La quasi-totalité d'entre eux ont été créés après la révolution de 2011 mais plusieurs d'entre eux ont fusionné ou intégré d'autres partis. Certains connaissent des défections, d'autres sont mort-nés et n'ont accompli aucune activité après leur autorisation.
Histoire
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Cette situation évolue à la suite de la révolution de 2011 : un premier gouvernement d'union nationale est formé à partir d'indépendants et de certains partis d'opposition légalisés. Le , la légalisation de tous les partis politiques et associations autrefois interdits est proclamée[2]. En date du 20 juillet, 92 nouveaux partis politiques ont été créés[3].
En outre, des élections libres sont planifiées à l'origine dans les soixante jours selon la Constitution de 1959[4] ; ces élections ont finalement lieu le [5] afin d'élire une assemblée constituante. L'« atomisation » de l'échiquier politique aurait pu être favorable aux islamistes d'Ennahdha, c'est pourquoi la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique a adopté le mode de scrutin proportionnel selon la méthode du plus fort reste, laquelle empêche un parti d'être prédominant dans l'assemblée et favorise la représentativité de la plupart des partis en compétition[6]. En outre, pour empêcher que le Rassemblement constitutionnel démocratique, parti du président déchu désormais dissous, puisse réapparaître sous une autre étiquette politique[7], la même instance propose de proclamer inéligibles ses anciens membres ayant assumé des postes de responsabilité durant les 23 années précédentes. Cette décision est fortement controversée mais l'article 15 de la loi sur l'élection de la constituante n'exclut finalement que les anciens membres du RCD ayant eu une responsabilité lors des dix dernières années ; cette loi prévoit l'établissement d'une liste nominative des personnes concernées.
Sur les 115 partis légalisés avant les élections de 2011, 97 ont présenté des listes spécifiques ou dans le cadre de coalitions, mais seuls 19 partis ont obtenu des sièges[8].
Constitution de 2014
La Constitution de 2014 établit un régime semi-parlementaire et les élections législatives qui suivent conduisent à la domination de Nidaa Tounes et d'Ennahdha[1]. Leur collaboration puis leur alliance avec l'Union patriotique libre, contribue au blocage des prises de décision[1]. Par ailleurs, Nidaa Tounes est affaibli par des dissensions qui lui font perdre son rang de premier parti au profit d'Ennahdha et conduisent à la création de plusieurs partis comme Machrouu Tounes, Tounes Awalan ou Bani Watani. Toutefois, seul le premier bénéficie d'une représentativité parlementaire[1].
Parti conservateur islamiste, non reconnu à sa fondation le , dénommé Mouvement de la tendance islamique jusqu'en 1989 ; branche des Frères musulmans en Tunisie
Fondé par des membres de Afek Tounes, le Parti démocrate progressiste (PDP), le Parti républicain, Irada, Bledi, le Parti pour la justice social démocrate (PJSD) et le Parti Al-Karama, ainsi que des groupes et des listes indépendantes
Si 250 partis politiques non reconnus sous le régime du président Ben Ali ou nouvellement constitués sont légalisés à la suite de la révolution[1], diverses fusions ont lieu par la suite :
Onze partis fusionnent le [15] pour donner naissance au Parti El Watani Ettounsi[16], avant que sept d'entre eux rejoignent L'Initiative[17]. Certains d'entre eux, à l'instar de Amor Bejaoui, chef de la Voix du Tunisien annoncent par la suite qu'ils rejoignent Nidaa Tounes de Béji Caïd Essebsi, ce dernier précisant qu'ils sont les bienvenus en adhérant individuellement et non comme représentants de partis.
L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité, le Parti Tounes El Karama et Al Amana fusionnent au sein d'Al Amen ; ils ont désormais un représentant à l'assemblée constituante après le ralliement de Moez Kammoun, élu de la Pétition populaire pour la liberté, la justice et le développement.
Le Parti pour le progrès[18] est absorbé par Afek Tounes[19]. Ensuite, sept partis — dont le PDP, le Parti républicain, Afek Tounes, Al Irada, le Mouvement Bledi et le Parti pour la justice social-démocrate — fusionnent sous le nom d'Al Joumhouri[11]. Toutefois, des membres de la constituante et plusieurs fédérations régionales du PDP refusent cette fusion et lancent le Courant réformateur, devenu par la suite l'Alliance démocratique. En 2014, plusieurs figures d'Al Joumhouri quittent le parti pour rejoindre Nidaa Tounes ; Afek Tounes s'en détache pour reformer le parti mené par Yassine Brahim.
Le Mouvement des patriotes démocrates (MOUPAD) entre en discussion avec le Parti du travail patriotique et démocratique pour sceller l'union de la famille « patriote démocrate » mais le second parti enregistre une divergence entre son secrétaire général, Abderrazak Hammami, qui s'est retiré des discussions, et son second, Mohamed Jemour, qui tient à la fusion. Dans le même temps, au sein du MOUPAD, le groupe de Jamel Lazhar se rapproche du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT). Finalement, une large alliance des partis de gauche et panarabes se constitue, avec notamment le PCOT devenu le Parti des travailleurs, le MOUPAD, le Parti d'avant-garde arabe démocratique, le Mouvement Baath, le Parti populaire pour la liberté et le progrès, le Mouvement populaire unioniste, ainsi que le Mouvement des démocrates socialistes (groupuscule d'Ahmed Khaskhoussi) et le Mouvement du peuple, qui avait absorbé auparavant le Mouvement du peuple unioniste progressiste[20].
Le mouvement Ettajdid fusionne avec le Parti tunisien du travail (PTT) et certains membres indépendants du Pôle démocratique moderniste (PDM) pour constituer la Voie démocratique et sociale. Toutefois, plusieurs membres du PTT dont Ali Romdhane et Mohamed Rabah Chaibi refusent cette fusion et conservent l'identité de leur parti, alors que du côté d'Ettajdid, plusieurs cadres annoncent leur adhésion à Nidaa Tounes, dont Boujemâa Remili pourtant désigné secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale, et d'anciens membres proches de la ligne de Mohamed Harmel : Hatem Chaabaouni, Tarek Chaabouni et Adel Chaouch. On annonce par la suite la fusion entre la Voie démocratique et sociale et le Parti républicain, deux partis qui sont affectés par les départs de plusieurs de leurs cadres respectivement vers Nidaa Tounes et vers le Courant réformateur. Le nouveau parti portera le nom de « Voie républicaine »[21]. Mais cette fusion annoncée ne s'est pas encore réalisée entre deux partis qui s'affaiblissent de plus en plus. La Voie démocratique et sociale a été quittée par un autre secrétaire général adjoint, Riadh Ben Fadhel, et le Parti républicain a perdu Abdelkader Ben Khemis qui a rejoint l'Alliance démocratique et Chokri Yaïche qui a intégré Nidaa Tounes.
Les réfractaires à la fusion du Parti tunisien du travail avec le Pôle démocratique moderniste tiennent leur congrès et élisent Ali Romdhane à la tête du parti, ce que conteste l'ancien président Abdeljelil Bedoui qui a pourtant sabordé son parti.
Al Wifak et le Parti républicain ont fusionné pendant quelques mois avant de se séparer en septembre 2011 après le retrait d'Al Wifak du PDM[22].
Un nouveau front opposé à Ennahdha est annoncé en décembre 2012[23] : celui-ci comprend, outre Nidaa Tounes, le Parti républicain et la Voie démocratique et sociale, deux anciens partis d'extrême gauche qui avaient dans le passé accepté le dialogue avec le régime de Ben Ali : le Parti socialiste de gauche de Mohamed Kilani(ar), créé après une scission de l'ancien Parti communiste des ouvriers de Tunisie et renommé Parti socialiste, et le Parti du travail patriotique et démocratique d'Abderrazak Hammami ou ce qu'il en reste car plusieurs de ses dirigeants, dont le secrétaire général adjoint Mohamed Jemour, ont rejoint le MOUPAD.
Après les élections de l'assemblée constituante, le ministère de l'Intérieur cesse de publier les autorisations accordées aux partis dans le Journal officiel de la République tunisienne. Les partis autorisés sont appelés à le faire eux-mêmes. Mais plusieurs parmi eux ne le font pas, ce qui empêche de connaître avec exactitude le nombre et la liste des partis existants.
Fondateur de l'Association de promotion de la vertu et de prévention du vice d'inspiration wahhabite, Almi la transforme en un parti qui ne réussit à constituer qu'une seule liste pour les élections législatives de 2014 à Kébili, renforcée par Almi lui-même ; il s'est également porté candidat à la présidentielle mais sans parrainage
Issu de la fusion du PLDT, d'Al-Watan, du MRT, de l'UNB, du PLD et l'APT[143], ne réussit pas à se frayer une place parmi les partis destouriens et ne constitue qu'une seule liste pour les élections de 2014
En , une trentaine de partis avait déposé une demande[148] mais n'avaient pas encore été légalisés. Parmi eux se trouvent le Parti de la liberté et de la solidarité (Mohamed Salah Kasmi)[149].
Partis non légalisés
En , 162 partis avaient déposé une demande qui s'est vue rejetée par le ministère de l'Intérieur[150] dont :
Basé à Sousse, cesse toute activité avec le départ de son représentant Ibrahim Hamdi ; son président présente une liste indépendante aux élections législatives de 2014
Regroupe des personnalités indépendantes et cadres de l'ancien RCD puis disparaît, son fondateur préside une liste indépendante à Tozeur pour les élections de 2014
↑Akram Ellyas et Benjamin Stora, Les 100 portes du Maghreb : l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, trois voies singulières pour allier islam et modernité, éd. Atelier, Paris, 1999, p. 35.
↑Issu notamment de la fusion d'Al Watan Al Horr, du Parti de l'avenir (حزب المستقبل) de Sahbi Basly, légalisé le 9 mars 2011, du Parti réformiste destourien (الحزبالإصلاحي الدستوري) de Mohamed Ben Saad, de l'Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui et de l'Union populaire républicaine (الحزب الشّعبي الجمهوري) de Lotfi Mraihi, légalisés le 22 avril 2011, du Parti libre destourien tunisien démocratique (الحزب الحر الدستوري التونسي الديمقراطي) d'Abdelmajid Chaker, légalisé le 24 mai 2011, de la Voix du Tunisien (صوت التونسي) d'Amor Bejaoui, légalisé le 9 août 2011, du Mouvement progressiste tunisien (الحركة التقدمية التونسية) de Mustapha Touati, légalisé le 15 juillet 2011, du Mouvement de la Tunisie nouvelle (حركة تونس الجديدة) de Mustapha Masmoudi, légalisé le 16 juin 2011, et du Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia, légalisé le 19 mai 2011 et qui rejoint l'Initiative nationale destourienne le 1er décembre 2013.
↑Le Mouvement du peuple unioniste progressiste (حركة الشعب الوحدوية التقدمية) de Zouhair Maghzaoui est issu de la fusion le 20 mars 2011 du Mouvement unioniste progressiste (الحركة الوحدوية التقدمية) de Béchir Essid et du Mouvement du peuple-Echaâb (حركة الشعب) de Khaled Krichi, légalisés le 8 mars 2011.
↑L'Alliance républicaine (حزب الوفاق الجمهوري) existe entre avril et septembre 2011 sous la direction de Mustapha Saheb-Ettabaa (président exécutif) et Abdelaziz Belkhodja (président d'honneur).
↑Ancien président de la Fédération tunisienne de taekwondo, il a fait partie des structures du Parti socialiste destourien mais n'a pas occupé de poste important au sein du RCD.
↑Le parti a officiellement adopté cet acronyme selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°71, 14 juin 2011, p. 3424-3425 ; la publication de l'annonce de son officialisation confirme la poursuite de ses activités propres au moins jusqu'au 23 octobre 2011.
↑L'orientation du parti est difficile à déterminer car c'est un ensemble d'objectifs sans ligne directrice claire selon « Le Parti de la rencontre de la jeunesse libre : exprimer la véritable volonté des jeunes dans la conception de leur avenir et pour assumer un rôle central dans le leadership de la Tunisie » Al Chourouk, 6 avril 2011.
↑Mohamed Lassoued est élu lors du congrès du parti, qui a eu lieu le 22 mai 2011, en remplacement de Mongi Hammami.
↑ abcde et fArrêté du ministre de l'Intérieur du 19 avril 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°28, 22 avril 2011, p. 523-524.
↑Le parti a adopté l'appellation anglophone selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°62, 24 mai 2011, p. 2899.
↑Le parti a fusionné avec le mouvement Ettajdid et des indépendants du Pôle démocratique moderniste pour constituer la Voie démocratique et sociale, mais certains de ses fondateurs refusent cette fusion et continuent d'utiliser le nom du parti.
↑ abcdefg et hArrêté du ministre de l'Intérieur du 19 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°37, 24 mai 2011, p. 746.
↑ a et bAvis de constitution d'un parti politique, Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°68, 7 juin 2011, p. 3243-3244.
↑Le parti modifie son nom en remplaçant le terme « libéral » par « libre » selon l'arrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°67, 4 juin 2011, p. 3180.
↑Arrêté du ministre de l'Intérieur du 24 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°38, 27 mai 2011, p. 776.
↑ ab et cArrêté du ministre de l'Intérieur du 4 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°42, 10 juin 2011, p. 885-886.
↑ ab et cArrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955.
↑L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité (التحالف الوطني للسلام و النماء) de Skander Rekik a été légalisé le 22 avril 2011, le Parti Tounes El Karama (حزب تونس الكرامة) de Lazhar Bali le 28 avril 2011 et Al Amana (الأمانة) de Fethi Laâyouni le 30 mai 2011.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012, p. 2210.
↑La direction collégiale inclut Oussama Chelbi, cité en premier, Slim Amamou et Khaled Amami.
↑Le Parti démocrate progressiste (الحزب الديمقراطي التقدمي) de Maya Jribi a été légalisé le 12 septembre 1988, le Parti républicain (الحزب الجمهوري) d'Abdelaziz Belkhodja le 14 mars 2011, Afek Tounes (آفاق تونس) de Mohamed Louzir le 28 mars 2011, Al Irada (الإرادة) de Mohamed Lotfi Lejri le 19 mai 2011, le Mouvement Bledi (حركة بلادي) de Kamel Louhichi le 19 mai 2011 et le Parti pour la justice social-démocrate (حزب العدالة الاجتماعي الديمقراطي) d'Amine Manai le 19 mai 2011.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°49, 24 avril 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°71, 14 juin 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°73, 19 juin 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°78, 30 juin 2012.
↑Riadh Ben Fadhel a été le principal animateur du Pôle démocratique moderniste puis le secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°142, 27 novembre 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°154, 25 décembre 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°155, 27 décembre 2012.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°4, 27 janvier 2013.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°6, 12 janvier 2013.
↑Un des fondateurs du Mouvement du peuple sous la présidence de Khaled Krichi puis lors de sa restauration sous la présidence de Mohamed Brahmi, Amor Chahed le quitte pour fonder son propre parti.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°9, 19 janvier 2013.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°13, 29 janvier 2013.
↑L'Initiative (حزب المبادرة) de Kamel Morjane, issue d'une scission du RCD, avait été légalisé le 1er avril 2011.
↑Al Watan Al Horr de Mohamed Jegham est issu d'une scission d'Al-Watan.
↑Le Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia avait été légalisé le 19 mai 2011.
↑Zarkaa Al Yamama (Colombe bleue) de Taoufik Hamza.
↑Le Parti de la liberté pour la justice et le développement (حزب الحرية من أجل العدالة والتنمية) de Hatem Yahyaoui avait été légalisé le 8 mars 2011.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°145, 3 décembre 2013.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°149, 12 décembre 2013.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°153, 21 décembre 2013.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°2, 4 janvier 2014.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°4, 9 janvier 2014.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°34, 20 mars 2014, p. 1748.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 19 avril 2014, p. 2332.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 8 avril 2014, p. 2333.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°58, 15 mai 2014, p. 2972.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°60, 20 mai 2014, p. 3087.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°72, 17 juin 2014, p. 3750.
↑Salem Chaïbi est toujours en course pour l'élection présidentielle de 2014. Il est toutefois au centre d'une vaste polémique, des associations l'accusant d'avoir obtenu des parrainages fictifs à partir des listes des adhérents de la Caisse nationale de sécurité sociale où il travaille.
↑Ancien membre du gouvernement Hamadi Jebali, Touhami Abdouli n'admet pas sa non-reconduction dans le gouvernement Ali Larayedh. Il démissionne d'Ettakatol et devient un farouche opposant à la troïka, appelant d'abord à un coup d'État militaire puis rejoignant le Front du salut national. Il émet alors le vœu de rejoindre l'Union pour la Tunisie mais, face au refus momentané de Nidaa Tounes, il constitue des listes de coalition sous le nom de Front du salut national pour les élections de 2014.
↑Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°89, 26 juillet 2014.
↑ ab et cJournal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°102, 26 août 2014.
↑Le parti qui a tenu son congrès en juin 2012 a entériné le départ de son président Abdelmajid Chaker qui a rejoint Nidaa Tounes et a supprimé le terme « démocratique » de son nom.
↑Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°105, 1er septembre 2012.
↑ ab et cArrêté du ministre de l'Intérieur du 30 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°40, 3 juin 2011, p. 816-817.
Riadh Guerfali, « Le multipartisme d'État en Tunisie : la débâcle », sur nawaat.org, (consulté le ), publié sous le pseudonyme de Mohammed Ali Ben Mehdi dans Horizons maghrébins, n°46 « Réalités tunisiennes : L'État de manque ; politique, économie, société, culture », 2002, p. 12–27.