C'est une adaptation du spectacle de théâtre créé en 2003 par le Théâtre du Soleil[1], qui décrit les drames vécus par les réfugiés[2].
Synopsis
Le caravansérail est un lieu où se retrouvaient jadis les nomades d'Orient, où se croisent des histoires de migrants, réfugiés et clandestins en tous genres.
Serge Nicolaï, Duccio Bellugi Vanuncini et Guy-Claude François ont obtenu le Molière du meilleur décor.
Critique
Pour Le Monde, c'est une « morne succession de tableaux inanimés qui relèvent plutôt du recueil d'images édifiantes, d'une colossale naïveté. »[1]
Ce spectacle est parti de l’intérêt humain, on pourrait presque dire « militant » d’Ariane pour le centre de réfugiés de Sangatte[3].
Son spectacle n'est ni une fiction, ni une juxtaposition du théâtre et de la réalité, mais une théâtralisation du réel[4].
Notes et références
↑ a et bJérôme Provençal, « "Le Dernier Caravansérail" », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Liban Laurence, « Ariane Mnouchkine, Le Dernier Caravansérail », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
↑Lauwaert, Françoise, « Comme une écaille sur le mur : à propos de « Le Dernier caravanséra... », Civilisations. Revue internationale d’anthropologie et de sciences humaines, Université Libre de Bruxelles, no 56, , p. 159–182 (ISBN2-87263-016-3, ISSN0009-8140, DOI10.4000/civilisations.568, lire en ligne, consulté le ).
↑René Solis, « Les voix de l'exil de Kaboul à Sangatte », Libération, (lire en ligne, consulté le ).