Toujours en quête de la simplicité, le travail d'Adeline André se résume dans une recherche, expérimentation de nouvelles coupes de vêtements : « robe pantalon tourné », « robe jambe libre », « robe dos décapotable » notamment, en 1996 « une maille aux bords roulants » etc.
En 1987, elle arrête la diffusion de ses collections de prêt-à-porter pour se consacrer exclusivement au sur-mesure, lançant en 1992 le concept du « topofwear » présentations privées et itinérantes dans des galeries, ateliers ou salons de ses amis à Paris, Londres et New York
En , Adeline André devient « Membre invité », et en « Membre permanent » de la Chambre syndicale de la haute couture[3] bénéficiant de l’appellation haute couture.
En 2012, Didier Grumbach lui remet les insignes de Chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur.
Adeline André enseigne les couleurs à l'École de la chambre syndicale de la couture parisienne, participe à des expositions dans des galeries et musées et crée des costumes pour des ballets, des pièces de théâtre et des opéras.