Après avoir été responsable commercial à la division des produits publics du groupe L'Oréal (-) puis consultant en communication chez ATACAMA/SCB Conseil (-)[1], il devient chef de cabinet du secrétaire d'État à la Réforme de l'État Henri Plagnol de 2002 à 2004.
Il s'y implique notamment dans l'élaboration et le déploiement du plan « ADELE » pour le développement de l'administration électronique, dans les lois de simplification permettant au gouvernement de légiférer par ordonnances dans ce domaine, dans la mise en place des stratégies ministérielles de réforme (SMR) ou encore la création des trophées de la qualité du service public.
Il a par ailleurs conduit l'expérimentation d'« Allô service public 3939 » en région Rhône-Alpes, avant d'assurer son déploiement national en qualité de chargé de mission au sein des services du Premier ministre de 2004 à 2006.
Il démissionne de son poste de conseiller général en janvier 2013 et est remplacé par Muriel Devaux.
Il succède à Henri Plagnol en tant que maire de Saint-Maur-des-Fossés à la suite du deuxième tour des élections municipales de 2014. Il porte plainte contre Henri Plagnol en pour détournements de fonds publics[6].
Le , au cours d'un conseil municipal, Roméo de Amorim ancien adjoint de Sylvain Berrios, accuse ce dernier d'irrégularités dans les marchés publics de la ville ainsi que de pressions pour faire signer en blanc les procès-verbaux de la commission d'appel d'offre de la ville. Sylvain Berrios reconnaîtra publiquement les signatures en blanc dès le lendemain du Conseil municipal dans une note interne publiée dans la presse[9].
En , il demande officiellement aux Républicains l'investiture pour les élections législatives de [10]. Le parti investit finalement André Kaspi.
.Selon un article du site Off-Investigation, en 2024, la justice a ouvert une enquête sur d'éventuels conflits d'intérêts concernant entres autres la SCI ABBARA, entreprise propriétaire et constructrice d’immeubles et assurant aussi la location de terrains et de biens immobiliers, qu'il codétient, à hauteur de 50 %, avec Hughes Anselin (lui même déjà concerné par une plainte déposée par l’association AC Anti-Corruption[13]).
↑Laurent Terrade, « Métropole du Grand Paris : "Nous avons tout à construire" : Patrick Ollier, député-maire (LR) de Rueil-Malmaison a été élu vendredi 22 janvier président de la Métropole du Grand Paris (MGP). Il devient ainsi le premier président de cette nouvelle collectivité née le 1er janvier 2016. Retour sur la mise en place et la gouvernance d'une entité aussi inédite que complexe avec ses douze "territoires" se substituant aux anciens EPCI. », Localtis Info, (lire en ligne).