Dans le style direct des films de l’époque, proche de la réalité, le récit raconte une journée dans la vie du débonnaire Léopold Z. Tremblay, d.s.c. (déneigeur sous contrat) à Montréal. C’est la veille de Noël. On suit pas à pas Léo du lever du jour jusqu’à la messe de minuit alors qu'une tempête de neige s'abat sur la ville et qu'il est partagé entre les obligations de son travail et celles de sa famille. Derrière cette histoire simple, plusieurs références aux événements de l’époque annoncent les grands changements que la société québécoise s’apprête à vivre : on construit le métro, l’exposition internationale de 1967 se prépare, etc.
↑Pierre Demers, « La vie heureuse de Léopold Z. ou Montréal vu par… Gilles Carle », 24 images, no 60, , p. 48 (lire en ligne [PDF])
Voir aussi
Bibliographie
Michel Coulombe et Marcel Jean, « La vie heureuse de Léopold Z. », Le Dictionnaire du Cinéma québécois. Nouvelle édition revue et augmentée par Michel Coulombe, Editions du Boréal, Montréal, 1999, 721p., p. 110, 95, 308, 346, 388, 470, 479 714, (ISBN9782890529861)
Claude Bouniq-Mercier, « Vie heureuse de Léopold Z. (La) », Guide des Films P-Z, sous la direction de Jean Tulard, Éditions Robert Laffont/(collection Bouquins), Paris, 2005, 3704p., p. 3491-3492, (ISBN9782221104538)