Voici une liste de sources astronomiques radio inexpliquées.
Introduction
Depuis les années 1950, la radioastronomie a permis de nombreuses découvertes mais lors des programmes d'observations comme le NVSS (NRAO VLA Sky Survey), les radiotélescopes ont détecté de nombreux signaux radio inexpliqués. L'exemple le plus connu est le signal Wow! qui a été découvert par le radio télescope de l'État de l'Ohio en 1977[1]. Un autre exemple très récent et connu est le signal GLEAM-X J162759.5−523504.3 découvert par le Murchison Widefield Array (MWA)[2]. Tous ces signaux ne sont pas expliqués car ils ne correspondent à aucun type d'objet ou phénomène stellaire connu. Les sources radio de ce type sont souvent découvertes par le NRAO à l'aide des données du Karl G. Jansky Very Large Array.
Liste
Cette liste a été érigée à l'aide de la base de données Simbad ainsi que les bases de données des découvreurs[3].
Signaux très particuliers
Nom du signal
Découvreur
Domaine d'émission
Potentielle catégorisation de l'objet ou phénomène
Ce signal est l'un des plus mystérieux de l'astronomie. Au moins huit preuves appuient la théorie du signal extraterrestre mais vu que le signal est apparu pendant 72 secondes seulement et que son découvreur était uniquement chargé de voir si des signaux pouvaient être détectés, nous ne pouvons pas savoir s'il s'agit bien d'un signal extraterrestre ou d'un nouveau type de phénomène exotique.
Il est resté actif pendant 72 secondes puis il a disparu.
Le signal est resté actif et régulier pendant le mois de janvier 2018. Il ne donna pas de signe de vie la moitié du mois suivant puis il est redevenu actif le reste du mois de mars. Depuis, silence radio.
Ce candidat possède des caractéristiques qui ont conduit à le considérer avec scepticisme. La source est située entre les constellations des Poissons et du Bélier, une région dans laquelle aucune étoile n'a jamais été observée jusqu'à 1 000 années-lumière de la Terre. C'est aussi un signal très faible. La fréquence du signal a une montée rapide de la dérive, évoluant entre 8 et 37 hertz par seconde. Si la cause est l'effet Doppler, cela indiquerait que l'émission est en provenance d'une planète dont la vitesse de rotation sur son axe est près de 40 fois plus rapide que la Terre. Chaque fois que le signal a été détecté, il était de nouveau à environ 1 420 MHz, la fréquence d'origine, avant de dériver à nouveau.
La fréquence du signal a une montée rapide de la dérive, évoluant entre 8 et 37 hertz par seconde
Ce signal est l'un des premiers signaux à avoir comme auteur un possible trou blanc. Au vu de sa classification, ce signal subit un intense effort de recherche pour définir son origine pour le moins excitante[7].
Le signal est apparu comme un pic très violent de 102 secondes. Depuis, il se maintient dans des fréquences très basses.
Selon les données du Pan-STARRS, ce signal semble venir d'une nébuleuse planétairetrès peu brillante. Les données du 2MASS semblent aussi appuyer la théorie de la nébuleuse planétaire mais les données du PanSTARRS montrent que le signal est décalé par rapport à la nébuleuse. Au vu de cette description, l'objet semble être une naine blanche expulsée lors de la fin de vie de la géante rouge qui lui a donné vie[11].
Le signal varie sous la forme d'une pulsation, ce qui ferait que l'objet émetteur serait une naine blanche à pulsations.
Selon les données du Pan-STARRS et celle du AKARIS, le signal viendrait d'une galaxie elliptique très lointaine, même si les données du WISE nous montrent que la galaxie est décalée par rapport au signal.
Selon les données du Pan-STARRS ainsi que celles du WISE, ce signal semble venir d'une galaxie elliptique très lointaine mais il ne correspond à aucun phénomène ou type d'objet connu.
Cette source radio semble venir de nulle part mais les données du Pan-STARRS relèvent un objet possédant un très grand décalage vers le rouge à cet endroit.
Selon les données du NVSS, il est apparu pendant quelques heures puis il a disparu.
Si l'on utilise l'imagerie du DSS, le signal semble se situer dans l'amas de galaxiesSDSS J133814.36+631141.5 mais si l'on utilise les données du SDSS et celle du PanSTARRS le signal semble venir d'une galaxie très lointaine ou un quasar se cachant derrière l'amas[16],[17].
Le signal est continu même s'il semble être variable.
Si l'on prend les données du SDSS et celles du DSS, ce signal semble être dans la galaxie SDSS J135937.23+625734.9 mais les données plus précises du Pan-STARRS montrent que le signal se situe bien derrière la galaxie. Les données du FERMI montrent que l'objet qui émet ce signal est à l'origine d'un événement d'une rare violence. Cet événement s'apparente à une éruption galactique mais cela n'est pas sûr[14],[16],[17],[22],[44].
NRAO VLA Sky Survey et le Westerbork Northern Sky Survey
Radio
Selon les données du NRAO VLA Sky Survey ainsi que celles du Westerbork Northern Sky Survey, ce signal viendrait de la galaxie spiraleIC 1210. Il serait dû à un microquasar en train de disloquer une étoile. Au vu des émissions radio, le micro quasar aurait une masse de 21 masses solaires[53].
Le signal varie un peu, ce qui montre que la théorie du microquasar semble la plus logique car une nova ou autre produirait un flash mais, là, c'est un signal continu.
Ce signal semble avoir pour origine un sursaut gamma venant d'un magnétar. Le seul problème c'est que ce signal produit des pics radio toutes les 10 heures, ce qui signifie que NVSS J131147+631930 est un objet d'un nouveau type[4],[22].
Ce signal se définit par un pic radio toutes les 10 heures.
Selon les données du NRAO VLA Sky Survey ainsi que celles du Pan-STARRS, ce signal serait un FRB venant d'une géante rouge. Il viendrait d'une éruption de l'étoile qui aurait interagi avec un ou des nuages de gaz mais le signal pourrait venir de derrière l'étoile et il serait donc distordu par cette dernière[62].
Selon les données du Pan-STARRS, ce signal se situe à côté d'une naine blanche. Au vu de ces observations, le signal semble venir d'une éruption de la naine blanche mais le signal pourrait venir d'un objet caché par cette dernière[11],[13].
Le signal est apparu comme un flash de 2 semaines puis il a disparu.
Avec les données du Pan-STARRS, on peut observer que le signal semble venir d'une éjection de masse coronale d'une naine rouge mais les données du GALEX ne détectent pas d'éjection de gaz ; donc, soit les gaz émis par l'éjection n'émettent pas d'ultraviolet, soit le signal se situe bien derrière la naine rouge[11].
Grâce aux données du Pan-STARRS data release 1, on voit que le signal se superpose quasiment avec une naine blanche. Au vu de cet alignement, on pourrait dire qu'il s'agit d'une nova radio mais les deux ne semblent pas s'aligner parfaitement, ce qui voudrait dire qu'il s'agit d'une source radio se situant derrière la naine blanche. De plus, le signal est noté WN, ce qui signifie qu'il est polarisé. Ce fait rajoute encore plus de questions[9],[13],[18],[73].
Selon les données du WISE, ce signal entoure une naine rouge, ce qui montrerait que ce serait une simple éruption mais les données du FERMI montrent que le signal possède une grande émission gamma, ce qui ne colle pas avec une éruption de naine rouge : si c'était une éruption, alors il s'agit d'un phénomène stellaire d'un nouveau type[11],[22],[75].
Selon les données du WISE, ce signal entoure une naine rouge, ce qui montrerait que se serait une simple éruption mais les données du FERMI montrent que le signal possède une grande émission gamma, ce qui ne colle pas avec une éruption de naine rouge : si c'était une éruption, alors, il s'agirait d'un phénomène stellaire d'un nouveau type[11],[22].
Selon les données du DSS, celles du SDSS et celles du PanSTARRS, ce signal se situe autour d'une naine rouge, ce qui laisse penser que le signal est originaire d'une éruption radio mais les données du WISE montrent que la naine rouge n'est pas en éruption. Donc le signal se situerait derrière la naine rouge[11].
Le signal est assez stable même s'il présente une légère variabilité.
Grâce aux données du Pan-STARRS data release 1, on voit que le signal se superpose quasiment avec une naine blanche. Au vu de cet alignement, on pourrait dire qu'il s'agit d'une nova radio mais les deux ne semblent pas s'aligner parfaitement, ce qui voudrait dire qu'il s'agit d'une source radio se situant derrière la naine blanche. De plus, le signal est noté WN, ce qui signifie qu'il est polarisé. Ce fait rajoute encore plus de questions[9],[13],[18],[78].
Ce signal est en fait un double signal radio. Au vu des fréquences et des positions des deux signaux, il semble que la source des deux signaux soit des quasars jumeaux. Le premier quasar serait MY 162337.2+623354.8 et l'autre serait NVSS J162415+622709[82],[83].
Ce signal est en fait un double signal radio. Au vu des fréquences et des positions des deux signaux, il semble que la source des deux signaux soit des quasars jumeaux[82]. Le premier quasar serait WN B1622.5+6240a et l'autre serait WN B1622.5+6240b[84].
Les données du PanSTARRS ainsi que celles du Westerbork Northern Sky Survey montrent que ce signal semble venir d'un blazar massif (plus de 5 milliards de masses solaires) très lointain (environ 10 milliards d'années-lumière). Cette théorie s'appuie sur le fait que le signal NVSS J162130+622513 a été détecté au dessus de 7C 162053.30+623216.00, ce qui ferait que NVSS J162130+622513 serait le jet du Blazar. Ce fait s'appuie sur les niveaux d'énergie des deux signaux[86],[85],[87],[88].
Les données de Chandra ainsi que celles du NRAO VLA Sky Survey montrent que ce signal X et radio vient d'un possible quasar. Au vu des données renvoyées par Chandra, le trou noir central de CXOMP J154902.0+624754 aurait une masse de 900 millions de masses solaires[90].
Ce signal émet dans plusieurs bandes de fréquence. Ces bandes de fréquences sont associées à un type très exotique et encore incertain de quasar très massif (plus de 1 milliard de masses solaires). Ce type de quasar est nommé 4LAC FSRQ[92].
Ce signal est un grand flash radio continu qui ne semble venir de nulle part. En effet, aucun télescope ayant photographié sa région ne l'a détecté, sauf le NRAO VLA Sky Survey. Il serait un blazar très peu massif (de l'ordre de 1 à 10 millions masses solaires) et très lointain (sûrement plus de 10 milliards d'années lumières)[94]. Il est aussi relié à la source radio NVSS J153926+625010[95]. Elle serait due au possible jet du blazar.
Les données du NRAO Sky Survey montrent que ce signal est un flash continu de haute énergie.
Les données du NRAO VLA Sky Survey montrent que ce signal émet dans une large bande de fréquences radio. Les données du PanSTARRS montrent qu'un objet très peu lumineux possédant un grand redshift siège à la place du signal. Il semble venir d'un objet très lointain comme un blazar similaire à Q0906+6930[9],[96].
Les données du NRAO VLA Sky Survey montrent que l'objet émet un signal continu.
Selon les données du FERMI ainsi que celles du WISE, ce signal serait dû à un nouveau type de blazar très énergétique. Ce type de blazar est temporairement nommé « blazar Y-ray »[98].
Avec toutes les données des relevés astronomiques qui l'ont imagé, cet objet semble être un nouveau type de blazar/objet BL Lacertae. En effet, il semble être un type tout à fait exotique de trou noir très énergétique d'une activité très stable[100].
Cet objet est à l'origine du signal NVSS J152028+625034 qui est un signal assez énergétique et très stable.
Avec toutes les données des relevés astronomiques qui l'ont imagé, cet objet semble être un nouveau type de quasar/blazar/objet BL Lacertae. En effet, il semble être un type tout à fait exotique de trou noir très énergétique d'une activité très variable[100].
Selon les données du Sloan Digital Sky Survey, le signal vient d'un objet qui apparaît très rouge et très peu brillant. Les données montrent qu'il s'agit sûrement d'une galaxie lointaine ou un quasar[44].
Les données du NVSS caractérisent l'objet comme un bourdon radio et un radio silencieux. Les seuls objets pouvant être catégorisés comme bourdon radio sont des quasars peu actifs[106].
Ce signal est apparu pendant une petite période puis il a disparu[106].
Cet objet est assigné à la catégorie Blu-o (littéralement Blue-object). Les Blu-o sont un type de quasars hypothétiques possédant une couleur très bleue. Ce signal semble être assigné au quasar mais le type de cet objet n'est pas encore sûr[109].
Les données du NVSS caractérisent l'objet comme un bourdon radio et un radio silencieux. Les seuls objets pouvant être catégorisés comme bourdon radio sont des quasars peu actifs[106].
Ce signal est apparu pendant 10 minutes puis a disparu. Pendant ce court instant, il a été catégorisé comme un Bourdon Radio"[106]
Cet objet est assigné à la catégorie "Blu-O" (littéralement Blue-object). Les Blu-o sont un type de quasars hypothétiques possédant une couleur très bleue, ce signal semble être assigné au quasar mais le type de cet objet n'est pas encore sûr[109].
Les données du NVSS caractérisent l'objet comme un bourdon radio. Les seuls objets pouvant être catégorisés comme bourdon radio sont des quasars peu actifs[106]
Ce signal est apparu pendant 10 minutes puis il a disparu. Pendant ce court instant, il a été catégorisé comme un bourdon radio[106]
Ce signal est associé à un blazar extrêmement énergétique mais son émission infrarouge l'associe plutôt à un objet BL Lac ; cependant, l'émission gamma ne correspond pas à ces deux types d'objets. Il serait donc un blazar avec des taux d'énergie jamais vus mais il faudra le ré-étudier pour confirmer la caractérisation d'un blazar d'un nouveau type[4],[44],[87],[88],[116].
Le signal est assez variable et il est très polarisé.
Ce signal serait associé au noyau de la galaxieWISEA J133456.68+632221.6 même si les données du PanSTARRS montrent que la distance du signal ne correspond pas avec la distance de la galaxie. Selon le PanSTARRS, la source se situe bien derrière[16].
Ce signal serait associé au noyau de la galaxieWISEA J133402.29+632408.3 même si les données du PanSTARRS montrent que la distance du signal ne correspond pas avec la distance de la galaxie. Selon le PanSTARRS, la source se situe bien derrière[16].
Ce signal vient sûrement d'une grande absorption de matière par un trou noir supermassif ; ce trou noir serait un très lointain quasar. Même si l'émission X de cet objet ne correspond pas avec un quasar, il s'agirait donc d'un nouveau type d'objet[14],[106].
Le signal émet en continu même s'il semble avoir des pics[106].
Au vu de son émission gamma, il s'agirait d'un type exotique de blazar ou même un sursaut gamma mais les données du PanSTARRS ne montrent pas de source très lumineuse. Les données du 2MASS vont dans le même sens que celles du PanSTARRS [22],[44],[87],[88].
Au vu de son émission gamma, il s'agirait d'un type exotique de blazar ou même un sursaut gamma mais les données du PanSTARRS ne montrent pas de source très lumineuse. Les données du 2MASS vont dans le même sens que celles du PanSTARRS mais ni un blazar ni un sursaut gamma ne devrait émettre des ultraviolets. Il s'agirait donc d'un type d'objet ou phénomène totalement exotique[4],[22],[44],[87],[88]
Les données du WISE et celle du PanSTARRS montrent que le objet émetteur du signal possède un redshift très important. Le signal viendrait d'un quasar ou une galaxie active lointaine[106].
Selon les données du WN et celles du NRAO VLA Sky Survey il semble qu'il s'agit d'un FRB (Fast Radio Burst) mais le phénomène qui en est à l'origine n'a pas encore été déterminé[137].
Le signal a émis pendant 2 secondes puis a disparu.
Ce FRB serait dû à une éruption d'un magnétar. Cette éruption aurait propulsé du plasma qui aurait interagi avec le magnétar pour produire du plasma magnétisé. Ce plasma serait l'auteur de ce FRB[155].
Ces signaux sont reliés, il semble que seul un objet soit à l'origine mais l'origine de l'objet reste à déterminer. L'objet pourrait être un microquasar qui, pour une raison, aurait produit deux pics radio[158].
Ce FRB est associé à un pulsar très massif (2,1 masses solaires) qui posséderait un champ magnétique plus puissant que celui des pulsars classiques mais pas au niveau des magnétars[159].
La théorie du pulsar vient du fait que le radiotélescope d'Arecibo a détecté plusieurs fois ce FRB à des intervalles réguliers. Le FRB dure 0,34 seconde.
Ce FRB semble avoir pour origine un événement très énergétique. Il semble qu'il s'agit d'une kilonova entre deux magnétar très massifs, voire un magnétar détruit par un trou noir stellaire[163],[164],[165].
Ces signaux sont reliés, il semble que seul un objet soit à l'origine mais l'origine de l'objet reste à déterminer. L'objet pourrait être un microquasar qui, pour une raison, aurait produit deux pics radio[158].
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