De 1994 à 2011 il est journaliste au mensuel Alternatives économiques, responsable de la rubrique "Société".
En 2003 il fonde, aux côtés de Serge Monnin et Patrick Savidan, l'Observatoire des inégalités, organisme associatif indépendant dont l'objectif est « de dresser un état des lieux chiffré des inégalités en France et dans le monde et d'apporter des éléments d'analyse ». En 2021, il en est le directeur. Cet observatoire publie tous les deux ans un Rapport sur les inégalités en France[2].
En 2011 il fonde, avec le soutien du bureau d'études Compas, le Centre d'observation de la société française, dont le but est de dresser des tendances de la société française[3],[4].
Il a à son actif plusieurs ouvrages, et il fait paraître des articles dans la presse nationale.
Des médias audiovisuels font appel à lui à titre d'expert. Il est invité par France Culture à participer à plusieurs émissions : La Suite dans les idées (2005, 2006, 2007), Les Matins de France Culture (2014), Rue des Écoles (2017), Journal de 22H (2018), Le Temps du débat (2020)[5].
Louis Maurin (dir.) et Patrick Savidan, L'état des inégalités en France : données et analyses 2009, Paris, Belin, , 301 p. (ISBN9782701148649, OCLC493765054, BNF41379466).
Louis Maurin et Nina Schmidt, Que faire contre les inégalités? : 30 experts s'engagent, Tours, Observatoire des inégalités, , 120 p. (ISBN9782955305911, OCLC962380268, BNF45131232).
Quelques articles publiés dans la presse nationale :
« Du même auteur – Louis Maurin », Alternatives économiques, 1995-2020 (lire en ligne, consulté le ).
Élodie Maurot, « Louis Maurin : « Notre culture de la solidarité est un ciment très fort » », La Croix, (présentation en ligne).
Audrey Tonnelier, « Louis Maurin : « On ne réglera pas le problème des inégalités en s’en prenant aux 1 % les plus riches » », Le Monde, (présentation en ligne).
Marc Vignaud, « Les 20 % des Français aisés ? : « Des privilégiés qui n’en ont jamais assez » », Le Point, (présentation en ligne).
↑Margherita Nasi, « Louis Maurin : « Pour lutter contre les inégalités, il faut cibler les 20 % les plus aisés » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).