François Mauriac s'intégrera à cette équipe en préfaçant notamment une étude consacrée à Thomas Hardy[9], puis publiant un article sur Prosper Mérimée[10].
↑Véronique Auzépy-Chavagnac, « Chapitre V. Les prémices d’une revue », dans Jean De Fabrègues et la jeune droite catholique : Aux sources de la Révolution nationale, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2231-1, lire en ligne), p. 127–152
↑Michael Einfalt, « La critique littéraire de "L'Action française" », Cahiers de l'AIEF, vol. 59, no 1, , p. 303–319 (DOI10.3406/caief.2007.1656, lire en ligne, consulté le )
↑Véronique Auzépy-Chavagnac, « Chapitre V. Les prémices d’une revue », dans Jean De Fabrègues et la jeune droite catholique : Aux sources de la Révolution nationale, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2231-1, lire en ligne), p. 127–152
↑Véronique Auzépy-Chavagnac, « Chapitre IV. Dans “le grand orage” », dans Jean De Fabrègues et la jeune droite catholique : Aux sources de la Révolution nationale, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2231-1, lire en ligne), p. 87–126