Plusieurs missions du programme CPLS de la NASA doivent déposer une charge utile à la surface de la Lune[3] :
L'atterrisseur SERIES-2 de la société Draper doit déposer l'instrument PRISM science dans le cratère de Schrödinger situé sur un terrain volcanique dans la région du pôle sud sur la face cachée de la Lune.
L'atterrisseur XL-1 doit déposer 8 instruments à la surface de la Lune[4].
Satellites scientifiques
Plusieurs satellites scientifiques doivent être placés en orbite en 2026 :
Le télescope spatial infrarouge Nancy-Grace-Roman développé par la NASA utilise une optique similaire à celle du télescope spatial Hubble. Il est chargé d'étudier l'énergie noire, doit effectuer un recensement statistique (masse et distance de leur étoile) des exoplanètes situées dans le bulbe galactique par l'observation des microlentilles gravitationnelles, identifier et de caractériser celles situées à proximité du système solaire à l'aide d'un coronographe et cartographier l'ensemble du ciel dans l'infrarouge[5].
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Missions spatiales habitées
La mission Artemis III est la première mission à déposer des hommes sur la Lune depuis le programme Apollo (1969-1973). Elle doit permettre de valider le fonctionnement de la version lunaire du Starship lors d'une mission habitée.
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Nombre de lancements par pays ayant construit le lanceur. Le pays retenu n'est pas celui qui gère la base de lancement (Kourou pour certains Soyouz, Baïkonour pour Zenit), ni le pays de la société de commercialisation (Allemagne pour Rokot, ESA pour certains Soyouz) ni le pays dans lequel est implanté la base de lancement (Kazakhstan pour Baïkonour). Chaque lancement est compté une seule fois quel que soit le nombre de charges utiles emportées.
Ce tableau ne sera mis à jour qu'une fois l'année en cours terminée.