Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Ce nom de « Nouvelle Athènes », consacré par Adolphe Dureau de La Malle le [1], fait sans doute référence à l'architecture « antiquisante » de ses hôtels ainsi qu'au développement du philhellénisme très prégnant au sein de la communauté d'artistes prestigieux qui s'y installent. La formation et la culture des architectes qui ont construit les hôtels de la rue de la Tour-des-Dames justifie aussi cette appellation.
La « Nouvelle Athènes » était aussi réputée pour abriter de nombreuses jeunes femmes entretenues, appelées lorettes, du nom de l'église Notre-Dame-de-Lorette[2].
Notes et références
↑Journal des débats politiques et littéraires, 18 octobre 1823
↑Bernard Marchand, Paris, histoire d'une ville. XIXe – XXe siècles, Le Seuil, « Points Histoire », 1993, p. 44.
Voir aussi
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean Tiberi, La nouvelle Athènes : Paris, capitale de l'esprit, Paris, Sand, , 287 p., In-8, 24 x 15 x 2 cm (ISBN978-2-7107-0488-1)..
Bruno Centorame (dir.) et al., La Nouvelle Athènes : Haut lieu du Romantisme, Paris, Action artistique de la ville de Paris, coll. « Paris et son patrimoine », , 293 p. (ISBN9782913246331)..
Pierre Faveton et Bernard Ladoux, Montmartre, Pigalle et la Nouvelle-Athènes, Massin, 2013.