Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires. Motif : Il faut des sources secondaires (donc pas d'écrit ou d'interview du sujet, évidemment), d'envergure au moins nationale, qui analysent avec un certain détail la biographie et la carrière de Sébastien Wagner. Fournir des sources régionales centrées sur la maison d’édition messine des Paraiges ne répond pas à cette exigence.
Il a fondé en 2011 la maison d'édition Les Paraiges[2] qui a publié son centième titre en 2016[3]. A ce jour, le catalogue compte plus de 270 titres en littérature, histoire et patrimoine, avec un ancrage local assumé[4] pour plus de cent auteurs (dont Maurice Barrès, Louis Bertrand, Jean Dutourd, François Grosdidier, Raymond Milesi, Philippe de Saint Robert, Pierre Stolze). De nombreux prix ont récompensé ces parutions (prix Eckmann-Chatrian, prix de l'Académie nationale de Metz, prix des Conseils départementaux de Lorraine, prix de l'Union nationale des officiers de réserve, prix Coup de coeur...).
Œuvre
Dictionnaire historique des rues de Metz, Metz, Serpenoise, 2009.
Atlas historique de Metz, codirection avec Julien Trapp, Metz, Editions des Paraiges, 2013. 2e édition, 2015. Préface de Dominique Gros. Prix d'histoire de l'Académie nationale de Metz.
A l'ombre de l'aqueduc, Jouy-aux-Arches, avec Claude Lefebvre, Metz, Editions des Paraiges, 2014.
Les portes de Metz, dessins de Philippe Bernard-Michel, Metz, Editions des Paraiges, 2014.
Le monument de Noisseville, Metz, Editions des Paraiges, 2023.
Participation à des ouvrages collectifs
Philippe Hoch (dir.), Les Trois-Evêchés au temps de Belle-Isle, 2011.