La commune est située dans le Massif central en Aubrac. Elle est arrosée par le ruisseau de la Barlaque et le ruisseau de Pasquiès, qui correspondent à la partie amont de la Coussane. Le territoire communal est également bordé à l'est par la Boralde Flaujaguèse et au nord-ouest par la Selves, dont une petite partie au niveau du lac de Maury.
La commune est drainée par la Boralde Flaujaguèse, la Selves, la Coussane, le Ruisseau d'Amarou, le ruisseau de Maganiou, Bras du Maganiou, le Riou Nègre, le ravin de Carcassonne, le ruisseau de Lagarde, le ruisseau de Las Costes, le ruisseau de la Serre, le ruisseau de la Vernhe, le ruisseau de Levers, par divers petits cours d'eau[1].
La Selves, d'une longueur totale de 44,5 km, prend sa source dans la commune de Laguiole et se jette dans la Truyère à Campouriez, après avoir arrosé 7 communes[3].
La Coussane, d'une longueur totale de 23,1 km, prend sa source dans la commune de Montpeyroux et se jette dans le Lot à Estaing, après avoir arrosé 3 communes[4].
La commune fait partie du SAGE Lot amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE concerne le bassin d'alimentation du Lot depuis sa source jusqu'à Entraygues-sur-Truyère dans l'Aveyron, où il reçoit la Truyère en rive droite. Il couvre ainsi 91 communes, sur deux départements (Lozère et Aveyron) et 2 régions – une superficie de 2 616 km2 et 1 400 km de cours d'eau permanents auxquels s'ajoutent jusqu'à 576 km de cours d'eau temporaires[8],[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte Lot-Dourdou (SMLD), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le par rapprochement de trois syndicats de rivières[Note 1] et est constitué de quatorze communautés de communes[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 431 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 5 km à vol d'oiseau[13], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [18] et d'une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[19],[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Montpeyroux comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 2],[21] :
les « Tourbières de la Fonvergne et mezeyrac » (14,9 ha), couvrant 3 communes du département[22]
la « Zone humide de la Fabrie » (10,8 ha), couvrant 2 communes du département[23];
le « Vallon de la Boralde flaujaguèse et ses affluents » (2 341 ha), qui s'étend sur 7 communes de l'Aveyron[26];
le « Versant occidental des monts d'Aubrac » (32 040 ha), couvrant 24 communes dont 17 dans l'Aveyron, 4 dans le Cantal et 3 dans la Lozère[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Montpeyroux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
prairies (68,7 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), eaux continentales (0,4 %)[28].
Lieux-dits et hameaux
6 villages éparpillés: Crozillac, Tesq, Le Bousquet, Saint Rémy, La Vitarelle, Cuzuel.
et 75 hameaux et lieux dits forment la commune de Montpeyroux:
Agols, Amaroux, Ambernaux, Ambert
Artis, Bellouet, Bories, Briounes,
Briounet, Camplo, Caveroc, Cestrieres, Combres,
Coussounoux, Escarlens, Esparoux, Falguieres,
Fond de Lugot, Fourmigal, Giscard, Ambernet
Barlaque, la Bessiere, la Borie du Penel, la Combe du Viala
la Coussanela, Deveze, la Fournetterie, la Garde,
la Grangette, la Griffoulette, la Plaine, la Romiguiere,
la Rouliere,la Rouquette, la Serre, le Bel
le Bergounhoux, le Brunet, le Cassagnou, le Cayla
le Caylarou, le Compayrel, le Cros, le Graissinoux
le Jonquet le Misserou, le Moulinet, le Pontel
le Refilhiol, le Regaussou, le Roc, le Sastre,
le Theron, le Valat, le Valenq, le Viala
le Villary, les 4 Routes, les Albusquies, les Bessades
les Cazals, les Combils, les Galens, les Hugoux
les Peyrousses, les Touns, Lindieres Marcastel
Marsagues Pinsonnac Redondet, Reveyrol,Soubeyrolles, Le Pont,Le Village,Mas Del Bosc, Moulin de l'Estaffie.
Le territoire de la commune de Montpeyroux est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[30],[31].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[33],[34].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Montpeyroux est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].
Toponymie
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Histoire
1790-1794 : Montpeyroux absorbe Engalenc, Esparou et Seignour Delcros.
1832 : Montpeyroux absorbe Le Bousquet, Brionnès et Crozillac.
Le conseil municipal de Montpeyroux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les dix-sept candidats en lice[43], quinze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[44].
Benoît Revel est élu nouveau maire de la commune le [45].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[46]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].
En 2022, la commune comptait 519 habitants[Note 5], en évolution de −4,95 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 1794, la population de Brionnès n'est pas reprise dans le tableau. Jusqu'en 1800, les populations du Bousquet, de Brionnès et de Crozillac ne sont pas reprises dans le graphique.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 299 personnes, parmi lesquelles on compte 83,8 % d'actifs (80,5 % ayant un emploi et 3,3 % de chômeurs) et 16,2 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 169 emplois en 2018, contre 161 en 2013 et 184 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 249, soit un indicateur de concentration d'emploi de 67,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 11].
Sur ces 249 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 136 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 57,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
47 établissements[Note 8] sont implantés à Montpeyroux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
47
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
20
42,6 %
(17,7 %)
Construction
7
14,9 %
(13 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
14
29,8 %
(27,5 %)
Information et communication
1
2,1 %
(1,5 %)
Activités immobilières
1
2,1 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
2
4,3 %
(12,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
2,1 %
(12,7 %)
Autres activités de services
1
2,1 %
(7,8 %)
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,6 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 47 entreprises implantées à Montpeyroux), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises
L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[54] :
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 121 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 97 en 2000 puis à 87 en 2010[57] et enfin à 79 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 35 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[58],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 4 704 ha en 1988 à 6 805 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 86 ha[57].
L'église Saint-Remi de Saint-Rémy-de-Bedène, XIVe siècle, elle a conservé son chœurroman du XIIe bâti par les moines.
La ChapelleNotre-Dame-de-la-Salette de Montpeyroux. Située sur un point de vue panoramique, la chapelle sert de socle à une statue de pierre de 3 m de haut.
Auguste Denayrouze, inventeur et créateur d'entreprises né le sur la commune ;
Pierre Labarthe (1846-1904), conseiller général, député de l'Aveyron de 1893 à 1898, siégeant avec les républicains.
Louis Denayrouze, frère d'Auguste, né le , ingénieur de l'École polytechnique en 1867 inventeur d'un appareil destiné au travail dans les mines, d'une lampe à pétrole étanche utilisable en version sous-marine ainsi qu'un cornet acoustique sous-marin. Il fut également romancier, poète, essayiste, auteur de pièces de théâtre et de nouvelles ;
Albert Calmels (1858-1935), professeur de rhétorique, a été le curé de Saint-Rémy de Montpeyroux entre 1899 et 1935. Il est à l’origine de la découverte de deux enceintes fortifiées sur la commune de Saint-Rémy de Montpeyroux et a écrit des guides touristiques, un livre intitulé « l'Aubrac » et une monographie de la paroisse de Saint-Rémy en 1923[60],[61].
Héraldique
Blason
De gueules à quatre croix latines d’or, mises en croix par la base, cantonnées en sautoir de quatre tours d’argent, mouvant des angles de l’écu, à un écusson d’azur chargé de trois tours d’or, brochant en cœur.
Détails
L’or et le gueules sont les couleurs du Rouergue, province d’appartenance de Montpeyroux.
Les quatre tours symbolisent chacun des châteaux de Montpeyroux : on trouve d’abord l’ancienne forteresse du village, le château du Bousquet, celui d’Ambre et celui d’Esparrou.
Les quatre croix haussées représentent quant à elles les quatre églises de la commune : celle de Bedène, celle du Bousquet, celle de Crozilhac et celle de Tesq. Ces croix sont disposées en croix pour représenter l’église du bourg même de Montpeyroux.
L’écu central est aux couleurs de la famille de Montpeyroux. La reprise intégrale des armes d'une famille étant interdite, il est cependant possible d’en reprendre un ou plusieurs éléments et de les intégrer dans un dessin plus vaste.
Les ornements sont deux branches de chênes de sinople, fruitées d’or, passés en sautoir par la pointe et liées d’or afin de représenter les forêts communales.
Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.
La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications[62]. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Bibliographie
Francis Falguières, Les seigneurs du Bousquet et leurs alliances, Sainte-Radegonde, F. Falguières, , 179 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en noir et en coul. ; 25 cm (ISBN978-2-7466-2457-3, BNF42319699)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Guy Dumas), La Guiòla : Cassuèjols, Curièiras, Mont-Peirós, Solatges / Christian-Pierre Bedel e les estatjants del canton de La Guiòla, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 372 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-51-3, ISSN1151-8375, BNF37658504)
Albert Calmels monographie de la paroisse de Saint-Rémy en 1923.guides touristiques et un livre intitulé « l'Aubrac »
↑Le Syndicat mixte Lot-Dourdou est issu de la fusion des trois syndicats de rivières -Syndicat mixte Lot Colagne (Lozère), SIAH de la Haute Vallée du Lot et SIAH de la Vallée du Dourdou de Conques (Aveyron).
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )