Michel Leclerc (poète)

Biographie
Naissance	1952; Montréal
Nationalité	canadienne
Formation	Université de Bordeaux; Université de Montréal
Activités	Écrivain, essayiste, poète, romancier
Genres artistiques	Poésie, essai, fiction

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Michel Leclerc, né à Montréal en 1952, est un poète, romancier et essayiste québécois.

Biographie

Michel Leclerc poursuit ses études à l'Institut d'études politiques de l'Université de Bordeaux ainsi que des études doctorales en sociologie des sciences à l'Université de Montréal^[1].

Il travaille d'abord à l'École d'administration publique, puis au Ministère de l'Enseignement supérieur ainsi qu'à l'Industrie de Commerce. Depuis 1988, il est employé au ministère des Relations internationales. De 2008 à 2013, il occupa également le poste de Premier conseiller aux affaires francophones et multilatérales à la Délégation générale du Québec à Paris^[1]^,^[2]^,^[3].

En plus de signer des textes dans de nombreuses revues littéraires (Estuaire, Liberté, Possible), il publie régulièrement des articles scientifiques dans des revues nationales et internationales^[1].

En poésie, il fait paraitre plusieurs titres dont La traversée du réel, précédé de, Dorénavant la poésie (L'Hexagone, 1977), Écrire ou la Disparition (L'Hexagone, 1984), Le livre de l'échoppe (Éditions du Noroît, 2004), La fatigue et la cendre (Éditions du Noroît, 2007), Des mots au bord de la nuit (Éditions du Noroît, 2017), Un refuge au milieu des flammes (Éditions du Noroît, 2018) ainsi qu'Une brûlante inquiétude (Éditions du Noroît, 2020)^[3]^,^[4]^,^[5]^,^[6]^,^[7].

Comme romancier, il publie quatre romans dont Le Promeneur d'Afrique (Hurtubise, 2006) Un été sans histoire (Hurtubisde, 2007), La Fille du Prado (Hurtubise, 2008) ainsi qu'Une toute petite mort (Hurtubise, 2009)^[8]^,^[9]^,^[10]^,^[11].

Il fait également paraitre deux essais, soit La science politique au Québec (L'Hexagone, 1982) ainsi que Les enjeux économiques et politiques de l'innovation (Presses de l'Université du Québec, 1990)^[12]^,^[13].

Finaliste au Prix du Gouverneur général du Canada (1982), Michel Leclerc est également finaliste au Prix Alain-Grandbois de l'Académie des lettres du Québec (2005)^{[réf. souhaitée]}.

Président du Festival international de cinéma Vues d'Afrique (2015-2017)

Œuvres

Poésie

Odes pour un matin public, avec des dessins de Roland Giguère, Trois-Rivières, Écrits des Forges, 1972, 65 p.
La traversée du réel, précédé de, Dorénavant la poésie, Montréal, L'Hexagone, 1977, 85 p.
Écrire ou la Disparition : textes et poèmes, Montréal, L'Hexagone, 1984, 49 p. (ISBN 2890062139)
Poèmes de l’Infime amour, Montréal, Éditions du Noroît, 1997, 77 p. (ISBN 2-89018-378-5)
Comme venu des lointains, suivi de, L'instant donné, Montréal, Éditions du Noroît, 2002, 82 p. (ISBN 2-89018-490-0)
Si nos âmes agonisent, Montréal, Éditions du Noroît, 2003, 89 p. (ISBN 2-89018-513-3)
Le livre de l’échoppe, Montréal, Éditions du Noroît, 2004, 143 p. (ISBN 2-89018-529-X)
La fatigue et la cendre, Montréal, Éditions du Noroît, 2007, 132 p. (ISBN 978-2-89018-608-8)
Des mots au bord de la nuit. Poèmes 1977-2007, Montréal, Éditions du Noroît, 2017, 368 p. (ISBN 9782897660468)
Un refuge au milieu des flammes, Montréal, Éditions du Noroît, 2018, 195 p. (ISBN 9782897661205)
Une brûlante inquiétude, Montréal, Éditions du Noroît, 2020, 136 p. (ISBN 9782897662394)

Romans

Le Promeneur d'Afrique, Montréal, Hurtubise, 2006, 195 p. (ISBN 978-2-89428-944-0 et 2-89428-944-8)
Un été sans histoire, Montréal, Hurtubise, 2007, 242 p. (ISBN 978-2-89428-966-2)
La Fille du Prado, Montréal, Hurtubise, 2008, 239 p. (ISBN 9782896470952 et 9782896473564)
Une toute petite mort, Montréal, Hurtubise, 2009, 255 p. (ISBN 978-2-89647-200-0)

Essais

La science politique au Québec, Montréal, L'Hexagone, 1982, 295 p.
Les enjeux économiques et politiques de l'innovation, Montréal, Presses de l'Université du Québec, 1990, 246 p. (ISBN 2760505529)

Prix et honneurs

1982 - Finaliste : Prix du Gouverneur général du Canada^{[réf. souhaitée]}
1983 - Finaliste : Prix Alain-Grandbois de l'Académie des lettres du Québec^{[réf. souhaitée]}

Notes et références

↑ ^{a b et c} « https://cap.banq.qc.ca/notice?id=p::usmarcdef_0006295244&queryId=N-EXPLORE-9f046b46-ead6-4172-b17c-57c82504917f&posInSet=33 », sur cap.banq.qc.ca (consulté le 18 novembre 2021)
↑ Didier Fessou, « L'amoureux imaginaire », Le Soleil,‎ 20 avril 2007, p. A3.
↑ ^{a et b} Anne-Marie Voisard,, « Michel Leclerc : ça se passait le 11 septembre 2001 », Cyberpresse,‎ 18 septembre 2009
↑ « Parutions récentes », Le Nouvelliste,‎ 1^er avril 1977
↑ Jacques Paquin, « Dieu, c’est quoi? / Michel Leclerc, Le livre de l’échoppe, Montréal, le Noroît, 2004, 150 p. / Patrick Coppens, Ciel convertible, Montréal, Éditions 42e Parallèle, coll. « Distance », 2004, 116 p. / Pierre Labrie, À minuit. Changez la date, Trois-Rivières, Écrits des Forges, 2004, 94 p. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 117,‎ 2005, p. 35–36 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)
↑ « Poésie - Le cœur chevaleresque de Michel Leclerc : Une rétrospective rappelle une œuvre où l'exigence de la langue côtoie la perfection formelle », Hugues Corriveau,‎ 1^er avril 2017, p. F2.
↑ « Le cœur chevaleresque de Michel Leclerc », sur Le Devoir (consulté le 18 novembre 2021)
↑ Jean-François Crépeau, « Dany Laferrière, François Gravel, Michel Leclerc », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 137,‎ 2010, p. 26–28 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)
↑ Jean-François Crépeau, « Michel Leclerc, Michèle Plomer, François Moreau », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 135,‎ 2009, p. 24–25 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)
↑ Christian Desmeules, « Don de seconde vue », Le Devoir,‎ 1^er novembre 2008, p.F3.
↑ Marie-Claude Fortin, « Saison sèche », La Presse,‎ 20 mai 2007, p. ARTS SPECTACLES10.
↑ Pierre Saint-Arnaud, « Michel LECLERC, La science politique au Québec », Recherches sociographiques, vol. 25, n^o 1,‎ 1984, p. 145–147 (ISSN 0034-1282 et 1705-6225, DOI 10.7202/056084ar, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)
↑ André-J. Bélanger, « Michel Leclerc, La Science politique au Québec, Montréal, L’Hexagone 1982, 295 p. », Politique, n^o 4,‎ 1983, p. 188–196 (ISSN 0711-608X et 1918-6584, DOI 10.7202/041012ar, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

[:1-1] {a b et c} « https://cap.banq.qc.ca/notice?id=p::usmarcdef_0006295244&queryId=N-EXPLORE-9f046b46-ead6-4172-b17c-57c82504917f&posInSet=33 », sur cap.banq.qc.ca (consulté le 18 novembre 2021)

[2] Didier Fessou, « L'amoureux imaginaire », Le Soleil,‎ 20 avril 2007, p. A3.

[:0-3] {a et b} Anne-Marie Voisard,, « Michel Leclerc : ça se passait le 11 septembre 2001 », Cyberpresse,‎ 18 septembre 2009

[4] « Parutions récentes », Le Nouvelliste,‎ 1^er avril 1977

[5] Jacques Paquin, « Dieu, c’est quoi? / Michel Leclerc, Le livre de l’échoppe, Montréal, le Noroît, 2004, 150 p. / Patrick Coppens, Ciel convertible, Montréal, Éditions 42e Parallèle, coll. « Distance », 2004, 116 p. / Pierre Labrie, À minuit. Changez la date, Trois-Rivières, Écrits des Forges, 2004, 94 p. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 117,‎ 2005, p. 35–36 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

[6] « Poésie - Le cœur chevaleresque de Michel Leclerc : Une rétrospective rappelle une œuvre où l'exigence de la langue côtoie la perfection formelle », Hugues Corriveau,‎ 1^er avril 2017, p. F2.

[7] « Le cœur chevaleresque de Michel Leclerc », sur Le Devoir (consulté le 18 novembre 2021)

[8] Jean-François Crépeau, « Dany Laferrière, François Gravel, Michel Leclerc », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 137,‎ 2010, p. 26–28 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

[9] Jean-François Crépeau, « Michel Leclerc, Michèle Plomer, François Moreau », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, n^o 135,‎ 2009, p. 24–25 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

[10] Christian Desmeules, « Don de seconde vue », Le Devoir,‎ 1^er novembre 2008, p.F3.

[11] Marie-Claude Fortin, « Saison sèche », La Presse,‎ 20 mai 2007, p. ARTS SPECTACLES10.

[12] Pierre Saint-Arnaud, « Michel LECLERC, La science politique au Québec », Recherches sociographiques, vol. 25, n^o 1,‎ 1984, p. 145–147 (ISSN 0034-1282 et 1705-6225, DOI 10.7202/056084ar, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

[13] André-J. Bélanger, « Michel Leclerc, La Science politique au Québec, Montréal, L’Hexagone 1982, 295 p. », Politique, n^o 4,‎ 1983, p. 188–196 (ISSN 0711-608X et 1918-6584, DOI 10.7202/041012ar, lire en ligne, consulté le 18 novembre 2021)

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