Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Hydrographie
La rivière l'Arc traverse la commune à l’extrême nord-est de son territoire. Le Glandon, affluent gauche de l'Arc, délimite en le territoire de la commune du sud-ouest au nord.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le ruisseau du Bial, appelé également le canal des moulins[1], traverse également une partie de la commune depuis la centrale E.D.F. du Gladon et se jette dans l'Arc. Ce petit ruisseau alimentait plusieurs anciens moulins à eau de la commune (La Tournaz, Le Martinet, une ancienne scierie, une serrurerie) ainsi que l'ancien lavoir du Martinet. Sur le secteur du Martinet, il est en canalisation souterraine.
Au , Sainte-Marie-de-Cuines est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne-de-Cuines[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[3],[4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[4]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (71,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,1 %), zones urbanisées (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %), prairies (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[10].
En 2022, la commune comptait 840 habitants[Note 4], en évolution de +3,96 % par rapport à 2016 (Savoie : +3,63 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
L'ancienne taverne sur la route du Mont, au-dessus du hameau de La Palud (propriété privée).
Les deux fours communaux : celui du Chef-Lieu et celui des Champagnes.
Les deux lavoirs (La Palud et Le Martinet) et les nombreuses fontaines en pierre.
L'Aura de Maurienne[19], œuvre monumentale de 5 000 m2, symbole de solidarité, plus grande création collective au monde, constituée de 42 000 pièces d'aluminium portant des messages gravés par les habitants de la vallée de la Maurienne et des artistes du monde entier. Fruit de l'imagination de l'artiste Marc Biétry qui symbolise la solidarité entre les hommes, 13 années ont été nécessaires pour la réaliser (1994-2007). Ce fut également un chantier d'insertion mené par l'association Solid'Art et piloté par Yves Pasquier.
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Voir aussi
Bibliographie
Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN978-2-7171-0289-5), p. 123-128. ([PDF] lire en ligne)
Camille Girard, Sainte-Marie-de-Cuines, commune de Maurienne - Un peu de son histoire, Saint-Jean-de-Maurienne, Éditions Roux, , 232 p. (ISBN978-2-9518-7515-9)
Yves Pasquier, L'Aura de Maurienne, Éditions Jelgavas Tipografija, , 264 p. (ISBN979-1-0699-4978-2)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Étienne-de-Cuines comprend quatre villes-centres (La Chambre, Saint-Avre, Saint-Étienne-de-Cuines, Sainte-Marie-de-Cuines) et deux communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
↑Camille Girard, Sainte-Marie-de-Cuines, commune de Maurienne, un peu de son histoire, Saint-Jean-de-Maurienne, Roux, 3ème trimestre 2004, 232 p. (ISBN978-2-9518-7515-9), p. 51
↑Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24