Il affirme au cours d'un interview en qu'il en aurait été congédié le en raison de ses prises de position dans l'affaire Polanski[6].
Engagements politiques
Il aurait signé en l'appel des intellectuels appelant à voter pour Ségolène Royal[7],[8],[9],[10], ce qu'il démentira en 2018[11].
Il se réclame d'une « gauche libertaire » et fut proche de François Hollande, qu'il décrit néanmoins comme « un pur opportuniste »[8].
Puis, en 2017, son ouvrage Citoyenneté et loyauté acte un tournant populiste et extrême-droitiste. Sur l'immigration, il déclare : «Le migrant est un touriste qui ne veut pas repartir - sauf le jour où il aura des papiers qui lui permettront de retourner dans son pays d'origine… comme vacancier» ; sur les cités de banlieue : « hors la loi » ; sur l'accueil des réfugiés, les prisons, la déchéance de nationalité, le statut des binationaux, les largesses coupables de l’État-providence : «L’État de droit protège mieux ceux qui l'attaquent et le bafouent que ceux qu'il est censé protéger ». Enfin, il devient pour le rétablissement dans certains cas d'une « peine de mort civile »[12].
Humain, inhumain, trop humain : réflexions philosophiques sur les biotechnologies, la vie et la conservation de soi à partir de l'œuvre de Peter Sloterdijk, suivi de Le Diable dans les détails, nouvelle éd. revue et augmentée, Paris, Climats, 2006
Changements dans la violence : essai sur la bienveillance et sur la peur, 2002
Face à la classe : Sur quelques manières d'enseigner (Avec Sébastien Clerc), Gallimard, coll. « Folio actuel (inédit) » (no 142), , 368 p. (ISBN978-2-070-43931-7)
Ibiza mon amour : enquête sur l'industrialisation du plaisir, Nil, , 351 p. (ISBN2841115208)
↑À partir de 2001, une association est créée, UTLS-la suite, pour proposer gratuitement au grand public des conférences données par les plus grands scientifiques, chercheurs et intellectuels venus faire part de l’état de leurs recherches les plus actuelles. L'association est soutenue par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le ministère de l’Éducation nationale ainsi que plusieurs régions : Île-de-France, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Aquitaine, Bourgogne, Auvergne, Nord-Pas-de-Calais. L'association a cessé son activité le .