Kosmografia, czyli trzydzieści apokryfów tułaczych, catalogue de l'exposition "Świat Ptolemeusza. Włoska kartografia renesansowa w zbiorach Biblioteki Narodowej", 2012
Młodszy księgowy. O książkach, czytaniu i pisaniu, W.A.B., 2013
Matka Makryna (La Mère Makryna), W.A.B, 2014
Tajemnica domu Helclów (Le Mystère de la Maison Heltzel), Znak literanova 2015; sous le nom de plume de Maryla Szymiczkowa (avec son partenaire Piotr Tarczyński) collection Profesorowa Szczupaczyńska Zofia, tome 1)
Rozdarta zasłona (Le Rideau déchiré), écrit avec Piotr Tarczyński, Społeczny Instytut Wydawniczy Znak, 2016
Dysharmonia, czyli pięćdziesiąt apokryfów muzycznych (Disharmonie, ou cinquante apocryphes musicaux), Narodowe Forum Muzyki, 2018 (illustré par Jakub Woynarowski)
Seans w Domu Egipskim (La Séance dans la maison égyptienne), Znak literanova 2018, (sous le nom de Maryla Szymiczkowa, roman policier écrit avec Piotr Tarczyński collection Profesorowa Szczupaczyńska Zofia, tome 2)
Ćwiartka papieru, projet littéraire O_KAZ. Literatura o Kazimierzu, 2018
Ale z naszymi umarłymi (Mais avec nos morts), Wydawnictwo Literackie 2019
Złoty róg, Znak literanova 2020 (sous le nom de Maryla Szymiczkowa, roman policier écrit avec Piotr Tarczyński collection Profesorowa Szczupaczyńska Zofia, tome 3))
Traductions
Philip Larkin, Zebrane (en anglais : Collected Poems), Wrocław, Biuro Literackie 2008
Kārlis Vērdiņš, Niosłem ci kanapeczkę (en letton : Vedu tev siermaizīti), Wrocław, Biuro Literackie 2009
Edmund White, Hotel de Dream, Wrocław, Biuro Literackie 2012 (avec Piotr Tarczyński)
Henry James, Dokręcanie śruby (en anglais : The Turn of the Screw), Varsovie, W.A.B. 2015 (traduit par Witold Pospieszała en 2012 sous le titre W kleszczach lęku)[7].
Divers
Six Polish Poets (poète et rédacteur), Londres, Arc Publications 2009
Il vetro è sottile. Poeti polacchi contemporanei tradotti da poeti (poète et rédacteur avec Matteo Campagnoli(it)), Bellinzona, Casagrande 2012
Wielkie, pobrudzone, zachwycone zwierzę (responsable du choix de poèmes de Jarosław Iwaszkiewicz et auteur de la postface), Wrocław, Biuro Literackie, 2013
Le livre alterne l'évocation de telle peinture noire et les commentaires généralement féroces de Francisco, Javier (fils), Mariano (petit-fils) sur leurs vies (et peintures) croisées, pendant les dernières années de Goya, en Espagne, puis en France, puis le lourd héritage familial, à la Quinta del Sordo.
Krivoklat
Le livre se présente comme la confidence (en un seul paragraphe de près de 150 pages) d'un homme, enfermé comme fou, dans les années 2000, au Centre Médical du Château Immendorf(de), prestigieux dépôt d'art, à Wullersdorf, arrondissement de Weinviertel, en Basse-Autriche.
Il se présente comme arroseur d'œuvres à l'acide sulfurique, voire de chefs-d'œuvre, dans des musées célèbres.
L'inventeur de la Méthode Krivoklat est un connaisseur : Je m'honore de n'avoir jamais détruit une œuvre quelconque (p. 14). Il sait apprécier Bosch, Vermeer, Dürer, Rembrandt, Van Gogh, La Tour, Brueghel, Le Titien, Le Tintoret, Kubin, Feininger, Friedrich, Runge, Munch, Chardin, Velasquez, Renoir. Il sait se détourner de peintres moins intéressants, comme Rosalba Carriera (1675-1757), aussi côtés soient-ils. Il se fait prendre une fois à hésiter à vandaliser Memling ou Holbein. Ce qui entraîne à chaque fois procès et enfermement.
Au Centre Médical, l'art-thérapie du docteur Paul Immervoll n'est guère pertinente ni conséquente, dans la mesure même où celui-ci est responsable d'obstructions et de destruction de l'œuvre du patient Zeyetmayer, que Krivoklat aurait peut-être aimé vandaliser.