiegel allemand[5].
Hari a, à la même époque, été identifié comme l'auteur de modifications malveillantes, sous pseudonyme anonyme, des pages Wikipédia de certains journalistes ayant critiqué son travail[3],[6],[7].
↑ a et bDeans, Jason et Kiss, Jemima, « Johann Hari suspended from the Independent following plagiarism row », The Guardian, London, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Andrew Anthony, « Johann Hari: ‘I was afraid to dismantle the story about depression and anxiety’ », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).
↑Serge July, Dictionnaire amoureux du journalisme, Paris, Plon, , 917 p. (ISBN978-2-259-20599-3), p. 81
↑Hari, Johann, « Johann Hari: A personal apology », The Independent, London, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Decca Aitkenhead, « Johann Hari: ‘I failed badly. When you harm people, you should shut up, go away and reflect on what happened' », The Guardian, (lire en ligne, consulté le ).