De 1940 jusqu'à la fin de 1944, la ville abrite un ghetto (Ghetto de Dej) où on enferme 7 800 juifs des environs. Ceux-ci y vivent dans des conditions exécrables, certains périssent sur place et la majeure partie d'entre eux sont déportés vers le camp d'extermination d'Auschwitz pour y être mis à mort[1].
Lors du recensement de 2011, 81,79 % de la population se déclarent roumains, 11,28 % comme Hongrois, 1,02 % comme roms (5,74 % ne déclarent pas d'appartenance ethnique et 0,74 % déclarent appartenir à une autre ethnie)[2].