Dans Elle, Yann Moix fait une critique enthousiaste en reprenant les titres des 22 livres de l'écrivain parus jusqu'alors[3].
Patrick Besson, dans Le Figaro Magazine, dit de Marc-Édouard Nabe qu'il « menace dans le vide, vitupère en biais, accuse dans le vague, suspecte n'importe qui et dénonce tout le monde »[4]. Dans Paris Match, sous la plume de Gilles Martin-Chauffier, le livre est apprécié pour ses qualités littéraires, sans toutefois convaincre sur le fond[5]. Quatre mois après la publication, Marianne se fend d'un article sur le livre, ne rappelant que le passage dans l'émission Apostrophes (1985) et la réputation de l'écrivain[6].
Échos
En , à l'occasion de la parution de trois livres sur le 11-Septembre, Guillaume Chérel, dans Le Point, évoque Une lueur d'espoir, « qui se voulait prophétique et provocateur »[7].
↑Patrick Besson, « Nabe, l'indic tout court », Le Figaro Littéraire,
↑Gilles Martin-Chauffier, « Nabe écrit bien mais n'importe quoi... », Paris-Match,
↑C.-D. M., « Moi, je, tout...pourvu que ça choque », Marianne,
↑Guillaume Chérel, « Frédéric Beigbeder, Luc Lang, Didier Goupil : Les scribes de l'Apocalypse », Le Point, , p. 78
↑Aude Lancelin, « Richard Millet, tragédien et martyr », Marianne, no 803, , p. 72 :
« Marc-Edouard Nabe avait tenté - et raté - le même type d'opération en 2001, évoquant louangeusement dans Une lueur d'espoir la figure de Ben Laden. Aujourd'hui, c'est Richard Millet qui, sur fond d'islamophobie banalisée, tente de gagner ses ultimes galons d'ennemi public numéro un grâce au white trash décompensé Breivik. »