L'intrigue a pour toile de fond historique les procès de Burgos[3]. Ana, une militante engagée dans la lutte antifranquiste, a apparemment converti certains des soucis de sa vie en symptômes corporels, souffrant d'étranges maladies[4]. Son oncle Norman, ancien médecin interdit d'exercer pour avoir trempé dans du trafic de drogue, lui propose un remède qui peut aider sa maladie cérébrale, mais le prévient que cela peut avoir des conséquences : il produit une telle désinhibition que le patient est placé au-delà du mal et du bien, éthique et convictions. Ana revêt ainsi une double personnalité, princesse imaginaire et véritable révolutionnaire[5].
↑(es) « Sonámbulos », sur decine21.com (consulté le )
Bibliographie
(es) Josetxo Cerdán, « Sonámbulos. Ana a través del espejo », Vértigo. Revista de Cine, A Coruña, Ateneo da Coruña, no 3, , p. 35–37 (ISSN1131-8023, lire en ligne)
(es) Carlos Losilla, « Diccionario del cine español, 1950-1990 (12). Sonámbulos (1978), de Manuel Gutiérrez Aragón », Rinconete, (ISSN1885-5008, lire en ligne)
L'année indiquée est celle de la cérémonie. Les films sont ceux qui sont proposés à la nomination par l'Espagne ; tous ne figurent pas dans la liste finale des films nommés.