Ils s'opposèrent à ce que la Normandie fût démembrée pour le frère du roi, Charles de France, et décidèrent que l'apanage des princes ne consisterait désormais qu'en un revenu fixe de rente.
« La royauté faisait un pas de plus vers l'absolutisme. [...] Les députés de Tours redoutaient une nouvelle guerre de Cent Ans ; ils faisaient confiance au roi et préféraient sa poigne de fer à l'anarchie[2]. »
Notes et références
↑Bordonove, Georges, Louis XI, Paris, Pygmalion, 1986, p. 126.
↑Bordonove, Georges, Louis XI, Paris, Pygmalion, 1986, p. 128.
Bibliographie
Neithard Bulst, Les états généraux de France de 1468 et 1484. Recherches prosopographiques sur les députés, éditions de la Sorbonne, 2022.