William Brymner est un peintre canadien né le et mort le [1].
Biographie
William Brymner naît à Greenock en Écosse. Sa famille émigre au Canada en 1857 et s'installe à Montréal en 1864. De 1864 à 1870, il étudie en français au petit séminaire de Sainte-Thérèse-de-Blainville[2]. En 1878, William Brymner se rend à Paris, il s'inscrit à l'Académie Julian où il a pour maîtres William-Adolphe Bouguereau et Tony Robert-Fleury.
Il épouse dans la ville de Montréa Mary Caroline Larkin et de leur union ne naquit aucun enfant[3].
À l’hiver 1880 il revient au Canada et enseigne à l’École des beaux- arts d’Ottawa. Il repart brièvement en France en 1881, puis en 1883. Il expose l’œuvre intitulée : À Brolles au Salon de la Société des Artistes français à Paris en 1885[4]. Cette même année, il s'installe à Baie-Saint-Paul[5].
Une crise d'apoplexie en 1917 met un terme à sa carrières d'artiste et il passe le reste de sa vie à voyager aux côtés de son épouse notamment en France et en Italie [3]
Il meurt en 1925 à Wallasey en Angleterre au cours d'une visite familiale.
↑Boutilier, Alicia Anna, 1968-, Maréchal, Paul, 1965-, Bouchard, Lydia, 1975- et Agnes Etherington Art Centre., William Brymner : peintre, professeur et confrère, Agnes Etherington Art Centre, (ISBN978-1-55339-254-5 et 155339254X, OCLC502633579, lire en ligne)
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009, p.34-38
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009, p.42
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009,p.38-40
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009, p.46-49
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009, p.49-51
↑« Jeune femme », sur www.beaux-arts.ca (consulté le )
↑Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, juin 2009, p.51-53
Lydia Bouchard, « Les paysages québécois de William Brymner, expérience de la nature comme lieu identitaire canadien au tournant du XXe siècle », mémoire de maîtrise en étude des arts, Université du Québec à Montréal, . lire en ligne
Alicia Boutilier et Paul Maréchal, William Brymner: peintre, professeur, confrère, Kingston, Agnes Etherington Art Center at Queen's, 2010, 149 p.