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Siège de Roses (1808)

Siège de Roses (1808)
Description de cette image, également commentée ci-après
Le siège de Roses en 1808, vu sur une gravure du XIXe siècle.
Informations générales
Date 7 novembre 1808 — 5 décembre 1808
Lieu Roses, Espagne
Issue Victoire française
Belligérants
Drapeau de l'Empire français Empire français Drapeau de l'Espagne Royaume d'Espagne
Drapeau du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande
Commandants
Laurent de Gouvion-Saint-Cyr
Honoré Charles Reille
Peter O'Daly
Thomas Cochrane
Juan Clarós
Forces en présence
23 000 hommes 3 500 hommes
58 canons
1 navire de 3e rang
1 frégate
2 bombardes
Pertes
1 000 tués, blessés ou morts de maladies 3 066 tués ou prisonniers
58 canons

Guerre d'indépendance espagnole

Batailles

Coordonnées 42° 16′ nord, 3° 11′ est
Géolocalisation sur la carte : Espagne
(Voir situation sur carte : Espagne)
Siège de Roses (1808)
Géolocalisation sur la carte : Catalogne
(Voir situation sur carte : Catalogne)
Siège de Roses (1808)

Le siège de Roses ou siège de Rosas se déroula du au . Il opposa un corps d'armée franco-italien commandé par le général de division Laurent de Gouvion-Saint-Cyr à la garnison anglo-espagnole de la ville dirigée par le colonel Peter O'Daly. La citadelle capitula après un mois de siège, livrant plus de 2 000 prisonniers aux assaillants.

À l'été et à l'automne 1808, un corps français sous les ordres du général Duhesme se retrouva isolé dans Barcelone par une armée de 24 000 hommes menée par Juan Miguel de Vives y Feliu. Avec 23 000 hommes, Gouvion-Saint-Cyr reçut l'ordre de dégager les troupes de Duhesme. Le premier obstacle qui se dressa face au général français était la ville de Roses, défendue par une citadelle installée sur un promontoire dominant la ville et par un château à proximité de la mer. Les 3 500 défenseurs catalans et espagnols de Roses étaient pour la plupart des miquelets locaux, notamment ceux du colonel Juan Clarós, et des réguliers du régiment Fija de Roses. En dépit du soutien des navires britanniques et de la résistance de la milice catalane ainsi que des marins du capitaine Cochrane dans le château, la garnison se montra incapable d'empêcher les lignes de siège franco-italiennes de resserrer leur emprise autour de la citadelle.

Les défenseurs se rendirent finalement au général Honoré Charles Reille le . Les soldats et les civils à l'intérieur de la citadelle furent emmenés en captivité à Figueras tandis que les défenseurs du château furent évacués par les Britanniques avant de rejoindre les forces espagnoles de Vives au sud. Quant à Gouvion-Saint-Cyr, il cherchait à présent le moyen de contourner Gérone pour délivrer Duhesme au plus vite. Le général français mit alors en place une stratégie audacieuse mais risquée qui aboutit à la bataille de Cardedeu le .

Contexte

Les premières opérations

En 1808, Napoléon, qui projetait de remplacer la famille royale d'Espagne, ordonna à ses troupes de s'emparer de plusieurs positions clés sur le territoire espagnol, y compris Barcelone[1]. Le , un contingent français sous les ordres du général de division Giuseppe Lechi entra dans Barcelone, soi-disant pour participer à la lutte contre le Portugal. Lechi organisa une revue militaire, mais il s'agissait seulement d'une mascarade pour prendre la citadelle. Lorsque les soldats passèrent devant la porte principale de la forteresse, ils obliquèrent soudainement vers la gauche et se précipitèrent à l'intérieur. Sans verser une goutte de sang, le troupes françaises parquèrent la garnison espagnole et occupèrent la place. Entre autres points clés, les Français prirent également Saint-Sébastien, Pampelune et Figueras[2]. Le , à Madrid, le peuple espagnol s'insurgea contre l'occupant français lors du soulèvement du Dos de Mayo[3].

En , un corps de 12 710 hommes franco-italiens commandé par le général de division Guillaume Philibert Duhesme occupa Barcelone. Le général de division Joseph Chabran avec la 1re division dirigeait 6 050 soldats en huit bataillons. La 2e division commandée par Lechi disposait quant à elle de 4 600 soldats en six bataillons, tandis que les généraux de brigade Bessières et Schwarz avaient sous leurs ordres 1 700 cavaliers en neuf escadrons auxquels s'ajoutaient 360 artilleurs[4]. Les autorités à Madrid pensaient que Duhesme parviendrait sans trop de difficulté à éradiquer la rébellion en Catalogne, mais elles sous-estimaient gravement l'importance de l'insurrection. Les miquelets — miliciens catalans — se déplaçaient en grand nombre pour harceler les Français. En juin, Chabran et Schwarz furent battus à la bataille de El Bruc et Duhesme fut refoulé à l'issue de la bataille de Gérone[5].

Revenu à la réalité, Napoléon ordonna au général de division Honoré Charles Reille de venir en aide à Duhesme avec une division de renfort. Les troupes étaient de faible qualité et dispersées dans le sud de la France mais Reille parvint à rassembler une partie des effectifs disponibles et à dégager avec succès la garnison française de Figueras[6].

Première attaque sur Roses

Le général de division Honoré Charles Reille.

Reille avait sous ses ordres 4 000 hommes et deux canons. Ce total incluait les deux bataillons du 113e régiment d'infanterie de ligne, les 560 hommes des Chasseurs des Pyrénées Orientales, deux compagnies du 2e régiment d'infanterie suisse, 700 gendarmes et des bataillons de réserve. La ville de Roses était gardée par 800 hommes du régiment Fija de Roses et 400 miquelets. S'y ajoutaient 5 000 miquelets du colonel Juan Clarós, positionnés dans les collines avoisinantes. Les défenseurs reçurent un appui appréciable de la part du HMS Montagu, un navire de guerre britannique commandé par le capitaine Robert Otway qui envoya ses marins à terre pour les aider. Reille lança une attaque le mais ses troupes furent repoussées et laissèrent 200 hommes sur le terrain. Les pertes espagnoles étaient minimes[7].

À la suite de cet échec, Reille fit mouvement en direction de Gérone. Lorsqu'il arriva sur place, il se joignit à Duhesme pour entamer le siège de la ville (en). Pendant ce temps, 5 000 troupes régulières espagnoles[6] venues des îles Baléares, sous le commandement du marquis Del Palacio, arrivèrent à Tarragone. Nommé capitaine-général de la Catalogne, Del Palacio rejoignit ses troupes, accompagné d'un grand nombre de Catalans, et entama le blocus de Barcelone le . La ville était défendue par 3 500 soldats italo-suisses aux ordres du général Giuseppe Lechi. Craignant à tout moment une révolte de la population, Lechi envoya des rapports alarmants à Duhesme après avoir été contraint d'abandonner ses avant-postes, notamment le château de Montgat[8].

Duhesme disposait certes de 13 000 soldats devant Gérone mais il dut s'avouer vaincu lorsque ses lignes de siège furent attaquées sur ses arrières par les troupes du général Caldagues. Duhesme renonça et ordonna la retraite sur Barcelone tandis que Reille retourna à Figueras. En longeant la côte, les troupes impériales furent bombardées par la frégate britannique HMS Imperieuse du capitaine Thomas Cochrane, ce qui les força à s'éloigner de la côte. Après avoir jeté huit canons de campagne à la mer et abandonné leurs bagages, les hommes de Duhesme se retirèrent dans les montagnes et parvinrent finalement à Barcelone le [9]. En octobre, Napoléon constitua un nouveau corps d'armée avec à sa tête le général de division Laurent de Gouvion-Saint-Cyr afin de se porter au secours de Barcelone[10].

Les forces disponibles pour la campagne

Le général de division Laurent de Gouvion-Saint-Cyr, commandant en chef le 7e corps en Catalogne.

Le 7e corps français était composé de six divisions d'infanterie et de trois brigades de cavalerie. La 1re division de Chabran, la 2e division de Lechi et les brigades montées de Bessières et de Schwarz étaient enfermées à l'intérieur de Barcelone avec Duhesme et par conséquent indisponibles ; avec Gouvion-Saint-Cyr se trouvaient la 3e division de Reille composée de 12 bataillons, la 4e division de Souham composée de 10 bataillons, la 5e division du général de division Pino composée de 13 bataillons, la 6e division de Chabot et la brigade de cavalerie du général de brigade Jacques Fontane, composée de dragons et d'un régiment de cavalerie légère. À cet ensemble s'ajoutait un régiment de dragons sans affectation. En incluant les troupes de Duhesme bloquées dans Barcelone, le 7e corps comptait 42 380 hommes[11]. Pour atteindre cet effectif, l'Empereur avait dû effectuer des prélèvements sur les garnisons d'Italie, dont de l'artillerie de siège qui arriva à la frontière espagnole le [12].

Coincés dans Barcelone, les 10 000 hommes de Duhesme étaient dans une situation critique, mais Del Palacio ne mena pas les opérations avec une grande vigueur. Il ordonna même à Caldagues de s'établir sur une ligne de 24 km de long avec 2 000 réguliers et 4 000 à 5 000 miquelets, alors que lui-même resta à Tarragone à l'écart du théâtre des opérations. Dans Barcelone, Duhesme ne restait pas inactif et envoyait régulièrement des contingents battre la campagne environnante à la recherche de nourriture et de fournitures diverses pour ses soldats. Les excursions s'arrêtèrent néanmoins après qu'une colonne eut été sévèrement malmenée par les Espagnols le . Le 28, Del Palacio fut démis de ses fonctions par la junte catalane et remplacé par le capitaine général Juan Miguel de Vives y Feliu. Le nouveau commandant en chef était un vétéran de la guerre du Roussillon, ayant notamment commandé l'aile gauche espagnole lors de la bataille du Boulou en 1794[13]. Vives attaqua les avant-postes français le . Ce premier heurt fut suivi d'une accalmie jusqu'au , date à laquelle une offensive dirigée par Vives contraignit les Français à se réfugier à l'intérieur de l'enceinte de Barcelone[14].

À l'automne 1808, l'armée espagnole de Catalogne, forte de 20 031 hommes, comprenait une avant-garde, quatre divisions et une réserve. Commandant l'avant-garde, le brigadier général Mariano Álvarez de Castro avait sous ses ordres 5 500 fantassins en cinq bataillons et un escadron d'une centaine de cavaliers. Le maréchal de camp Caldagues était à la tête de la 1re division, dotée de sept bataillons d'infanterie (4 528 hommes), de quatre escadrons de cavalerie (400 hommes) et de six canons servis par 70 artilleurs. Le maréchal de camp Gregorio Laguna, aux commandes de la 2e division, disposait de 2 076 fantassins en cinq bataillons avec 200 cavaliers formant deux escadrons, auxquels s'ajoutent sept bouches à feu servies par 84 artilleurs. La 3e division sous le commandement du colonel Gaspar Gomez de la Serna alignait cinq bataillons pour un total de 2 458 hommes tandis que la 4e division sous le colonel Francisco Milans del Bosch présentait un effectif de 3 710 hommes en quatre bataillons. La réserve se composait de 777 fantassins, 80 cavaliers et 48 artilleurs avec quatre canons[15],[16].

Forces en présence lors du siège

Infanterie de ligne et infanterie légère de l'armée du royaume d'Italie. Lors du siège de Roses, les 13 bataillons italiens de la division Pino formaient une part importante des troupes du général Reille.

Les effectifs de Gouvion-Saint-Cyr pour cette campagne se montaient à 23 000 hommes. Le général en chef laissa à Reille le soin de mener les opérations de siège tandis que lui-même avec le gros des troupes se tint prêt à repousser toute tentative de secours[12]. Reille avait avec lui sa propre division et celle de l'Italien Pino, soit un total de 12 000 soldats en 24 bataillons soutenus par quatre batteries d'artillerie à pied. La 3e division directement commandée par Reille comprenait le 32e léger, les 16e, 56e et 113e de ligne à un bataillon, quatre bataillons du régiment de Perpignan auxquels venaient s'adjoindre le bataillon valaisan, les Chasseurs des Montagnes et la 5e légion de réserve également à un bataillon. La 5e division de Pino placée sous les ordres de Reille s'articulait autour des 1er léger, 2e léger et 6e de ligne italiens forts de trois bataillons chacun, avec deux bataillons du 4e de ligne et les 5e et 7e régiments de ligne italiens à un seul bataillon[17].

Face aux Franco-Italiens, la garnison de Roses pouvait compter sur 3 500 soldats et 58 canons commandés par le colonel Peter O'Daly. Les troupes régulières y étaient représentées par 150 hommes du régiment d'infanterie Ultonia, une compagnie du régiment suisse Wimpffen, un demi-bataillon du 2e léger de Barcelone et 120 artilleurs. Au cours du siège, un petit bataillon supplémentaire du régiment Borbon vint renforcer les défenseurs. Le reste de la garnison se composait des formations de miquelets (« tercios ») Berga, Figueras, Igualada et Lerida. La Royal Navy fournit un appui naval avec le HMS Excellent, un navire de 3e rang sous le commandement du capitaine John West. Alors que le siège suivait son cours, l’Excellent fut remplacé par le HMS Fame, un 74 canons aux ordres du capitaine Richard Bennett. Deux bombardes, le HMS Meteor et le HMS Lucifer, étaient également présentes au large de la côte. Cette flottille fut tardivement rejointe par la frégate HMS Imperieuse du capitaine Thomas Cochrane[17].

Le siège

Le port de Roses était défendu par une citadelle de type Vauban (la ciutadella de Roses) et par le château de la Trinité, tout proche. Les premières fortifications, mises en chantier en 1543 sur ordre de l'empereur Charles Quint, avaient été achevées en 1570 et assiégées à trois reprises : en 1645, en 1693 et de 1794 à 1795. La citadelle avait une coupe pentagonale modifiée et comptait cinq bastions et demi-lunes de chaque côtés, sauf en direction de la mer. Légèrement excentré, le Castillo de la Trinidad était un ouvrage en forme d'étoile à quatre branches installé sur un promontoire à 60 m d'altitude[18]. La citadelle se trouvait juste à l'ouest de la ville tandis que le château couronnait une hauteur à environ 2 km au sud-sud-est de la forteresse. Au nord-est, une colline surplombait le fort du haut de ses 300 m[19].

Le capitaine Thomas Cochrane. Dès son arrivée à Roses à la fin du mois de novembre 1808, il prit le commandement des défenseurs du château de la Trinité.

Le , un épais brouillard s'abattit sur la ville et ses environs. Une troupe de miquelets profita de l'occasion pour attaquer le corps de Gouvion-Saint-Cyr tandis que la garnison emmenée par O'Daly tenta un coup de main sur le campement de Reille. Aucune des deux actions ne parvint néanmoins à ralentir sensiblement les opérations de siège. Le même jour, la population civile fut évacuée par la mer à bord des vaisseaux britanniques. Après une semaine exécrable durant laquelle il plut sans discontinuer, Reille lança une première attaque sur le château, qui échoua. L'artillerie de siège arriva sur place le et, la pluie ayant cessé, les hommes de Reille s'empressèrent de creuser des emplacements à leur usage. Bien qu'il disposait de forces suffisantes, Vives refusa de se porter au secours de la place. Seul Álvarez de Castro, depuis Gérone, se dirigea vers Roses le , mais il fut arrêté dans sa marche par le fleuve Fluvià en crue et dut renoncer[12].

Le , un assaut des Italiens entraîna la prise de la ville, permettant à Reille d'installer ses canons sur la côte et de tirer sur les navires britanniques. À cette époque, O'Daly reçut le renfort d'un bataillon de troupes régulières. Le 28, Reille somma la forteresse de se rendre, mais O'Daly déclina l'offre. Le capitaine Thomas Cochrane arriva à son tour et assura la défense du château avec une troupe hétéroclite d'Espagnols et de marins britanniques. Le , les soldats italiens tentèrent de s'emparer de la position, sans succès. À la suite de ce échec, Reille décida de concentrer en priorité ses efforts sur la réduction de la citadelle[12].

Le bombardement français fut destructeur et une brèche fut bientôt ouverte dans les murs de la forteresse. Le , le commandant espagnol détacha 500 hommes afin de neutraliser la plus efficace des batteries françaises[12]. L'opération fut un échec complet et les assaillants, décimés, regagnèrent leur position en désarroi[20]. Le 4, les lignes de siège franco-italiennes n'étaient plus qu'à 180 m des murs et Reille prépara ses troupes en vue d'un assaut général. Cette fois, O'Daly capitula sans conditions ; le lendemain, 2 366 soldats espagnols déposèrent les armes, venant ainsi s'ajouter aux 700 défenseurs tombés au cours du siège. Le jour même, après que les couleurs catalanes et espagnoles eurent été abaissées, Cochrane abandonna le château à midi avec les 180 hommes de la garnison. Le bastion côté terre et la tour furent détruites avec de la poudre fournie par l’Imperieuse[12]. Le feu bien dirigé de l'artillerie française empêcha néanmoins la marine britannique de secourir le reste de la garnison. À l'issue du siège, le corps franco-italien comptait 1 000 tués, blessés ou morts de maladies[17].

Conséquences

Après avoir perdu un mois entier devant Roses, il devenait urgent pour l'armée impériale de venir dégager Duhesme dont les réserves de vivres s'amenuisaient dangereusement[12]. Pour rallier Barcelone, deux routes s'offraient à Gouvion-Saint-Cyr : la corniche au bord de la mer, bloquée et à portée des canons de l'escadre de Cochrane, et la route intérieure qui passait à proximité de la redoutable forteresse de Gérone. Feignant d'attaquer la ville pour tromper Vives, le général français se présenta sous les murs de la place avec 15 000 fantassins et 1 500 cavaliers. Puis, ayant renvoyé son artillerie et ses bagages, il dirigea ses troupes à travers les montagnes, dépassa Llagostera le et rattrapa la route intérieure à Sant Celoni trois jours plus tard. La confrontation avec les forces de Vives eut lieu dès le lendemain lors de la bataille de Cardedeu[21].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Siege of Roses (1808) » (voir la liste des auteurs).
  1. Gates 2002, p. 10 et 11.
  2. (en) J. Rickard, « French capture of Barcelona, 29 February 1808 », sur historyofwar.org, (consulté le ).
  3. Gates 2002, p. 12.
  4. Gates 2002, p. 482.
  5. Gates 2002, p. 59 et 61.
  6. a et b Gates 2002, p. 61.
  7. Smith 1998, p. 262.
  8. (en) J. Rickard, « Siege of Barcelona, 1 August-17 December 1808 », sur historyofwar.org, (consulté le ).
  9. Smith 1998, p. 265 et 266.
  10. Gates 2002, p. 62.
  11. Gates 2002, p. 486.
  12. a b c d e f et g (en) J. Rickard, « Siege of Rosas, 6 November- 5 December 1808 », sur historyofwar.org, (consulté le ).
  13. Bernard Prats, « Bataille du Boulou (fin) », sur www.prats.fr, (consulté le ).
  14. (en) J. Rickard, « Siege of Barcelona, 1 August-17 December 1808 », sur historyofwar.org, (consulté le ).
  15. Gates 2002, p. 484.
  16. (en) George Nafziger, « Spanish Army of Cataluna, 5 November 1808 » (consulté le ).
  17. a b et c Smith 1998, p. 271 et 272.
  18. (en) Dominic Goode, « Roses », sur fortified-places.com (consulté le ).
  19. Ostermann 1987, p. 415 (carte).
  20. Gates 2002, p. 64.
  21. (en) J. Rickard, « Battle of Cardadeu, 16 December 1808 », sur historyofwar.org, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • (es) Domingo Neuenschwander de Clarós, Juan Clarós y Presas (1749-1827), Figuières, Domingo Neuenschwander de Clarós, (ISBN 978-84-617-5265-2). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) David Gates, The Spanish Ulcer : A History of the Peninsular War, Londres, Pimlico, , 557 p. (ISBN 0-7126-9730-6). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) George Ostermann, « Pérignon: The Unknown Marshal », dans David Chandler, Napoleon's Marshals, New York, Macmillan, (ISBN 0-02-905930-5). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Digby Smith, The Greenhill Napoleonic Wars Data Book : Actions and Losses in Personnel, Colours, Standards and Artillery, 1792-1815, Londres, Greenhill Books, , 582 p. (ISBN 1-85367-276-9, BNF 38973152). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (es) Antonio Bofarull y Brocá, Historia Critica de la Guerra de la Independencia en Cataluña, Barcelone, F. Nacente, . Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (es) Carlos Diaz Capmany, El setge de Roses de 1808, Roses, Fundació Roses Història i Natura, .
  • (es) E. Rodriguez-Solis, Los Guerrilleros de 1808, Madrid, Editorial Estampa, . Document utilisé pour la rédaction de l’article

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

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