L'œuvre est en trois mouvements, ou « trois notations, traitées en style libre, dont chacune emprunte son prétexte initial à l'imitation du chant d'un oiseau[4] », en se basant sur les motifs stylisés dans la Symphonie no 6 « pastorale » de Beethoven[5] :
« La Caille » — Moderato ma jocoso ( = 88) en sol majeur, à ;
« Le Coucou » — Leggiero ( = 88) en sol majeur, à .
Analyse
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Guy Sacre considère que cette sonatine est « plus impressionniste » que la Sonatine bourguignonne« qui gardait de bout en bout une grande netteté de contours, quand ici règne le flou de la pédale[6] ». Cependant, en 1897, « ni les Estampes de Debussy, ni les Miroirs de Ravel n'ont encore eu l'occasion de dispenser leurs captivants prestiges[7] ».
Alfred Cortot, La Musique française de piano, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Quadrige » (no 25), (1re éd. 1930–1932), 764 p. (ISBN2-13-037278-3, OCLC612162122, BNF34666356), « Les six sonatines pour piano de Maurice Emmanuel », p. 453–482.
Guy Sacre, La musique de piano : dictionnaire des compositeurs et des œuvres, vol. I (A-I), Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1495 p. (ISBN978-2-221-05017-0), « Maurice Emmanuel », p. 1050-1058.
Monographies
Christophe Corbier, Maurice Emmanuel, Paris, Bleu nuit éditeur, , 176 p. (ISBN2-913575-79-X).
Notes discographiques
(fr + en) Harry Halbreich, « Maurice Emmanuel, la substantifique moëlle », p. 4-14, Paris, Timpani (1C1194), 2013 .
(fr + en) Marc Vignal, « Maurice Emmanuel », p. 2-7, Paris, Accord (476 165 8), 1986 .