Le scénario d'Arlette Langmann s'inspire fortement de sa liaison avec Maurice Pialat[2].
Tournage
Les scènes de tournage dans la maison et jardin de la tante de Pierrot ont été tournées dans une propriété de l'avenue Jean Jaurés. Ainsi que la longue route avec la rangée d'arbres et le cours d'eau dans le vieux village de La Queue-En-Brie[3].
Le tournage laisse la place à l'improvisation des acteurs et aux aléas du tournage. Par exemple, le fait que le lit s'écroule dans la scène d'amour entre Nelly et Loulou n'était pas prévu[4].
Maurice Pialat n'a pas pu tourner toutes les scènes qu'il souhaitait tourner. À la fin du tournage, Isabelle Huppert a dû partir aux États-Unis pour tourner La Porte du paradis de Michael Cimino et n'a pu tourner les raccords que quelques mois plus tard. Quant à Gérard Depardieu, il y a certains raccords qu'il n'a jamais pu tourner[5].
Réception critique
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Le critique Maximilian Le Cain dit avoir été bouleversé par Loulou[6].
Le critique Olivier Nicklaus voit dans Loulou un grand film politique en ce qu'il montre le décalage entre les classes sociales[7].
Compétition Officielle Festival de Cannes 1980
Notes et références
↑Fiches du cinéma : Tous les films de 1980, L'Office catholique français du cinéma, , p. 289.
↑(en) Fabien Bouly, Noël Herpe, Maximilian Le Cain et Glenn Norton, « Maurice Pialat (1925 – 2003) – A Tribute », Senses of cinema, no 25, (lire en ligne).