À partir de juin 1951, la Belgique doit faire face à ses obligations dans le cadre de l'adhésion à l'OTAN, et la base de Kleine-Brogel est retenue pour accueillir des escadres de chasseurs et de chasseurs bombardiers. Kleine-Brogel est depuis lors l'un des deux aérodromes militaires les plus importants de Belgique (l'autre étant la base de Florennes).
La base est soupçonnée d'accueillir des armes nucléairesaméricaines, en contradiction apparente avec l'article 2 du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires. La Belgique n'a jamais ni infirmé ni confirmé cette présence, même si, le , le ministre de la Défense Pieter De Crem a admis l'existence d'une capacité nucléaire à Kleine-Brogel; ce qui a été confirmé le par la publication de câbles diplomatiques sur le site Wikileaks[2],[3],[4].
Météo
La station météorologique de Kleine-Brogel, existant depuis 1954, a enregistré 40,6 °C le [5]. Le record précédent est le avec 39,9 °C[6].
Toujours la même station de Kleine Brogel arrive en troisième position le mardi avec −16,2 °C vers 7 h 00 du matin.
↑Les armes nucléaires dans le monde - Infographie du journal Le Monde, du 24 avril 2009, indiquant que cette commune abrite des armes nucléaires américaines, comme d'autres communes : Aviano (Italie), Büchel (Allemagne), Ghedi-Torre (Italie), İncirlik (Turquie) et Volkel (Pays-Bas)