Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma, notamment Lettre ouverte à François Truffaut (1987) ainsi qu'une biographie de Frank Sinatra, Histoire de Frank (2003). En 2019, il brosse un portrait critique du cinéma français contemporain dans le pamphlet(Très) cher cinéma français[3],[4], qui est à son tour critiqué comme étant un « court pamphlet déploratif »[5].
En 2002, il initie avec Jean-François Coulomb une pétition demandant une « solution rapide et décente aux problèmes fiscaux de Françoise Sagan », condamnée pour une fraude fiscale sur ses revenus de 1994, devenant de fait redevable à l’État de 838 469 euros, en considérant que si « Françoise Sagan doit de l'argent à l’État, la France lui doit beaucoup plus : le prestige, le talent, un certain goût de la liberté et de la douceur de vivre[9]. »
↑Lucile Commeaux de France Culture estime qu'Éric Neuhoff « idéologise avec éclat le fonctionnement patriarcal du cinéma français, et incarne à lui seul la bonne vieille critique à la papa, dessinant un schéma simple, dont […] personne n’est complètement dépourvu dans le métier : le réalisateur en prédateur, l’actrice en proie, le critique en pornographe, le spectateur en voyeur. » Voir : « Affaire Haenel-Ruggia : que peuvent en dire les critiques de cinéma ? », sur franceculture.fr, (consulté le ).