Après de brillantes études à la faculté de médecine de Strasbourg, où il est interne, il exerce dans divers hôpitaux alsaciens. Il termine son internat à la faculté de médecine de Nancy après que son père a rejoint Nancy. Il y soutient sa thèse en 1874, distinguée par le prix Jobert de l'Académie des sciences[réf. nécessaire]. Il devient professeur à la faculté et directeur de l'école départementale des accouchements. Il fonde en 1890 l'« Œuvre de la maternité » qui promeut l'allaitement maternel. Il occupe à plusieurs reprises le poste de président de la Société médicale de Nancy, et en 1912, celui de la Société obstétricale de France.
« Lettre sur l'enseignement obstétrical de Vienne », Annales de Gynécologie, , Texte intégral.
Des maladies fœtales qui peuvent faire obstacle à l'accouchement, [Thèse présentée au concours pour l'agrégation. Section de chirurgie et d'accouchements], Paris, Octave Doin, 1878.
Note sur un cas d'accidents gravido-cardiaques observé à la Maternité de Nancy, Paris, impr. de A. Parent, [1880?].
Note sur un cas de vagin et d'utérus doubles ("uterus bipartitus globularis"), [Extrait des Annales de gynécologie, 1880], Paris, H. Lauwereyns, 1880.