Son œuvre est un trait d'union entre le rocaille et le néoclassicisme. Elle était extrêmement admirée par ses contemporains. Bachaumont le qualifie d'« architecte très entendu et très élégant connu par les belles choses qu'il a faites à Bizy pour le maréchal de Belle-Isle »[2]. Bonnet le juge en 1752 « l'architecte le plus en vogue »[3].
Archives Nationales. Minutes de François Brichard (étude XXIII). . Inventaire après décès de Pierre Contant d'Ivry.
Références
Bibliographie
Frank Joachim Kretzschmar, < Pierre Contant d'Ivry - Ein Beitrag zur französischen Architektur des 18. Jahrhunderts >, Diss. Köln 1981, 365 S.
Jean-Louis Baritou, Chevotet, Contant, Chaussard, Paris, Délégation à l'Action Artistique de la Ville de Paris, La Manufacture, 1987, (ISBN2-904638-98-9)
Frédéric Dassas, « Les Résidences du Prince de Conti », mémoire de maîtrise d’histoire de l’art sous la direction d’Antoine Schnapper, Paris IV-Sorbonne, 1995.
Gabrielle Joudiou, « L’Architecte Contant d’Ivry à L’Isle-Adam et à Stors », in Les Trésors des Princes de Bourbon Conti, Éditions Somogy, mai 2000, p. 107-111.
Gabrielle Joudiou, « L’art des jardins chez Contant d’Ivry » in Annales du Centre Ledoux, t. II, 1998.
Gabrielle Joudiou, « Contant d’Ivry et les jardins classiques au XVIIIe siècle » in Jardins du Val-d’Oise, 1993.
Gabrielle Joudiou, « Pierre Contant d’Ivry » in Un cabinet d’architectes au siècle des Lumières, sous la direction de J.L. Baritou et D. Foussard, La Martinière, Paris, 1987, p. 86-181.
Elyne Olivier-Valengin, « Le château des princes de Bourbon Conti à L’Isle-Adam », in Les Trésors des Princes de Bourbon Conti, Éditions Somogy, p. 112-123.
↑Bibliothèque de l'Arsenal, portefeuille de Bachaumont, ms. 4041 fol. 432, cité par : Gabrielle Joudiou, « L'architecte Contant d'Ivry à L'Isle-Adam et Stors », in : Les Trésors des princes de Bourbon-Conti, Paris, Somogy éditions d'art et L'Isle-Adam, musée d'art et d'histoire Louis-Senlecq, 2000, p. 108
↑ASP (Parme), lettre de Bonnet du , cité par : Gabrielle Joudiou, art. cit., p. 108