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Sites particuliers :
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Géologie
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Hydrographie
La commune est arrosée par :
le Ruisseau de Bourdiole, affluent de la Béous, qui prend sa source sur la commune[1] ;
le torrent de la Béous, affluent de la rivière Drôme, qui prend également sa source sur la commune[2] ;
l'Amenlier est un ravin attesté en 1891. C'est un affluent du Ruisseau de Bourdiole qui était nommé rivus defluens a collo Mote (ruisseau descendant du col de la Motte) en 1518 (terrier de l'évêché de Die)[3].
l'Amenlière est un ruisseau attesté en 1891. Il a sa source sur la commune et se jette dans l'Aubergerie (commune de Bellegarde)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 029 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bellegarde-en-Diois à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Voies de communication et transports
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Urbanisme
Typologie
Au , Jonchères est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (73,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), prairies (5,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) est premièrement possédée par une famille de son nom.
1332 : elle passe aux Agoult.
Elle est acquise par les évêques de Die, derniers seigneurs.
Avant 1790, Jonchères était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église était dédiée à saint André. La cure était de la collation du chapitre de Die. Les dîmes appartenaient à un prieur séculier établi vers la fin du XVIIe siècle.
La châtellenie de Jonchères avait la même étendue que la commune de ce nom[18].
De la Révolution à nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Luc-en-Diois[18].
Dans les années 1800, Jonchères avait sa foire annuelle le . En 2017, un résident de Jonchères a trouvé dans un vide-grenier un document au sujet de cette foire[réf. nécessaire]. Le document est daté du et signé par le maire, monsieur Garcin. Il a été imprimé par l’imprimerie de Jules Chevalier à Die.
« Le Public est prévenu, qu'ensuite de l'Ordonnance Royale du , il a été établi une Foire dans la commune de Jonchères, canton de Luc-en-Diois, qui aura lieu le de chaque année. La route de Die à Nyons, tracée dans cette commune et déjà praticable jusqu'auprès du village, rend le transport des marchandises tout à fait facile, et la position locale de Jonchères, relativement aux denrées et bestiaux dont les alentours abondent considérablement, offre, aux Marchands qui voudront bien venir tenir cette Foire, les avantages les plus lucratifs. Cette année il y aura plusieurs prix d'encouragement. Donné pour rendre public, à Jonchères le »
Au XIXe siècle, l'économie de la commune était basée sur le seigle, l'avoine, les noix et les pâturages[réf. nécessaire].
Dans les années 1900, les fermiers autour de Jonchères commencent à planter de la lavande mais le dernier champ de lavande à Jonchères sera abandonné dans les années 2000. La lavande continue à être récoltée dans le reste de la Drôme[réf. nécessaire].
Création d'une foire en application de l'Ordonnance royale du 26 octobre 1834.
Le village de Jonchères (Drôme) dans les années 1900.
Plaque de cocher.
Monument aux morts.
Politique et administration
Tendance politique et résultats
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Administration municipale
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Politique environnementale
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Finances locales
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Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2022, la commune comptait 26 habitants[Note 1], en évolution de −10,34 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
1789 : 261 habitants, y compris enfants, domestiques et bergers[réf. nécessaire].
Le recensement constate que le nombre d'habitants varie annuellement en raison du nombre des domestiques et des bergers[réf. nécessaire].
Le recensement constate aussi que la plupart des maladies du lieu sont dues à :
« la mauvaise nourriture des habitants qui sont nés pauvres dans la plus grande partie. »
« Le sol ne produit que du blé, du seigle, des légumes et peu de foin n’y ayant aucun arrosage, ni aucune autre espèce de récolte. »
« Les montagnes sont garnies dans une grande partie de bois rabougris qui ne peuvent servir que pour le feu. On observe que la montagne du côté du couchant qui sépare la communauté de celle de Volvent est presque toute dégarnie de bois, extrêmement rampante, que la fonte des neiges et les grandes pluies commencent à faire des torrents qui emporteront dans la suite une très grande partie des bon fonds de la paroisse. »[réf. nécessaire]
En 1836, Jonchères a connu le maximum d'habitants, 339. Depuis, la population a diminué : 164 en 1901, 69 en 1936, 50 en 1975[réf. nécessaire].
Randonnées : forêt domaniale du Claps, montagnes de Volvent, Montenier, de Proloubeau, de Boutarinard, col de Premol (964 m, point de vue)[réf. nécessaire].
Sports
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Médias
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Cultes
L'église et la communauté catholique de Glandage sont rattachées à la paroisse Saint-Marcel en Diois, laquele couvre 37 communes et dépend du Diocèse de Valence[24].
Économie
Agriculture
En 1992 : pâturages (ovins, caprins), bois, lavande[16].
Le dernier champ de lavande à Jonchères fut abandonné dans les années 2000[réf. nécessaire].
En 2017, il ne reste qu'un fermier dans la commune avec son troupeau de moutons et chèvres. Il n'y a pas de commerce dans le village. L'ancien four du village a été transformé en petite pizzeria-restaurant, ouverte pendant les périodes de vacances[réf. nécessaire].
Tourisme
Panoramas : col de Prémol, montagne de Praloubeau, montagne de Monténier[16].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (L'Amenlier).
↑J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (L'Amenlière).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )