Speed Racer est un jeune prodige de la course automobile, né pour la course au sein d'une famille de pilotes. Or, lorsqu'il défie M. Royalton, président-directeur général corrompu des Industries Royalton, le jeune homme découvre que tout n'est pas rose dans le sport qu'il adore.
Peu de temps après, la famille Racer est contactée par l'Inspecteur Détecteur et l'énigmatique pilote masqué Racer X, qui demandent que Speed collabore avec les autorités afin de piéger Royalton et mettre au jour la corruption du monde automobile. Leur proposition : participer au Crucible, dangereux rallye automobile qui a par ailleurs coûté la vie au frère aîné de Speed, Rex.
Sources : doublage[2], voxofilm[3] et RSDoublage[4]
Production
Développement
Dès 1992, Warner Bros. prend une option sur les droits d'adaptation, en vue de produire un film avec Silver Pictures[5]. Beaucoup d'acteurs et de réalisateurs se succèdent sur le projet. Johnny Depp y sera un temps attaché, mais il demande à repousser le tournage pour des raisons personnelles[6]. Le réalisateur Julien Temple quitte alors le projet. Gus Van Sant est alors envisagé pour le remplacer[7]. En , c'est au tour d'Alfonso Cuarón[8]. Marc Levin, Jennifer Flackett, J. J. Abrams ou encore Patrick Read Johnson se sont quant à eux succédé pour plusieurs réécritures du script[9].
Le film est un échec au box-office et reçoit un accueil critique mitigé[15].
Dans Speed Racer : les Wachowski à la lumière de la vitesse (2021), Julien Abadie réhabilite Speed Racer (qui avait rapporté 94 millions de dollars et fait 111 000 entrées en France) et le considère comme le « film charnière » dans l’œuvre des Wachowski[16],[15].