L'implantation de l'homme sur les bords des lacs de Clairvaux s'est faite dès le Néolithique, où un riche patrimoine de cette période est découvert au début du XXe siècle. Le site est inscrit le sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
Ses habitants s'appellent les Clairvaliens et les Clairvaliennes.
Le village et les deux lacs se situent dans une petite reculée creusée par le glacier jurassien à l'origine des deux lacs. On trouve deux torrents : le Drouvenant, dont la gorge se situe au pied du village et l'Augeon, le torrent alimentant les deux lacs qui traverse le village, avant de creuser une autre gorge qui rejoint celle du Drouvenant à hauteur de la tour du château. À l'est, un plateau forestier, sur lequel se situe le village d'Hautecour, qui monte progressivement jusqu'à des altitudes d'environ 800 mètres, dominant le val du Drouvenant, au-dessus de Châtel-de-Joux. À l'ouest le territoire descend sur la combe d'Ain vers une altitude de 450 mètres.
Le territoire de la commune occupe une superficie de 1 228 ha dont 467 ha de bois.
Les deux lacs ont, quant à eux, une surface respective de 64 et 21 ha. Autour du Grand Lac s'est développé dès les années 1950, un important centre touristique : 4 campings-caravaning de une étoile à quatre étoiles, tous les loisirs aquatiques : baignades, activités nautiques (planche à voile, voile, pédalos), pêche...
Le village est bâti sur des sédiments morainiques datant de la glaciation de Würm, dont les lacs en sont un autre résidu. Le plateau forestier de Champagnole est constitué de calcaires datant du Kimméridgien, du Ptérocérien et de l'Oxfordien. Ces calcaires sont recouverts par les sédiments morainiques aux altitudes les plus basses du plateau (entre 600 et 700 m), puis les calcaires apparaissent à l'affleurement sur les altitudes plus élevées. Les deux lacs sont entourés d'un anneau de dépôts lacustres divers et de tourbes. La partie occidentale de la commune située dans la combe d'Ain est constituée de résidus glacio-lacustres du Würm et de sédiments morainiques correspondant à l'ancienne langue glaciaire d'Orgelet. Les contreforts des collines séparant la combe d'Ain de la combe des lacs claivaliens correspondent aux anciennes moraines, tandis que les collines en elles-mêmes sont constituées de marno-calcaires de l'Oxfordien et de l'Argovien, recouverts par endroits par des dépôts morainiques. Au nord du village, la vallée du Drouvenant est composée d'alluvions divers associés par endroits à des sédiments glacio-lacustres du Würm[1].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 546 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogna », sur la commune de Cogna à 1 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 557,5 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Au , Clairvaux-les-Lacs est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (46 %), prairies (17,9 %), terres arables (14,9 %), zones urbanisées (9,7 %), eaux continentales[Note 2] (6 %), zones humides intérieures (2,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 910, alors qu'il était de 897 en 2013 et de 898 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Clairvaux-les-Lacs en 2018 en comparaison avec celle du département du Jura et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,3 %) supérieure à celle du département (10,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 54,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (54,5 % en 2013), contre 65,8 % pour le département du Jura et 57,5 % pour la France entière[I 3].
La première mention de Clairvaux date de 1089 qui parle d'une donation à l'abbaye de Cluny par un religieux nommé Hugues de Chatillon. L'origine du nom provient de Clara-Vallis, ce qui signifie la « vallée claire », terme utilisé au XIe siècle pour désigner certains noms de lieux. Une autre hypothèse serait que « Cler » correspond à clérical ou à claire, alors que « volx » ou « valx » correspond à un dérivé de « volere » qui marque la volonté, plus qu'une vallée ; le nom Clairvaux date de la période des croisades et aurait alors subi une influence religieuse[16].
Les orthographes successives du nom furent Clervaux, Clervolx, Clervaux, Clairvaux puis Clairvaux-du-Jura[17], Clairvaux-les- Vaux-d'Ain[18] et enfin Clairvaux-les-Lacs à partir de 1930[19].
La commune, jusqu'alors dénommée Clairvaux, est renommée Clairvaux-les-Lacs en 1930[20]
La première trace écrite de Clairvaux remonte à 1089. Les plus anciens registres de l'état civil datent de 1640.
Le village avait un château datant du XIIe siècle, qui est démantelé vers 1668 après la signature du traité d'Aix-la-Chapelle. Il ne reste actuellement de ce château que la tour, qui a été amputée de deux étages, la chapelle castraleNotre-Dame de l'Isle, quelques parties de la muraille et des morceaux de tours qu'un œil attentif peut déceler sur des bâtiments du centre-ville.
Les barons de Clairvaux appartiennent d'abord à la famille deCuiseaux ou Cuisel, qui avait aussi Mont-Saint-Sorlin, Virechâtel, et le château de Joux en paréage avec l'abbé de St-Claude: ainsi Renaud, Hugues, quatre Pons/Ponce de Cuiseaux, et Humbert de Cuiseaux aux XIIe et XIIIe siècles. Au début du XIVe siècle, les deux filles d'Humbert, Nicole et Marguerite de Cuiseaux, se partagent sa succession (leur frère Etienne, encore présent en 1301, étant disparu) : alors que Nicole épouse Hugues II d'Usie et reçoit Mont-Saint-Sorlin, Vertamboz et Charcier, sa sœur Marguerite de Cuiseaux, † après 1344, obtient Clairvaux et Châtel-de-Joux, qu'elle transmet à son mari Jean de Faucogney-Villersexel, † en mai 1319, fils d'Aymon de Villersexel et petit-fils d'Aymon III de Faucogney.
Jean de Villersexel et Marguerite de Cuiseaux de Clairvaux ont deux fils : Aymon († 1360 ; époux de Jeanne de La Roche, † 1375, dame de Saint-Hippolyte et de La Roche-en-Montagne (fille de Richard de La Roche-en-Montagne et de Mahaut/Mathilde fille de Gauthier IIde Montfaucon), et Humbert de Clairvaux († 1345 ; époux de Marguerite, † après 1372, dame de Châtillon-sous-Maîche et de Maîche, sœur cadette de Jeanne). Humbert reçoit Clairvaux, qui passe à la génération suivante à Henri de Villersexel, † 1412, son fils ou son neveu. En effet, Henri était-il plutôt le fils d'Aymon de Villersexel et de Jeanne de La Roche, ou bien d'Humbert et de Marguerite de La Roche selon l'érudit Alphonse Rousset (qui fait d'Aymon un ecclésiastique, Grand-archidiacre de Besançon)[23] ?
Toujours est-il que de sa femme Guillemette de Vergy, † 1401 et mariée en 1357, fille de Jean II le Borgnede Vergy sire de Champlitte et Fouvent, Henri de Villersexel de Clairvaux a deux fils : Humbert, † vers 1437 sans postérité, comte de La Roche, sire de Villersexel, Maîche et Saint Hippolyte, et aussi d'Orbe par son premier mariage avec Marguerite de Montfaucon-Montbéliard ; et son frère cadet Guillaume Ier de Villersexel[24], † 1396 à Nicopolis, sire de Clairvaux et de Joux, mari de la capétienne Catherine de Bourgognede Montaigu dame de Mâlain et Sombernon, † 1431, d'où Claudine (sans postérité de son mari Olivier de Longwy-Neublans seigneur de Rahon et Longepierre, † 1463), Béatrix (x Didier de Cicon : postérité), et Guillaume II de Villersexel de Clairvaux, † 1472, mari de Charlotte de Noyers-Rimaucourt, petite-fille de Jean de Noyers (premier comte de Joigny : leur fille Jeanne de Villersexel, † 1460, dame de Clairvaux, Joux, Sombernon et Mâlain, épouse en 1435 Guillaume Ier de Bauffremont-Scey, † 1474.
Temps modernes
On trouve cette description de Gilbert Cousin à la Renaissance: Non loin de là est Clairvaux, place située près de la rivière d'Ain. On y prépare la laine, on la peigne et on la façonne à la main, puis on la tisse pour en faire des draps. Il y a là un couvent de Carmes. Clairvaux est la patrie de Jean Bondieu et d'Antoine Favernier, hautement estimés en tous lieux pour leurs travaux.[18]
Révolution française et Empire
Les Bauffremont-Scey gardent Clairvaux jusqu'en 1808 : le prince Alexandre de Bauffremont (1773-1833) vend alors le domaine de Clairvaux à Noël-Nicolas-Ménil Lemire, capitaine de vaisseau et maître de forges à Clairvaux, acquéreur du domaine de Vertamboz en 1807.
La commune est classée comme station de tourisme[38]
Démocratie participative
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Du 15 février 2009 au 15 février 2011, un conseil municipal des jeunes clairvaliens a été mis en place. Il a été composé d'un maire, de quatre adjoints et de dix conseillers, tous âgés entre 9 et 16 ans[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2021, la commune comptait 1 426 habitants[Note 4], en évolution de −0,83 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2021, la commune comptait 1 426 habitants[Note 4], en évolution de −0,83 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En bordure du rond-point qui fait la jonction des routes D678 et D27 à l'entrée du centre de Clairvaux, il y a le moulin Lépine, dit moulin d’Augeon, un des anciens moulins seigneuriaux de la commune installés sur la Raillette, la rivière qui sert de déversoir au grand lac[13]. En 1878, en aval jusqu'à la confluence avec le Drouvenant, il y avait au moins cinq moulins à blé, à chanvre ou à écorce pour la fabrication du tanin, des clouteries et pour le fonctionnement des martinets, tel que la dernière usine la papet[44].
Le moulin Lépine a été la propriété des seigneurs de Clairvaux, puis durant cinq siècles de la famille de Bauffremont. Avant la Révolution, le seigneur Bauffremont vend sa propriété à l’industriel et maître de forges Noël-Nicolas Ménil Lemire. Compte tenu de problèmes administratifs et judiciaires, il n’en devient véritablement propriétaire qu’en 1808. Il entreprend la reconstruction du moulin vers 1843-1845. Chaque année, on y moud près de « 100 000 double décalitres de grains », ce qui correspond. à 350 kg de farine par heure soit environ 110 tonnes par an[44].
En 1854, le moulin est intégré dans la société des Hauts Fourneaux, Fonderies et Forges de Franche-Comté. Vers 1899, avec l’arrêt de cette société, le moulin est vendu puis modernisé et transformé en minoterie par Jules Chauvin, une turbine remplaçant les roues hydrauliques. Le moulin devient également le fournisseur d’électricité du premier éclairage public de Clairvaux et ce jusqu’en 1930. Les appareils à cylindres sont également mus par le courant électrique produit par une turbine dans une ancienne huilerie située à 330 mètres en aval sur la Raillette[44].
En 1920, la minoterie est acquise par Monsieur Lépine, dont les fils assurent le fonctionnement jusqu’en 1986. En 1940, elle compte cinq personnes. À partir de 1948, la minoterie se diversifie en traitant également des céréales secondaires pour le bétail. En 1965, cette fabrication est transférée dans une usine d’aliments pour bétail construite à proximité à cet effet et vendue en 1992 à la société Philicot Franche-Comté. Lépine à Clairvaux-les-Lacs en devient le site de production. En 1972, des bureaux sont construits à l’emplacement du local de l’ancienne machine à vapeur. Le matériel est modernisé en 1974 puis, après la fermeture, est vendu à la mairie qui ne poursuit pas la production d'électricité avec la turbine[44].
Tour de l'ancien château (XIIIe-XVe-XVIIe s), inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1932[45].
Ancienne papeterie (XVIIIe-XIXe s), puis tournerie (XIXe-XXe s), sise au lieu-dit "la Vieille Foule", inscrite à l'IGPC depuis 1995[46] ;
Ruines des forges (XVIIIe-XIXe s), sise au lieu-dit "la Forge", inscrite à l'IGPC depuis 1995[47] ;
Moulins (XIXe-XXe s), sis Grande Rue et au lieu-dit "sous le Château", inscrits à l'IGPC depuis 1995[48],[49]. Le premier abrite aujourd'hui une minoterie, et le second, une lunetterie ;
Fontaine de l'église (XIXe s) ;
Ancienne diamanterie (XXe s), puis boissellerie et usine de contre-plaqué, sise route de Lons-le-Saunier, inscrite à l'IGPC depuis 1995[50].
Musée des maquettes à nourrir et courir le monde, qui expose sur 1000 m² une centaine de maquettes minutieuses réalisées par le clairvalien Marcel Yerly au cours de 45 ans de vie. Cette collection comporte notamment des machines agricoles, des voitures, des locomotives, des bateaux, des motos et des avions. Chaque maquette, d'un longueur de cinq centimètres à trois mètres, a été fabriquée en bois sur un établi rudimentaire. Parmi la flotte de bateaux, il y a ceux de l'expédition de Christophe Colomb et la mythique Hermione. Il y a également une maquette fonctionnelle d'une scierie à vapeur. En plus d'un film de 15 minutes qui présente l'artiste local et ses créations, sont également exposés plus de cent tableaux peints par Marcel Yerly[53].
Galerie du musée des maquettes à nourrir et courir le monde
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 132 à 134.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Le 8 avril 2011, le maire Yves Claudey est retrouvé mort, pendu dans la station d'épuration. Les raisons de ce suicide ne sont pas établies. Cependant, Yves Claudey avait mis à l'ordre du jour du Conseil municipal du 18 mars la question de ses frais de mission, il avait indiqué au cours de la séance avoir perçu des remboursements irréguliers de notes de frais pour un montant de 1 350 € et avait proposé de régulariser la situation ; le Conseil municipal avait refusé cette proposition[32]
↑ a et bPopulation municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Carte géologique de la France consultée sur le site du BRGM.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Jean-Pierre Vuillemot, Histoire des noms de lieux du Jura, Arts et Littérature, , 377 p. (ISBN978-2912351272).
↑Attesté en 1898 : Jules Sicard. Clairvaux du Jura, station climatique : la Franche-Comté pittoresque. Hachette Livres BnF, 1898, réédition 2013. (ISBN978-2012177758).
↑ a et bGilbert Cousin de Nozeroy University of Michigan, La Franche-Comté au milieu du XVIe siècle: ou, Description de la Haute ..., L. Declume, (lire en ligne)
↑Roger Brunet. Trésor du terroir - Les noms de lieux de la France. CNRS Editions, Paris 2016. (ISBN978-2-271-09278-6).
↑« Clairvaux-les-Lacs », sur CEGFC (Centre d'Entraide généalogique de Franche-Comté), d'après le Dictionnaire historique, géographique et statistique des communes de la Franche-Comté, t. II, par Alphonse Rousset, 1854.
↑« Le Pays des Lacs, vers une fusion avec quatre communautés de communes : Le conseil communautaire du Pays des Lacs s’est réuni jeudi 29 novembre. Il a abordé la fusion avec quatre autres communautés de communes », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑« La fusion de Jura Sud, Pays des Lacs, Région d’Orgelet et Petite Montagne se concrétise », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑Joffrey Fodimbi, « 82 % de communes favorables à la fusion des intercommunalités Jura Sud, Pays des Lacs, Petite Montagne et Région d’Orgelet : Alors que le projet avait débuté il y a plus d’un an, la fusion de Jura Sud, Pays des Lacs, Petite Montagne et Région d’Orgelet est désormais officiellement actée », Voix du Jura, (lire en ligne, consulté le ).
↑Liste des maires de Clairvaux de 1790 à 2001 établie par Jean Bonnetant, ancien adjoint à la mairie de Clairvaux
↑ a et bRenaud Lambolez, « Clairvaux-les-lacs : le maire retrouvé mort dans la station d’épuration : Yves Claudey s’est très vraisemblablement suicidé. Des proches l’ont retrouvé pendu dans la station d’épuration de la commune vendredi vers 23 heures », Le Progrès, 10/4/2011 mis à jour le 12/4/2011.
↑« Alain Panseri élu maire de Clairvaux », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le )« Alain Panseri a été élu maire hier soir par neuf voix sur quinze ».
↑Janine Sauvin, « Alain Panseri fait ses cartons et se confie : 5 ans au conseil municipal de Clairvaux dont 10 ans adjoint et 9 comme Maire. Qui est-il ? De quel « bord » est-il vraiment si tant est que cela a de l’importance dans une commune de 1 500 habitants ? Que laisse-t-il à son successeur ? », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Municipales 2020. La conseillère municipale d’opposition Hélène Morel-Bailly présente sa liste à Clairvaux-les-Lacs : Conseillère municipale dans l’opposition élue en 2014 à Clairvaux-les-Lacs, elle a décidé de conduire sa propre liste Agir Autrement pour les Clairvaliens », Voix du Jura, (lire en ligne, consulté le ).
↑ abc et dCédric Perrier, « Jura. Le moulin Lépine vendu, il pourrait être transformé en gîte de haut standing », actu.fr / Voix du Jura, (lire en ligne, consulté le )