Alain, Jacques, Henri, François Marschall[2] débute comme reporter à Nice en 1985 au sein de Radio Baie des Anges[3], puis intègre RMC[4] en 1988 jusqu'en 1992[5]. À la télévision, il participe en tant que reporter pigiste aux émissions Ciel mon mardi ! et Combien ça coûte ?.
Entre 1994 et 2000, après six années passées à RFI, il revient en tant que journaliste à RMC en janvier 2001 pour animer les informations de 12 h à 13 h et de 18 h à 19 h.
Depuis 2002, il anime des émissions de débat avec Olivier Truchot : Controverses (2002 - 2003), On nous la fait pas (2003 - 2004) et depuis 2004, le grand show d'actualité Les Grandes Gueules[6],[7].
À la rentrée de , tout en poursuivant son émission sur RMC, Alain Marschall reprend, avec son compère Olivier Truchot, la case 19 h - 20 h sur la chaîne d'information en continu BFM TV avec une émission interactive 19h Marschall Truchot proposant aux téléspectateurs de commenter l'actualité[8].
À partir de , Alain Marschall présente, toujours avec Olivier Truchot, BFM Story de 17 h à 18 h (décalé d'une heure jusqu'à 19 h en [9]), un débat autour du « fait marquant du jour »[10].
Le et le , il anime les soirées électorales de BFM TV des présidentielles françaises. En , il anime aussi la campagne législative.
Entre et , il anime le 20h Politique de 20 h à 20 h 30 et le 20h30 Live de 20 h 30 à 21 h du lundi au jeudi, avec Thierry Arnaud (remplacé par Laurent Neumann en septembre 2019) et Ruth Elkrief à la suite du départ d'Olivier Mazerolle.
Dès la rentrée 2020, il présente une nouvelle tranche d'information intitulée Le 120% News entre 19 h et 21 h du lundi au jeudi[12].
Depuis la rentrée 2021, à la suite de la suppression du 120% News, il retrouve la présentation de l'émission BFM Story avec son compère Olivier Truchot du lundi au jeudi de 16h50 à 18h50.
Controverses
L'association Acrimed (Action critique Médias) a consacré plusieurs articles à commenter des émissions radio (RMC[13]) et TV (BFM TV[14]) auxquelles a participé Alain Marschall. Elle lui reproche sa partialité, et d'être un des « nouveaux chiens de garde » défendant le libéralisme économique.
Le magazine Marianne s'interroge en 2017 sur l'hégémonie supposée d'Alain Marschall sur les informations à BFM TV[15].