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Michel Lamy a fait ses études secondaires au lycée d’Angoulême, puis ses études supérieures à la faculté des Sciences de Bordeaux où il est successivement, moniteur, assistant, maître-assistant, maître de conférences puis professeur des universités. Il a enseigné la biologie et l'écologie à l'université de Bordeaux I de 1960 à 2000, et en a été également le vice-président de 1987 à 1995[1].
Retraité depuis à Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime) et professeur honoraire des universités, il se consacre à la vulgarisation scientifique et à la rédaction d'ouvrages autobiographiques. Il est l’auteur de vingt ouvrages à destination des étudiants, des enseignants et du grand public, dont Le grand Livre du vivant (Fayard 2001) qui a reçu le prix Royan-Atlantique 2002 et La photosynthèse du chat ou l’écologie expliquée à ma fille (Le Pommier, 2004) pour lequel il a reçu le Prix des éditions de la nature du parc naturel du Queyras, 2004. Dans Passeurs de Sciences (Sang de la Terre, 2009) il retrace son activité de vulgarisateur et ses rencontres avec d'autres passeurs de sciences : Hubert Reeves, Albert Jacquard, Axel Kahn, Boris Cyrulnik, Michel Serres, etc. Ils ont créé l'écologie politique (Sang de la Terre, 2014), est consacré à la gouvernance écologique de la France de 1971 à nos jours et à l'évolution du mouvement écologique français pendant la même période.
Il est membre fondateur de la Société internationale d’écologie humaine dont il a été le président (1980-1982). Membre du Comité départemental de l’environnement de la Gironde, dès sa création en 1991, il en fut le président (1999-2000)[réf. nécessaire].