Le club connaît un changement d'appellation le , avec la signature d'une convention le liant avec le Conseil Régional du Limousin.
En interne, le CA Brive est confronté à des remous d'ordre financier. Il affiche un déficit financier prévisionnel de 400,000 euros constaté à la suite d'un audit. En conséquence, le Directeur Général Stéphane Drelon est révoqué le , lors du conseil d'administration. Ce conseil nomme au poste de vide-président Robert Rousseau, qui est aussi le directeur de cabinet du Président de la Communauté d'agglomération de Brive. Ce dernier doit gérer une situation financière compliquée. Le , le CABCL est auditionné par la DNACG. Dans un premier temps, il est relégué en Fédérale 1 à titre conservatoire, avant que Robert Rousseau ne parvienne à redresser la situation. Enfin, le , le Président Jean-Claude Penauille vend sa société de services Penauille Polyservices qui détient le club. Le groupe CFF Recycling se porte acquéreur et son PDG Daniel Derichebourg détient alors 55 % des parts de la SASP du club.
Côté sportif, l'équipe réalise une saison quelconque. Aucun objectif de pré-saison n'est fixé. Lors de l'intersaison, l'élite a été resserrée de 16 à 14 clubs. Brive termine à la 9e place et assure sans vraiment trembler son maintien. Il précède à mi-saison le premier relégable de 16 points. Son plus gros fait d'armes est la victoire décrochée contre le Stade toulousain champion d'Europe en titre, lors de la 12e journée. En Challenge Européen, le club gagne trois rencontres de poules mais en perd autant, cependant il accède quand même à la qualification en quarts de finale. Son aventure n'ira pas plus loin, les Anglais de Gloucester écrasent les Blanc et Noir au début du mois d'avril.