Margaret Fuller

Sarah Margaret Fuller Ossoli, née le 23 mai 1810 à Cambridge port, devenu depuis, un quartier de Cambridge dans l'État du Massachusetts et morte le 19 juin 1850 victime d'un naufrage à proximité de Fire Island, une île de l'État de New York, est une journaliste, essayiste, correspondante de guerre, critique littéraire, traductrice et féministe américaine. Elle est connue pour être une des figures majeures du transcendantalisme ; avec Ralph Waldo Emerson elle fonde la revue littéraire The Dial (magazine littéraire) (en). Son essai Woman in the Nineteenth Century (en) paru en 1844 est un des textes fondateurs du féminisme débutant et sera un ouvrage de référence pendant plus de 150 ans pour les mouvements féministes.

Sarah Margaret Fuller est l'aînée des neuf enfants de Timothy Fuller (en) (né le 11 juillet 1778) et de Margaret Crane Fuller. La famille de Timothy Fuller descend de migrants originaires de la ville anglaise de Middleton (Essex) qui se sont installés dans le Massachusetts en 1638^{[1],[2],[3],[4]}.

Margaret Crane Fuller, née en 1789 à Canton dans l'État du Massachusetts, descend d'une famille d'artisans cultivés installés à Canton dans le Massachusetts, elle-même était maîtresse d'école avant son mariage, célébré en 1809 ^[1],[3],[4].

Timothy Fuller, un juriste diplômé de Harvard, est une figure politique importante du Massachusetts, il a été successivement élu membre du sénat du Massachusetts et membre de la Chambre des représentants des États-Unis^[1],[3],[4].

De conviction libertaire voire libertine, Timothy Fuller lit avec des sentiments contradictoires A Vindication of the Rights of Woman: with Strictures on Political and Moral Subjects de Mary Wollstonecraft, s'adonnant lui-même à des aventures avec ses étudiantes de Leicester^[4].

Déçu que son enfant aînée ne soit pas un fils, Timothy Fuller élève Sarah Margaret Fuller comme un garçon en lui donnant la meilleure formation possible de l'époque. Elle apprend la syntaxe anglaise en même temps que la grammaire latine. Dès ses sept ans elle lit Virgile, Ovide, Horace dans le texte. Adolescente, elle a accès à la bibliothèque de son père et lit des auteurs comme Shakespeare, Cervantès ou Molière ainsi que les écrivains du courant de la littérature augustine (en) et les romanciers du courant dit du roman jacobin (en). Le prix de cette éducation à la dure, sous la férule de son père, se paie par des cauchemars, des crises de somnambulisme, des hallucinations. Sarah Margaret Fuller confiera dans ses mémoires qu'elle n'a pas eu une enfance normale, que ce fut une période de tristesse et de terreurs^{[1],[3],[5],[2]}.

Quand Sarah Margaret Fuller atteint l'âge de 10 ans, elle entre au Boston Lyceum for the Education of Young Ladies, mais son père la retire deux ans plus tard en 1822. À 14 ans, elle demande à suivre des cours à la Misses Prescott'School de Groton, dans l’État du Massachusetts où Ralph Waldo Emerson enseigne, puis elle entre à la Perkins High School de Cambridge, où en dehors des cours, elle perfectionne sa maîtrise du latin, de l'italien, du grec et de la philosophie^[1],[6].

La maison familiale des Fuller étant proche de l'université Harvard, dès l'âge de 15 ans, Sarah Margaret Fuller se lie d'amitié avec des étudiants de cette université tels que Oliver Wendell Holmes, Richard Henry Dana Jr. ou du poète William Ellery Channing^[5], ainsi qu'avec plusieurs figures du transcendantalisme, comme Frederic Henry Hedge (en) ou James Freeman Clarke (en) de la promotion 1829 de l'université Harvard^[1].

En 1833, Timothy Fuller prend sa retraite et s'installe avec sa famille dans une ferme à Groton. Cette décision n'enchante guère Sarah Margaret Fuller qui se retrouve coupée de ses amis, vouée à l'éducation de ses cadets et contrainte de s'occuper de la tenue domestique de la maison, sa mère étant gravement malade. Elle continue néanmoins ses lectures, notamment celles des œuvres de Schiller, de Goethe et les classiques de la philosophie idéaliste^[1].

C'est à Groton en 1834 que Margaret Fuller fait la connaissance du pasteur unitarien William Ellery Channing, qui la présente à l'écrivaine britannique Harriet Martineau, lors de leur rencontre, cette dernière encourage Margaret Fuller à se mettre à écrire une biographie de Goethe^[1],[2].

En 1836, Margaret Fuller est invitée à séjourner pendant trois semaines dans la demeure de Ralph Waldo Emerson à Concord dans le Massachusetts. Lors de ce séjour, Margaret Fuller apprend à Ralph Waldo Emerson à lire l'allemand avec la bonne prononciation, et de son côté Ralph Waldo Emerson écrit à Thomas Carlyle pour qu'il aide Margaret Fuller à finaliser sa biographie de Goethe^{[1],[2],[7],[8]}.

En 1835, le plus jeune des frères de Sarah Margaret Fuller meurt, son père décède frappé par le choléra, elle-même est atteinte par cette épidémie venue d'Asie dont elle se remet. Son père mort, Sarah Margaret Fuller devient chef de famille^[1],[2].

Son premier article publié, une réponse à l'historien George Bancroft, paraît en novembre 1834 dans la North American Review.

En 1836, elle enseigne à la Temple School (Massachusetts) (en) de Boston, puis, de 1837 à 1839, à Providence, dans le Rhode Island.

Elle devient l'amie de Ralph Waldo Emerson et s'associe bientôt au transcendantalisme. Elle crée et édite le journal transcendantaliste, The Dial, pendant les deux premières années de sa parution, de 1840 à 1842. Quand elle entre au New York Tribune de Horace Greeley comme critique littéraire en 1844, elle devient la première journaliste de sexe féminin à travailler dans l'équipe d'un grand journal. L'historienne Jill Lepore la présente comme la femme, à son époque, la plus instruite des États-Unis.

Dans les années 1840, elle organise des groupes de discussion de femmes où l'on débattait d'une grande variété de sujets, tels que l'art, l'éducation et les droits des femmes. Un certain nombre de figures marquantes du mouvement féministe assistent à ces « conversations ». Des idées mises en avant lors de ces discussions sont développées dans son œuvre majeure, La Femme au dix-neuvième siècle (Woman in the Nineteenth Century) paru en 1845, qui plaide pour l'indépendance des femmes^[9]. Elle argumente que la lutte abolitionniste, à laquelle beaucoup de femmes ont participé, leur a permis d'obtenir une conscience de l'inégalité de leur position.

Elle est envoyée en Europe par le New York Tribune comme correspondante étrangère et interroge nombre d'auteurs éminents, comme George Sand ou Thomas Carlyle, ce dernier la décevant, notamment par ses opinions politiques réactionnaires. En Italie, elle rencontre le révolutionnaire italien Giovanni Ossoli (it), avec lequel elle se marie en 1847 et dont elle a un fils. Le couple soutient la révolution menée par Giuseppe Mazzini pour établir la République romaine, en 1849 — lui participe aux combats, tandis qu'elle se porte volontaire pour aider dans un hôpital^[10].

Elle, son mari et son fils trouvent la mort dans le naufrage du bateau qui les transportait d'Italie en Amérique vers Fire Island, près de New York. Henry David Thoreau se rend à New York pour essayer de récupérer son corps et ses écrits, mais rien n'est retrouvé. Parmi les articles perdus, il y avait le manuscrit de l'histoire de la république romaine. Plusieurs de ses écrits ont été réunis par son frère dans At Home and Abroad (1856) et dans Life Without and Life Within (1858). Un cénotaphe lui est consacré au cimetière de Mount Auburn, à Cambridge, dans le Massachusetts.

Elle est par ailleurs la grand-tante de l'architecte et ingénieur utopiste Richard Buckminster Fuller, resté célèbre pour l'invention de la forme architecturale du dôme géodésique.

• Papers on Literature and Art, New York, Wiley and Putnam (réimpr. 2008) (1^re éd. 1846), 376 p. (ISBN 9780548962510, OCLC 263028540, lire en ligne)^{[note 1]},
• Arthur B. Fuller (dir.), Art, Literature, and the Drama, Boston, Massachusetts, Brown, Taggard & Chase (réimpr. 2012) (1^re éd. 1860), 515 p. (ISBN 9781275776050, OCLC 85801424, lire en ligne),

• Summer on the Lakes, in 1843, Boston, Massachusetts, Charles C. Little and James Brown (réimpr. 1990) (1^re éd. 1 mai 1844), 276 p. (ISBN 9780252061646, OCLC 1132337043, lire en ligne),
• Larry J. Reynolds (dir.), Woman in the Nineteenth Century, New York, W.W. Norton (réimpr. 1997) (1^re éd. 1845), 324 p. (ISBN 9780393971576, lire en ligne),

• Memoirs of Margaret Fuller Ossoli, vol. 1, Boston, Massachusetts, Phillips, Sampson and Company, 1852, 354 p. (OCLC 85802626, lire en ligne),
• Memoirs of Margaret Fuller Ossoli, vol. 2, Boston, Massachusetts, Phillips, Sampson and Company, 1852, 364 p. (OCLC 1154281489, lire en ligne),

• Robert N. Hudspeth (dir.), The Letters of Margaret Fuller : 1817-1838, vol. 1, Ithaca, état de New York, Cornell University Press, 1983, 384 p. (ISBN 9780801413865, lire en ligne),
• Robert N. Hudspeth (dir.), The Letters of Margaret Fuller : 1839-1841, vol. 2, Ithaca, état de New York, Cornell University Press, 1983, 288 p. (ISBN 9781501725234, lire en ligne),
• Robert N. Hudspeth (dir.), The Letters of Margaret Fuller : 1842-1844, vol. 3, Ithaca, état de New York, Cornell University Press, 1984, 280 p. (ISBN 9780801417078, lire en ligne),
• Robert N. Hudspeth (dir.), The Letters of Margaret Fuller : 1845-1847, vol. 4, Ithaca, état de New York, Cornell University Press, 1987, 336 p. (ISBN 9780801419720, lire en ligne),
• Robert N. Hudspeth (dir.), The Letters of Margaret Fuller : 1848-1849, vol. 5, Ithaca, état de New York, Cornell University Press, 1988, 328 p. (ISBN 9780801421747, lire en ligne),
• Julia Ward Howe (dir.), Love-Letters of Margaret Fuller : 1845-1846, New York, AMS Press, 1970, 256 p. (ISBN 9780404048358, lire en ligne),

• Arthur B. Fuller (dir.), At Home And Abroad : Or, Things And Thoughts In America and Europe, Boston, Massachusetts, Crosby, Nichols, and Company (réimpr. 2016) (1^re éd. 1856), 492 p. (ISBN 9781530311576, lire en ligne)

• Arthur Buckminster Fuller (dir.), Life Without and Life Within : or, Reviews, Narratives, Essays, and Poems, Boston, Massachusetts, Brown, Taggard, and Chase (réimpr. 2016) (1^re éd. 1859), 438 p. (OCLC 561055119, lire en ligne),

• Jeffrey Steele (dir.), The Essential Margaret Fuller, Rutgers University Press, 1992, 536 p. (ISBN 9780813517780),
• Mary Kelley (dir.), The Portable Margaret Fuller, New York, Penguin Books, 1994, 580 p. (ISBN 9780140176650, lire en ligne),

• 1995 : cérémonie d'entrée de Margaret Fuller au National Women's Hall of Fame^[11].

• Dans sa préface au roman Valjoie de Nathaniel Hawthorne, André Maurois écrit que l'auteur se serait servi de la figure de Margaret Fuller (complétée par celle de l'artiste Fanny Kemble) pour son personnage de Zenobie dont le corps est retrouvé dans la rivière, comme la reine Zénobie d'Arménie.
• Alison Bechde, auteure américaine de romans graphiques évoque la vie et l’œuvre de Margaret Fuller dans son dernier ouvrage Le secret de la force surhumaine, publié en France en 2022 chez Denoël.

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

• (en-US) Paul Wilson Boyer (dir.), Notable American Women : Biographical Dictionary, vol. 1 : A-F, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press (réimpr. 1973, 1974, 1975, 1980, 2014) (1^re éd. 1971), 687 p. (ISBN 9780674288362, lire en ligne), p. 678-682. ,
• (en-US) Leonard Unger, A. Walton Litz & Molly Weigel (dir.), American Writers : A Collection Of Literary Biographies, vol. 2 : Ralph Waldo Emerson to Carson McCullers, New York, Scribner Book Company, 1974, 419 p. (ISBN 9780684136622, lire en ligne), p. 279-306,
• (en-US) Matthew J. Bruccoli (dir.), Concise Dictionary of American Literary Biography, vol. 1 : Colonization to the American Renaissance, 1640-1865, Detroit, Michigan, Gale Research, 1988, 423 p. (ISBN 9780810318199, lire en ligne), p. 120-129,
• (en-US) Suzanne Michele Bourgoin (dir.) et Paula K. Byers (dir.), Encyclopedia Of World Biography, vol. 6 : Ford - Grilliparzer, Detroit, Michigan, Gale Research, 1997, 547 p. (ISBN 9780787625467, lire en ligne), p. 150-151,
• (en-US) Steven R. Serafin (dir.) et Alfred Bendixen (dir.), Encyclopedia Of American Literature, New York, Continuum, 1999, 1309 p. (ISBN 9780826410528, lire en ligne), p. 414-415,
• (en-US) John A. Garraty (dir.) et Mark C. Carnes (dir.), American National Biography, vol. 8 : Fishberg - Gihon, New York, Oxford University Press, USA, 1999, 959 p. (ISBN 9780195127874, lire en ligne), p. 552-555. ,
• (en-US) Anne Commire (dir.) et Deborah Klezmer (dir.), Women in World History : A Biographical Encyclopedia, vol. 5 : Ead-Fur, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications / Gale Cengage, 2000, 837 p. (ISBN 9780787640644, lire en ligne), p. 818-823. ,
• (en-US) Katharine Rodier (dir.) et Amy E. Hudock (dir.), American Women Prose Writers : 1820 1870, Detroit, Michigan, Gale Group, 2001, 449 p. (ISBN 9780787646561, lire en ligne), p. 118-129,
• (en-US) Carol Berkin (dir.) et Lisa Paddock (dir.), Encyclopedia of American Literature, vol. 2 : The Age of Romanticism and Realism, 1815-1914, New York, Facts on File, 2002, 269 p. (ISBN 9780816041213, lire en ligne), p. 78-79,
• (en-US) Donna Langston, A to Z of American Women Leaders and Activists, New York, Facts on File, 2002, 291 p. (ISBN 9780816044689, lire en ligne), p. 83-84,
• (en-US) Elizabeth H. Oakes (dir.), American Writers, New York, Facts on File, 2004, 433 p. (ISBN 9780816051588, lire en ligne), p. 133-134,
• (en-US) Clay Farris Naff (dir.), Jessica Bomarito (dir.) et Janet Witalec (dir.), Feminist Literature : A Gale Critical Companion, vol. 3 : 19th century, topics & authors (C-Z), Detroit, Michigan, Gale, 2004, 585 p. (ISBN 9780787675738, lire en ligne), p. 167-198,
• (en-US) Gary B. Nash (dir.), Encyclopedia of American History, vol. 4 : Expansion and Reform 1813 to 1855, New York, Facts On File, 2010, 495 p. (ISBN 9780816071401, lire en ligne), p. 167,
• (en-US) Robert D. Habich (dir.) et Robert C. Nowatzki (dir.), Research Guide to American Literature, vol. 3 : Romanticism and Transcendentalism, 1820-1865, New York, Facts on File, 2010, 239 p. (ISBN 9780816078639, lire en ligne), p. 121-125,

• (fr) Sylvie Chaput, Margaret Fuller, 1810-1850, Montréal, province du Québec, Canada, Éditions Saint-Martin, 1988, 248 p. (ISBN 9782890351486, lire en ligne). ,

• Madeleine B. Stern, The Life of Margaret Fuller, New York, Haskell House (réimpr. 1968, 1991) (1^re éd. 1942), 584 p. (OCLC 716313773, lire en ligne),
• Joseph Jay Deiss, The Roman Years of Margaret Fuller : A Biography, New York, Funk & Wagnalls Co. (réimpr. 1969) (1^re éd. 1959), 360 p. (ISBN 9780308900981, lire en ligne),
• Paula Blanchard, Margaret Fuller : From Transcendentalism to Revolution, Reading, Massachusetts, Addison Wesley Publishing Company (réimpr. 1987) (1^re éd. 1978), 404 p. (ISBN 9780201104585, lire en ligne),
• Abby Slater, In Search of Margaret Fuller : A Biography, New York, Delacorte Press, 1978, 232 p. (ISBN 9780440039440, lire en ligne),
• David Watson, Margaret Fuller : An American Romantic, New York, Bloomsbury Publishing (réimpr. 1992) (1^re éd. 1988), 152 p. (ISBN 9780854961818, lire en ligne),
• Laurie James, Why Margaret Fuller Ossoli is Forgotten : A True Account--Typical of How Famous Women Have Been Buried in History, New York, Golden Heritage Press Inc., 1988, 88 p. (ISBN 9780944382011, lire en ligne),
• Laurie James, Men, Women, and Margaret Fuller : The Truth That Existed Between Margaret Fuller and Ralph Waldo Emerson and Their Circle of Transcendental Friends, New York, Golden Heritage Press Inc., 1990, 526 p. (ISBN 9780944382028, lire en ligne),
• Carolyn Balducci (préf. Anna Quidlen), Margaret Fuller : A Life of Passion and Defiance, New York, Bantam Books, 1991, 236 p. (ISBN 9780553351484, lire en ligne),
• Charles Capper, Margaret Fuller : An American Romantic Life, vol. 1 : The Private Years, New York, Oxford University Press, USA, 1992, 460 p. (ISBN 9780195092677, lire en ligne),
• Charles Capper, Margaret Fuller : An American Romantic Life, vol. 2 : The Public Years, New York, Oxford University Press, USA, 1992, 696 p. (ISBN 9780195063134, lire en ligne),
• Donna Dickenson, Margaret Fuller : Writing a Woman's Life, New York, St. Martin's Press, 1993, 278 p. (ISBN 9780312091453, lire en ligne),
• Marie Mitchell Olesen Urbanski (dir.), Margaret Fuller : Visionary of the New Age, Orono, Maine, Northern Lights Publishing, 1994, 400 p. (ISBN 9781880811146, lire en ligne),
• Joan Von Mehren, Minerva and the Muse : A Life of Margaret Fuller, Amherst, Massachusetts, University of Massachusetts Press, 1995, 420 p. (ISBN 9781558490154, lire en ligne),
• Laurie James, How I Got to Harvard : Off & on Stage with Margaret Fuller, New York, Golden Heritage Press, 1998, 392 p. (ISBN 9780944382035, lire en ligne),
• Meg McGavran Murray, Margaret Fuller : Wandering Pilgrim, Athens, Géorgie, University of Georgia Press, 2008, 560 p. (ISBN 9780820328942, lire en ligne),
• John Matteson, The Lives of Margaret Fuller, New York, W. W. Norton & Co., 2012, 536 p. (ISBN 9780393068054, lire en ligne),
• Megan Marshall, Margaret Fuller : A New American Life, Boston, Massachusetts, Houghton Mifflin Harcourt, 2013, 477 p. (ISBN 9780547195605, lire en ligne). ,

• « Margaret Fuller Ossoli », The Illustrated Magazine of Art, vol. 3, n^o 16,‎ 1854, p. 238-239 (2 pages) (lire en ligne )
• Richard V. Carpenter, « Margaret Fuller in Northern Illinois », Journal of the Illinois State Historical Society (1908-1984), vol. 2, n^o 4,‎ janvier 1910, p. 7-22 (16 pages) (lire en ligne ),
• Frederick A. Braun, « Margaret Fuller's Translation and Criticism of Goethe's "Tasso" », The Journal of English and Germanic Philology, vol. 13, n^o 2,‎ avril 1914, p. 202-213 (12 pages) (lire en ligne ),
• Gamaliel Bradford, « Portrait of Margaret Fuller », The North American Review, vol. 210, n^o 764,‎ juillet 1919, p. 109-121 (13 pages) (lire en ligne ),

• Granville Hicks, « Margaret Fuller to Sarah Helen Whitman; An Unpublished Letter », American Literature, vol. 1, n^o 4,‎ janvier 1930, p. 419-421 (3 pages) (lire en ligne ),
• Willard E. Martin, Jr., « A Last Letter of Margaret Fuller Ossoli », American Literature, vol. 5, n^o 1,‎ mars 1933, p. 66-69 (4 pages) (lire en ligne ),
• Harry R. Warfel, « Margaret Fuller and Ralph Waldo Emerson », PMLA, vol. 50, n^o 2,‎ juin 1935, p. 576-594 (19 pages) (lire en ligne ). ,
• Frances M. Barbour, « Margaret Fuller and the British Reviewers », The New England Quarterly, vol. 9, n^o 4,‎ décembre 1936, p. 618-625 (8 pages) (lire en ligne ),
• Louis C. Jones, « A Margaret Fuller Letter to Elizabeth Barrett Browning », American Literature, vol. 9, n^o 1,‎ mars 1937, p. 70-71 (2 pages) (lire en ligne )
• Evelyn Winslow Orr, « Two Margaret Fuller Manuscripts », The New England Quarterly, vol. 11, n^o 4,‎ décembre 1938, p. 794-802 (9 pages) (lire en ligne ),
• William Peirce Randel, « Hawthorne, Channing, and Margaret Fuller », American Literature, vol. 10, n^o 4,‎ janvier 1939, p. 472-476 (5 pages) (lire en ligne ). ,
• Austin Warren, « Hawthorne, Margaret Fuller, and "Nemesis" », PMLA, vol. 54, n^o 2,‎ juin 1939, p. 615-618 (4 pages) (lire en ligne ),

• Madeleine B. Stern, « Margaret Fuller's Schooldays in Cambridge », The New England Quarterly, vol. 13, n^o 2,‎ juin 1940, p. 207-222 (16 pages) (lire en ligne ),
• Leona Rostenberg, « Margaret Fuller's Roman Diary », The Journal of Modern History, vol. 12, n^o 2,‎ juin 1940, p. 209-220 (12 pages) (lire en ligne ),
• Leona Rostenberg, « Mazzini to Margaret Fuller, 1847-1849 », The American Historical Review, vol. 47, n^o 1,‎ octobre 1941, p. 73-80 (8 pages) (lire en ligne ),
• Arthur R. Schultz, « Margaret Fuller: Transcendentalist Interpreter of German Literature », Monatshefte für Deutschen Unterricht, vol. 34, n^o 4,‎ avril 1942, p. 169-182 (14 pages) (lire en ligne ),
• Charles A. Madison, « Margaret Fuller: Transcendental Rebel », The Antioch Review, vol. 2, n^o 3,‎ automne 1942, p. 422-438 (17 pages) (lire en ligne ),
• J. W. Thomas, « A Hitherto Unpublished Poem by Margaret Fuller », American Literature, vol. 15, n^o 4,‎ janvier 1944, p. 411-415 (5 pages) (lire en ligne ),
• Roland Crozier Burton, « Margaret Fuller's Criticism of the Fine Arts », College English, vol. 6, n^o 1,‎ octobre 1944, p. 18-23 (6 pages) (lire en ligne ),
• Leopold Wellisz, « The Friendship of Margaret Fuller d'Ossoli et Adam Mickiewicz », Bulletin of the Polish Institute of Arts and Sciences in America, vol. 4,‎ 1945-1946, p. 83-122 (44 pages) (lire en ligne ),
• J. Wesley Thomas, « A Hitherto Unpublished Textual Criticism by James Freeman Clarke of Margaret Fuller's Translation of "Tasso" », Monatshefte, vol. 41, n^o 2,‎ février 1949, p. 89-92 (4 pages) (lire en ligne ),
• Edward A. Hoyt & Loriman S. Brigham, « Glimpses of Margaret Fuller: The Green Street School and Florence », The New England Quarterly, vol. 29, n^o 1,‎ mars 1956, p. 87-98 (12 pages) (lire en ligne ),
• Derek Colville, « The Transcendental Friends: Clarke and Margaret Fuller », The New England Quarterly, vol. 30, n^o 3,‎ septembre 1957, p. 378-382 (5 pages) (lire en ligne ),

• Francis E. Kearns, « Margaret Fuller and the Abolition Movement », Journal of the History of Ideas, vol. 25, n^o 1,‎ janvier - mars 1964, p. 120-127 (8 pages) (lire en ligne ),
• Francis E. Kearns, « Margaret Fuller as a Model for Hester Prynne », Jahrbuch für Amerikastudien, vol. 10,‎ 1965, p. 191-197 (7 pages) (lire en ligne ),
• Russell E. Durning, « Margaret Fuller's Translation of Goethe's "Prometheus" », Jahrbuch für Amerikastudien, vol. 12,‎ 1967, p. 240-245 (6 pages) (lire en ligne ),
• Carl F. Strauch, « Hatred's Swift Repulsions: Emerson, Margaret Fuller, and Others », Studies in Romanticism, vol. 7, n^o 2,‎ hiver 1968, p. 65-103 (39 pages) (lire en ligne ),
• Helen Barolini, « A Study in Contrast: Effie in Venice and the Roman Spring of Margaret Fuller », The Antioch Review, vol. 28, n^o 4,‎ hiver 1968-1969, p. 461-476 (16 pages) (lire en ligne ),
• Margaret V. Allen, « "This Impassioned Yankee": Margaret Fuller's Writing Revisited », Southwest Review, vol. 58, n^o 2,‎ printemps 1973, p. 162-171 (10 pages) (lire en ligne ),
• Bell Gale Chevigny, « The Long Arm of Censorship: Myth-Making in Margaret Fuller's Time and Our Own », Signs, vol. 2, n^o 2,‎ hiver 1976, p. 450-460 (11 pages) (lire en ligne ),
• Robert N. Hudspeth, « A Calendar of the Letters of Margaret Fuller », Studies in the American Renaissance,‎ 1977, p. 49-143 (95 pages) (lire en ligne ),

• Madeleine B. Stern, « Margaret Fuller and the Phrenologist-Publishers », Studies in the American Renaissance,‎ 1980, p. 229-237 (9 pages) (lire en ligne ),
• Laraine Fergenson, « Margaret Fuller : Transcendental Feminist », The Concord Saunterer, vol. 15, n^o 4,‎ hiver 1980, p. 9-23 (15 pages) (lire en ligne ),
• Albert J. von Frank, « Life as Art in America: The Case of Margaret Fuller », Studies in the American Renaissance,‎ 1981, p. 1-26 (26 pages) (lire en ligne ),
• David M. Robinson, « Margaret Fuller and the Transcendental Ethos: Woman in the Nineteenth Century », PMLA, vol. 97, n^o 1,‎ janvier 1982, p. 83-98 (16 pages) (lire en ligne ),
• Joel Myerson, « Supplement to "Margaret Fuller: An Annotated Secondary Bibliography" », Studies in the American Renaissance,‎ 1984, p. 331-385 (55 pages) (lire en ligne ),
• Frank Shuffelton, « Margaret Fuller at the Greene Street School: The Journal of Evelina Metcalf », Studies in the American Renaissance,‎ 1985, p. 29-46 (18 pages) (lire en ligne ),
• Patricia Deery, « Margaret Fuller and Dorothea Brooke », The Review of English Studies, New Series, vol. 36, n^o 143,‎ août 1985, p. 379-385 (7 pages) (lire en ligne ),
• Bell Gale Chevigny, « To the Edges of Ideology: Margaret Fuller's Centrifugal Evolution », American Quarterly, vol. 38, n^o 2,‎ été 1986, p. 173-201 (29 pages) (lire en ligne ),
• Laraine R. Fergenson, « Margaret Fuller in the Classroom: The Providence Period », Studies in the American Renaissance,‎ 1987, p. 131-142 (12 pages) (lire en ligne ),
• Charles Capper, « Margaret Fuller as Cultural Reformer: The Conversations in Boston », American Quarterly, vol. 39, n^o 4,‎ hiver 1987, p. 509-528 (20 pages) (lire en ligne ),
• Francis B. Dedmond, « The Letters of Caroline Sturgis to Margaret Fuller », Studies in the American Renaissance,‎ 1988, p. 201-251 (51 pages) (lire en ligne ),
• Elizabeth Lennox Keyser, « Woman in the Twentieth Century: Margaret Fuller and Feminist Biography », Biography, vol. 11, n^o 4,‎ 1988, p. 283-302 (20 pages) (lire en ligne ),
• Ora Frishberg Saloman, « Margaret Fuller on Musical Life in Boston and New York, 1841-1846 », American Music, vol. 6, n^o 4,‎ hiver 1988, p. 428-441 (14 pages) (lire en ligne ),
• Jeffrey Steele, « "A Tale of Mizraim": A Forgotten Story by Margaret Fuller », The New England Quarterly, vol. 62, n^o 1,‎ mars 1989, p. 82-104 (23 pages) (lire en ligne ),
• Christina Zwarg, « Emerson as 'Mythologist' in "Memoirs of Margaret Fuller Ossoli" », Criticism, vol. 31, n^o 3,‎ été 1989, p. 213-233 (21 pages) (lire en ligne ),

• Martha L. Berg et Alice de V. Perry, « "The Impulses of Human Nature": Margaret Fuller's Journal from June through October 1844 », Massachusetts Historical Society, Third Series, vol. 102,‎ 1990, p. 38-126 (89 pages) (lire en ligne ),
• Christina Zwarg, « Feminism in Translation: Margaret Fuller's "Tasso" », Studies in Romanticism, vol. 29, n^o 3,‎ 1990, p. 463-490 (28 pages) (lire en ligne )
• Susan Rosowski, « Margaret Fuller, an Engendered West, and "Summer on the Lakes" », Western American Literature, vol. 25, n^o 2,‎ été 1990, p. 125-144 (20 pages) (lire en ligne ),
• Christina Zwarg, « Womanizing Margaret Fuller: Theorizing a Lover's Discourse », Cultural Critique, n^o 16,‎ automne 1990, p. 161-191 (31 pages) (lire en ligne ),
• Paula Kopacz, « Feminist at the "Tribune": Margaret Fuller as Professional Writer », Studies in the American Renaissance,‎ 1991, p. 119-139 (21 pages) (lire en ligne ),
• Laraine R. Fergenson, « Margaret Fuller as a Teacher in Providence: The School Journal of Ann Brown », Studies in the American Renaissance,‎ 1991, p. 59-118 (60 pages) (lire en ligne ),
• William W. Stowe, « Conventions and Voices in Margaret Fuller's Travel Writing », American Literature, vol. 63, n^o 2,‎ juin 1991, p. 242-262 (21 pages) (lire en ligne ),
• Jeffrey Steele, « Freeing the "Prisoned Queen": The Development of Margaret Fuller's Poetry », Studies in the American Renaissance,‎ 1992, p. 137-175 (39 pages) (lire en ligne ),
• Ora Frishberg Saloman, « Margaret Fuller on Beethoven in America, 1839-1846 », The Journal of Musicology, vol. 10, n^o 1,‎ hiver 1992, p. 89-105 (17 pages) (lire en ligne ),
• Nicole Tonkovich, « Traveling in the West, Writing in the Library: Margaret Fuller's Summer on the Lakes », Legacy, vol. 10, n^o 2,‎ 1993, p. 79-102 (24 pages) (lire en ligne ),
• Mary E. Wood, « "With Ready Eye": Margaret Fuller and Lesbianism in Nineteenth-Century American Literature », American Literature, vol. 65, n^o 1,‎ mars 1993, p. 1-18 (18 pages) (lire en ligne ),
• Christina Zwarg, « Footnoting the Sublime: Margaret Fuller on Black Hawk's Trail », American Literary History, vol. 5, n^o 4,‎ hiver 1993, p. 616-642 (27 pages) (lire en ligne ),
• Nancy Craig Simmons, « Margaret Fuller's Boston Conversations: The 1839-1840 Series », Studies in the American Renaissance,‎ 1994, p. 195-226 (32 pages) (lire en ligne ),
• Judith Mattson Bean, « Texts from Conversation: Margaret Fuller's Influence on Emerson », Studies in the American Renaissance,‎ 1994, p. 227-244 (18 pages) (lire en ligne ),
• Sandra M. Gustafson, « Choosing a Medium: Margaret Fuller and the Forms of Sentiment », American Quarterly, vol. 47, n^o 1,‎ mars 1995, p. 34-65 (32 pages) (lire en ligne ),
• Thomas R. Mitchell, « Julian Hawthorne and the "Scandal" of Margaret Fuller », American Literary History, vol. 7, n^o 2,‎ été 1995, p. 210-233 (24 pages) (lire en ligne ),
• Kathleen Verduin, « "The Inward Life of Love": Margaret Fuller and the "Vita Nuova" », Dante Studies, n^o 114,‎ 1996, p. 293-309 (17 pages) (lire en ligne ),
• Daniel Shealy, « Margaret Fuller and Her "Maiden": Evelina Metcalf's 1838 School Journal », Studies in the American Renaissance,‎ 1996, p. 41-65 (25 pages) (lire en ligne ),
• Joel Myerson, « Supplement to "Margaret Fuller: A Descriptive Bibliography" », Studies in the American Renaissance,‎ 1996, p. 187-240 (54 pages) (lire en ligne ),
• Kimberly VanEsveld Adams, « Feminine Godhead, Feminist Symbol: The Madonna in George Eliot, Ludwig Feuerbach, Anna Jameson, and Margaret Fuller », Journal of Feminist Studies in Religion, vol. 12, n^o 1,‎ printemps 1996, p. 41-70 (30 pages) (lire en ligne ),
• Lee Davinroy, « A Rhetoric of Reconciled Differences: Margaret Fuller's "Woman in the Nineteenth Century" », CEA Critic, vol. 60, n^o 2,‎ hiver 1998, p. 27-41 (15 pages) (lire en ligne ),
• Cynthia J. Davis, « Margaret Fuller, Body and Soul », American Literature, vol. 71, n^o 1,‎ mars 1999, p. 31-56 (26 pages) (lire en ligne ),

• Barbara Packer, « Dangerous Acquaintances: The Correspondence of Margaret Fuller and James Freeman Clarke », ELH, vol. 67, n^o 3,‎ 2000, p. 801-818 (18 pages) (lire en ligne ),
• Amanda Ritchie, « Margaret Fuller's First Conversation Series: A Discovery in the Archives », Legacy, vol. 18, n^o 2,‎ 2001, p. 216-231 (16 pages) (lire en ligne ),
• Annette Kolodny, « Margaret Fuller's First Depiction of Indians and the Limits on Social Protest: An Exercise in Women's Studies Pedagogy », Legacy, vol. 18, n^o 1,‎ 2001, p. 1-20 (20 pages) (lire en ligne ),
• Monika M. Elbert, « Striking a Historical Pose: Antebellum Tableaux Vivants, "Godey's" Illustrations, and Margaret Fuller's Heroines », The New England Quarterly, vol. 75, n^o 2,‎ juin 2002, p. 235-275 (41 pages) (lire en ligne ),
• Helen Barolini, « Effie in Venice and the Roman Spring of Margaret Fuller », The Virginia Quarterly Review, vol. 78, n^o 4,‎ automne 2002, p. 636-651 (16 pages) (lire en ligne ),
• William W. Stowe, « "Busy Leisure" Margaret Fuller, Nature, and Vacation Writing », Interdisciplinary Studies in Literature and Environment, vol. 9, n^o 1,‎ hiver 2002, p. 25-43 (19 pages) (lire en ligne ),
• Carmen Birkle, « Travelogues of Independence: Margaret Fuller and Henry David Thoreau », Amerikastudien / American Studies, vol. 48, n^o 4,‎ 2003, p. 497-512 (16 pages) (lire en ligne ),
• Susan Belasco, « "The animating influences of Discord": Margaret Fuller in 1844 », Legacy, vol. 20, n^os 1/2,‎ 2003, p. 76-93 (18 pages) (lire en ligne ),
• Larry J. Reynolds, « Subjective Vision, Romantic History, and the Return of the "Real": The Case of Margaret Fuller and the Roman Republic », South Central Review, vol. 21, n^o 1,‎ printemps 2004, p. 1-21 (21 pages) (lire en ligne ),
• Howard M. Wach, « A Boston Vindication: Margaret Fuller and Caroline Dall Read Mary Wollstonecraft », Massachusetts Historical Review (MHR), vol. 7,‎ 2005, p. 3-35 (33 pages) (lire en ligne ),
• Heidi Kolk, « Tropes of Suffering ans Postures of Authority in Margaret Fuller's European Letters », Biography, vol. 28, n^o 3,‎ été 2005, p. 377-413 (37 pages) (lire en ligne ),
• Ursula Phillips, « Apocalyptic Feminism: Adam Mickiewicz and Margaret Fuller », The Slavonic and East European Review, vol. 87, n^o 1,‎ janvier 2009, p. 1-38 (38 pages) (lire en ligne ),

• Jane Duran, « Margaret Fuller and Transcendental Feminism », The Pluralist, vol. 5, n^o 1,‎ printemps 2010, p. 65-72 (8 pages) (lire en ligne ),
• Joan R. Wry, « Emerson, the Genius Tradition, and the Aspirant Poems of Margaret Fuller », CEA Critic, vol. 73, n^o 2,‎ hiver 2011, p. 21-33 (13 pages) (lire en ligne ),
• David Greven, « New Girls and Bandit Brides: Female Narcissism and Lesbian Desire in Margaret Fuller's Summer on the Lakes », Legacy, vol. 29, n^o 1,‎ 2012, p. 37-61 (25 pages) (lire en ligne ),
• Martha L. Berg et Alice de V. Perry, « Stories Unfolded: William Hull Clarke and His Tracing of Margaret Fuller's 1844 Summer Journal », Massachusetts Historical Review (MHR), vol. 16,‎ 2014, p. 122-148 (27 pages) (lire en ligne ),
• Amber Shaw, « “Like the incense of a bad heart”: The Ethics of Industry in Sophia Hawthorne's and Margaret Fuller's English Travelogues », Nathaniel Hawthorne Review, vol. 41, n^o 1,‎ printemps 2015, p. 75-95 (21 pages) (lire en ligne ),
• Sonia Di Loreto, « Decentralizing the Digital Archive: Reconstructing Margaret Fuller's Transnationalism », Amerikastudien / American Studies, vol. 63, n^o 2,‎ 2018, p. 183-197 (15 pages) (lire en ligne ),
• Albert J. von Frank, « Margaret Fuller's Burial at Coney Island », South Central Review, vol. 65, n^o 3,‎ 2018, p. 103-112 (10 pages) (lire en ligne ),

• Fritz Fleischmann, « Dear New England », The New England Quarterly, vol. 93, n^o 3,‎ septembre 2020, p. 371-381 (11 pages) (lire en ligne ),

• Ressource relative à la recherche :
  • Stanford Encyclopedia of Philosophy
• Ressource relative à la littérature :
  • Poetry Foundation
• Ressource relative à la musique :
  • Grove Music Online
• Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :

  • American National Biography
  • Britannica
  • Brockhaus
  • Collective Biographies of Women
  • Den Store Danske Encyklopædi
  • Deutsche Biographie
  • Dictionnaire universel des créatrices
  • Dizionario biografico degli italiani
  • Enciclopedia delle donne
  • Enciclopedia italiana
  • Hrvatska Enciklopedija
  • Nationalencyklopedin
  • Proleksis enciklopedija
  • Store norske leksikon
  • Treccani
• Notices d'autorité :

  • VIAF
  • ISNI
  • BnF (données)
  • IdRef
  • LCCN
  • GND
  • Italie
  • Japon
  • CiNii
  • Espagne
  • Belgique
  • Pays-Bas
  • Pologne
  • Israël
  • NUKAT
  • Catalogne
  • Suède
  • Vatican
  • WorldCat

• Portail de la littérature américaine
• Portail du XIX^e siècle
• Portail des femmes et du féminisme