Il porte le sous-titre Songs of Argentina and Brazil / Mélodies d’Argentine et du Brésil[3].
Thème
L'album reprend le titre de la mélodie romantique et nostalgique figurant en piste 9, qui évoque un oiseau bleu chargé de retrouver et de dire à la bien-aimée que son amoureux ne peut vivre sans elle[4],[5].
David Vernier, dans sa revue sur Classicstoday[3], considère la sélection interprétée par Agathe Martel : comme « des mélodies peu connues mais absolument de premier ordre, éminemment chantables, immédiatement attrayantes qui honorent la voix et charment l'oreille ».
De même, Richard Turp écrit sur Rayon Musique à son sujet[2] :
« Un très bel enregistrement de par la qualité de l’interprétation et de l’originalité du programme. Agathe Martel a une voix très chaleureuse et colorée. Elle chante ce répertoire peu connu mais fort accessible avec beaucoup de finesse et de sensualité. »
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2002-2003 : prix Opus pour le disque Vai Azulão, Mélodies d'Argentine et du Brésil, nomination dans la catégorie Disque de l'année — Musiques classique, romantique, postromantique, impressionniste[8].
Bibliographie
(en) Paula Citron, « Agathe Martel », Opera Canada, Toronto, vol. 44, no 4, (ISSN0030-3577, lire en ligne)
↑(en) Patricia Caicedo, The Latin American Art Song : Sounds of the Imagined Nations, Rowman & Littlefield, , 188 p. (ISBN978-1-4985-8163-9, lire en ligne)
↑(pt) Poesia, Clube de Poesia de São Paulo., (lire en ligne)
↑(en) Ira Siff, « Agathe Martel », Opera News Online, (consulté le )