H. von Wright fut aussi, dans les vingt dernières années de sa vie, un moralistepessimiste influencé par les idées d’Oswald Spengler, de Jürgen Habermas et de l’École de Francfort sur la rationalité. Son article le plus connu de cette période, « Le mythe du progrès » (Myten om framsteget en suédois, 1993), s’interroge sur la signification et la portée de notre apparent progrès matériel et technique.
↑Gilbert Hottois, Penser la logique: Une introduction technique et théorique à la philosophie de la logique et du langage, De Boeck Supérieur, (ISBN978-2-8041-3835-6, lire en ligne), p. 101
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