Il est aujourd'hui considéré comme un NPS, et est consommé à titre récréatif. Il reste en 2017 une substance marginale, peu répandue. Du DiPT est identifié en France pour la première fois en 2011[6].
Chez l'humain, le DiPT est connu pour altérer principalement les stimulus auditifs, en produisant un effet de pitch shift. Cet effet est ressenti comme étant aléatoire, et des expériences menées par un élève d'Alexander Shulgin n'ont pas réussi à trouver de corrélation entre la fréquence du son original et celle du son entendu. Il serait potentialisé par la MDMA[5].
Cependant, cet effet n'a pas pu être observé sur des rats lors d'expérimentations cliniques[10].
↑(en) Theresa Carbonaro, Amy Eshleman, Michael Forster, Kejun Cheng, Kenner Rice et Michael Gatch, « The role of 5-HT2A, 5-HT2C and mGlu2 receptors in the behavioral effects of tryptamine hallucinogens N,N-dimethyltryptamine and N,N-diisopropyltryptamine in rats and mice », Psychopharmacology, vol. 232, no 1, , p. 275-284 (lire en ligne).
↑(en) Theresa Carbonaro, Michael Forster et Michael Gatch, « Discriminative stimulus effects of N,N-diisopropyltryptamine », Psychopharmacology, vol. 226, no 2, , p. 241-246 (lire en ligne).