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Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de . Le canton d'Eymoutiers est conservé et s'agrandit. Il passe de 12 à 32 communes[2].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballottage : Marc Ditlecadet et Mélanie Plazanet (Union de la Gauche, 31,14 %) et Thierry Lafarge et Jacqueline Lhomme-Leoment (DVG, 29,51 %). Le taux de participation est de 59,09 % (9 295 votants sur 15 731 inscrits)[9] contre 57,81 % au niveau départemental[10] et 50,17 % au niveau national[11].
Au second tour, Thierry Lafarge et Jacqueline Lhomme-Leoment (DVG) sont élus avec 51,83 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 56,87 % (3 914 voix pour 8 947 votants et 15 732 inscrits)[12].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[13]. Dans le canton d'Eymoutiers, ce taux de participation est de 39,54 % (5 999 votants sur 15 171 inscrits)[14] contre 37,25 % au niveau départemental[15]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Jacqueline Lhomme Leoment et Patrick Malet (Union à gauche, 45,28 %) et Alain Debrosse et Emilie Pons-De Launay (DVD, 41,86 %)[14].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[16], 38,38 % dans le département[15] et 41,47 % dans le canton d'Eymoutiers[14]. Jacqueline Lhomme Leoment et Patrick Malet (Union à gauche) sont élus avec 55,67 % des suffrages exprimés (3 230 voix pour 6 293 votants et 15 173 inscrits)[14],[17],[18].
En 2022, le canton comptait 19 511 habitants[Note 2], en évolution de −0,3 % par rapport à 2016 (Haute-Vienne : −0,68 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
(Sources : Base Insee, population municipale à partir de 2013[21].)
Notes et références
Notes
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[8].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne)
Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : les communes de la France, Paris, Ined, , 407 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne).