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Église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance d'Abou Gosh

Église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance
Image illustrative de l’article Église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance d'Abou Gosh
Façade de l'église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance située à Abou Gosh, en Israël.
Présentation
Culte Culte catholique
Dédicataire Notre-Dame
Type Église
Début de la construction XXe siècle
Fin des travaux XXe siècle
Style dominant Architecture moderne
Géographie
Pays Drapeau d’Israël Israël
Ville Abou Gosh
Coordonnées 31° 48′ 27″ nord, 35° 06′ 11″ est
Géolocalisation sur la carte : Israël
(Voir situation sur carte : Israël)
Église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance d'Abou Gosh
Géolocalisation sur la carte : Moyen-Orient
(Voir situation sur carte : Moyen-Orient)
Église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance d'Abou Gosh

L'église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance (en hébreu : כנסיית גבירתנו של ארון הברית) est une église catholique située à l'extrémité nord-ouest de la ville d'Abou Gosh dans le centre d'Israël.

Église moderne datant du XXe siècle, elle a été construite à l'emplacement d'une précédente église byzantine du Ve siècle[1]. Elle a été fondée par sœur Joséphine de Jérusalem, religieuse des Sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition, avec le mécénat du comte Marie Paul Amédée de Piellat qui a financé plusieurs autres projets de communautés catholiques françaises en Terre sainte, et qui a mené des fouilles sur ce site[1].

Le lieu où l'église a été bâtie serait celui où l'Arche d'alliance a reposé pendant vingt ans, jusqu'à ce que le roi David prenne Jérusalem et y transfert l'Arche. L'église serait donc située sur le lieu biblique de Kiryat Yéarim.

L'église Notre-Dame-de-l'Arche-d'Alliance.

Références

  1. a et b (he) Zvi Shiloni, « מפעלות הבארון הצרפתי דה-פיילא בארץ הקודש () » [« Les activités du comte de Piellat en Palestine () »], Cathedra, no 72,‎ , p. 63–90, spécifiquement p. 81 et n. 64 (JSTOR 23403720), repris dans Zvi Shiloni (trad. Dominique Trimbur), « Un mécène catholique : le comte de Piellat et les communautés françaises de Terre sainte », dans Dominique Trimbur (dir.) et Ran Aaronsohn (dir.), De Bonaparte à Balfour : La France, l'Europe occidentale et la Palestine, , Paris, CNRS Éditions, coll. « Mélanges du Centre de recherche français de Jérusalem », (réimpr. numérique en par OpenEdition), 464 p. (ISBN 978-2-271-06671-8 et 978-2-271-07785-1, DOI 10.4000/books.editionscnrs.2799), p. 255–279, spécifiquement p. 272 et n. 59 [lire la page sur Google Livres], et § 37 dans l' éd. d'OpenEdition [lire en ligne], citant notamment Goren 1991.

Bibliographie

  • (he) Haïm Goren, « המוסדות הנוצריים באבו-גוש בעת החדשה » [« Institutions chrétiennes du début du 20e siècle à Abū Ghōsh »], Cathedra, no 62,‎ , p. 80–106, spécifiquement « כנסיית גבירתנו של ארון-הברית » [« Église Notre-Dame de l'Arche-d'Alliance »], p. 97–103 (JSTOR 23402334).

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