La commune est située à 8 km de Genève, 65 km de Bourg-en-Bresse, 110 km de Lyon, et 400 km de Paris (distances orthodromiques). Depuis Prévessin-Moëns, les reliefs du Jura et des Alpes (massif du Mont-Blanc) sont les éléments visuels les plus présents dans le paysage.
Les limites communales de Prévessin-Moëns et celles de ses communes adjacentes.
Lieux-dits et hameaux
Les deux anciennes communes de Prévessin et de Moëns ont gardé leur appellation en tant que lieux-dits.
La commune regroupe plusieurs hameaux : Brétigny, Vésegnin, Magny, les Aglands.
Géologie et relief
Superficie
La superficie de la commune est de 12,09 km2, son altitude de 460m, variant de 419m à 486m.
Géologie
Au début de l'ère quaternaire, le glacier du Rhône a recouvert la région. Au moment de sa fonte, il a déposé des amas de rochers, recouvrant la molasse issue de l'ère tertiaire, prenant le nom de moraine.
Hydrographie
Le bassin hydrographique est le Bassin du Rhône. Sur le territoire, coulent :
au nord :
le ruisseau, le Petit Journans qui est affluent du cours d'eau le Lion ;
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 303 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cessy à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 063,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Statistiques 1991-2020 et records CESSY (01) - alt : 507m, lat : 46°18'37"N, lon : 6°04'49"E Records établis sur la période du 01-05-2002 au 04-01-2024
Source : MétéoSuisse, Office Cantonal de la Statistique, Genève.
Urbanisme
Typologie
Au , Prévessin-Moëns est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (27,7 %), zones urbanisées (23 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), forêts (10,7 %), prairies (8,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %)[12].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La proximité de Genève est marquée et son aire urbaine se prolonge au-delà de la frontière.
De nombreux programmes immobiliers récents ont façonné la ville, néanmoins, les traces d’un passé agricole sont encore visibles, tout comme les espaces naturels (parc, boisements).
Une conurbation s'est formée sur les communes de Ferney-Voltaire, Prévessin-Moëns et Ornex. Si chaque centre-ville peut être identifié, l’agrégation des différents centres et hameaux composant ces trois communes a créé une seule entité urbaine.
Enfin, la densification du logement s'opère autour du centre-village, à Prévessin, avec une majorité de constructions produites en collectif, tandis que Moëns et les hameaux sont constitués majoritairement d'habitats individuels.
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 4102, marquant une progression rapide. En 1999, la commune comptait 1893 logements, 2259 en 2007 (+19 %), et 3582 en 2012 (+58 %); cette augmentation soutenue tente à ralentir sur la dernière période observée (+20 %)[13].
Parmi ces logements, 82,7 % sont des résidences principales, 9,9 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants.
Ces logements étaient pour 46,7 % des maisons individuelles et pour 53,1 % des appartements. Cette proportion s’est inversée depuis 2007, puisque les maisons représentaient 59,9 % contre 39,9 % d’appartements.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 55,2%, en baisse par rapport à 2007 (65,7 %).
Concernant le nombre de pièces, 3,4 % des logements ont 1 Pièce, 12,5 % 2P, 20,5 % 3P, 18,6 % 4P et 44,9 % 5P ou plus. Cette dernière catégorie est essentiellement représentée par le logement pavillonnaire puisque les maisons ont en moyenne 5,7 pièces contre 3,1 pour les appartements.
Projets d'aménagement
Les projets d'aménagement de la commune s'inscrivent dans les orientations prises par la communauté d'agglomération du Pays de Gex, inscrites au Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) et Plan Local d'Urbanisme intercommunal (PLUi).
Voies de communication et transports
Voies de communication
La commune est principalement desservie par la RD 35 qui la contourne, ainsi que par sa variante RD 35b qui la traverse. La RD 78 quant à elle relie les hameaux de Brétigny et Vésegnin à Moëns.
Un des plus importants passage entre la Suisse et le Pays de Gex (+ de 20 000 véhicules/jour) se situe sur la commune à la douane reliant Meyrin à Saint-Genis-Pouilly (RD984f).
Une voie douce (piétons et vélos) relie Prévessin-Moëns au hameau de Mategnin en Suisse. Cet accès était auparavant une route, la présence d'un ancien poste de Douane en témoigne.
Tel que disponible en , la commune ne présente aucun Plan de Prévention des Risques: ni Naturel (PPRN), ni Technologique (PPRT). Le risque sismique est modéré de niveau 3 ; il existe une exposition au retrait-gonflement des sols argileux[14].
Toponymie
Prévessin est attesté sous la forme Privissin en 1257. Le toponyme Prexessin apparaît dans le Procès-Verbal de démarcation de la frontière en 1825 (cf. section La frontière de Prévessin-Moëns avec la Suisse).
Moëns est attesté sous la forme Moyns en 1211, Villa de Moinx en 1236. Selon Ernest Nègre, ce toponyme semblerait dériver de l'anthroponyme germain Modonius.
Histoire
Époque contemporaine
XIXe siècle
La frontière de Prévessin-Moëns avec la Suisse
L'actuelle frontière entre Prévessin-Moëns et la Suisse est issue du traité entre la France et les Puissances Alliées, conclu à Paris le , dit Traité de Paris de 1815, défini dans son Article 1er, alinéa 3. Ce traité pose les principes de cession d'une partie du Pays de Gex au canton de Genève, la commune voisine de Meyrin étant cédée au canton.
Les multiples bornes implantées aux limites de la commune attestent d'un abornement effectué en 1818, mais il faut néanmoins attendre le procès-verbal de démarcation de la frontière entre la France et le Canton de Genève du pour entériner le Traité de Paris. Ce document, descendant au niveau communal, spécifie notamment la frontière française aux limites des deux communes de Moëns et de Prexessin[15].
XXe siècle
Au printemps 1942, Klaus Barbie est nommé chef de la sécurité à Gex avec pour mission d'enlever Alexander Foote (un agent secret travaillant pour l'URSS à Genève). Barbie réussit donc à soudoyer le chef d'un poste de la garde-frontière suisse et s'introduit en Suisse par le poste de Prévessin-Moëns, douane proche de sa résidence privée, avant de constater qu'Alexander Foote avait disparu.
C'est aussi la commune où Kafa Kachour Bashir, l'épouse de l'ex-chef de cabinet de Mouammar Kadhafi nommé Bachir Saleh (recherché par Interpol) possède une résidence secondaire. Le elle a été condamnée à 2 ans de prison avec sursis ainsi qu'à une amende de 70 000 € pour esclavage domestique de quatre citoyens tanzaniens (deux sœurs et un couple) embauchés en Libye et privés de leur passeport[16],[17].
Commune ayant une population comprise entre 3500 et 9999 habitants, le nombre de conseillers municipaux à élire est de 29 et celui de conseillers communautaires de 4 ; c'est un scrutin de liste(s).
En 2017, les élections présidentielles voient Emmanuel Macron se hisser en tête des suffrages avec 80,11 % des voix ; il devance Marine Le Pen qui obtient 19,89 % des voix. Emmanuel Macron était aussi arrivé en première position au 1er tour, 32,53 %, devançant François Fillon 32,26 %, et Jean-Luc Mélenchon 13,9 %. Dans la commune, le taux de participation s'élève à 79,53 % au second tour, légèrement inférieur au 1er tour, 80,02 %[19].
Lors des élections présidentielles de 2012, Nicolas Sarkozy arrive en tête du scrutin au second tour avec 60.62 % des voix devant Francois Hollande, 39.38 % des voix. Au 1er tour, Nicolas Sarkozy avait réuni 38.99 % des voix devant François Hollande, 21.12 %, et François Bayrou, 14.24 %. Le taux d'abstention au 2nd tour est de 20.9 %, il était de 22.1 % lors du premier tour[20].
Référendum
Les deux référendum sur les traités portant sur la construction européenne sont révélateurs d'une population très largement europhile.
Ainsi, à la question "Approuvez-vous le projet de loi soumis au peuple français par le Président de la République autorisant la ratification du traité sur l'Union Européenne ?" du Traité de Maastricht, le les Prévessinois disent oui à 73,60 %, contre 51,04 % au niveau national[21].
Il en est de même pour le référendum sur la Constitution Européenne du , où le oui à la question "Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe ?" recueille 71,95 % des suffrages, contre un rejet à 54,67 % en France[22].
Instances de démocratie participative
La ville est dotée d'un conseil municipal des jeunes.
Finances communales
Équipements et services publics
Eau et déchets
Le service de la distribution de l'eau et de l'assainissement, ainsi celui des déchets, est sous la gestion de la communauté d'agglomération du Pays de Gex.
Espaces publics
Parc du Chateau
Poumon vert au centre de la commune, ce parc d'une surface de près de 19 ha est planté d'arbres remarquables, dont certains auraient plus de 400 ans. Le parc garde un caractère sauvage, mais est néanmoins équipé de jeux pour enfants, ses allées sont fréquentées par les promeneurs et coureurs.
Poids public
Au centre de Moëns se situe le poids public construit en 1935, et qui a fonctionné jusque dans les années 60.
Fontaines
Un grand nombre de fontaines peuplent les hameaux.
Enseignement
Les établissements scolaires sont rattachés à l'Académie de Lyon.
La commune est dotée de trois écoles élémentaires : Les Grands-Chênes, La Bretonnière et ALICE. Le nom de l'école ALICE fait référence à l'une des expériences menées par le CERN : A Large Ion Collider Experiment.
L'école intercommunale Jean-de-la Fontaine est partagée avec la commune de Ferney-Voltaire, et est administrée par le SIVOM de l'Est-Gessien.
Pour l'enseignement secondaire, les élèves ont à disposition le collège Le Joran sur la commune, ainsi que le lycée international qui compte 2 sites, à Ferney-Voltaire et à Saint-Genis-Pouilly.
Poste et télécommunication
Santé
Justice, sécurité et secours
Les juridictions dont dépend la commune sont situées à Bourg-en-Bresse (tribunaux de grande instance, de commerce, pour enfants), à Nantua (tribunal d'instance, conseil de prud'hommes), et à Lyon (tribunal administratif et cour d'appel).
En matière de sécurité publique, la commune dispose d'une police municipale, et dépend de la circonscription de brigade de gendarmerie située à Ornex.
Le Centre d'Intervention et de Secours de l'Est-Gessien est situé sur la commune et est l'un des 57 centres de sapeurs-pompiers du département.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2021, la commune comptait 9 063 habitants[Note 2], en évolution de +15,31 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Prévessin-Moëns possède un club sportif, l'AS Prévessin-Moëns fondé en 1975. Le sport le mieux représenté localement par cette association est le football. Possède deux terrains de foot, un synthétique et un normal à côté de la salle Gaston-Laverrière. Il y a deux salles omnisports présentes sur le territoire de cette commune, le gymnase Saint-Simon à côté du collège Le Joran, et la salle Gaston-Laverrière, proche de l'école des Grands-Chênes. À côté de cette salle, il y a aussi la possibilité de faire de nombreuses activités comme du tennis à court ouvert ou en salle, mais aussi un city-stade, des terrains de pétanque, un terrain de volley, un skate-park mais aussi un square pour enfants.
Vie associative
De nombreuses associations sont présentes dans la ville, notamment des associations solidaires. Comme le P'tit Bazar[27], qui organise deux ventes par an dans la salle Gaston-Laverrière, et reverse une partie des bénéfices des ventes à des associations locales. Le principe de ces ventes est d'inciter les gens de la région à venir faire un vide-grenier en vendant des affaires non-utilisées à moindre coût afin que chacun puisse en profiter.
Cultes
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le tableau ci-dessous reprend les statistiques des ménages fiscaux de la commune.
La commune de Prévessin-Moëns a une population active, c'est-à-dire en âge de travailler (15 à 64 ans), plus élevée que celle observée dans le département, la région, et en France. En parallèle, le taux de chômage observé y est inférieur.
L'attractivité économique de la Suisse et la proximité de la frontière font que les communes françaises frontalières hébergent de nombreux actifs travaillant de l'autre côté de la frontière. Ceci est d'autant plus vrai depuis les accords bilatéraux de portant notamment sur la libre circulation des personnes. Depuis cette date, la progression du nombre de travailleurs frontaliers est constante. Cela dit, il est impossible de connaître avec exactitude le nombre de travailleurs frontaliers, puisque la statistique publiée par les autorités suisses exclut les Suisses, les binationaux ainsi que les fonctionnaires internationaux.
Les travailleurs frontaliers établis sur la commune de Prévessin-Moëns sont majoritairement recensés sur le canton de Genève, et une plus faible partie dans le canton de Vaud.
Habitants de la commune titulaires d'un permis frontalier dans le canton de Genève[30]
1985
1990
1995
2000
2002
2005
2010
2015
2018
Ensemble
265
419
364
383
460
631
913
1395
1612
Entreprises et commerces
CERN - Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire
Le CERN, Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire, est créé en 1952, puis est remplacé par l'Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire en 1954 ; malgré tout, l'acronyme CERN restera.
Initialement situés à Meyrin, les infrastructures et bâtiments de l'Organisation se retrouvent vite à l'étroit, et le une convention franco-suisse est signée, relative à l’extension du domaine du CERN en territoire français.
Ainsi, Prévessin-Moëns devient la première commune en surface de parcelles mises à disposition de l'Organisation: sur les 624 ha dont dispose l'Organisation, environ 301 sont sur la commune[31].
Sous la commune passe l'anneau du Super Proton Synchrotron et les bâtiments du Centre de Contrôles y sont hébergés.
Cette église est un des témoins du riche passé historique du territoire. Lors de sa rénovation en 1973, les fouilles ont révélé des traces de différentes époques confirmant la succession de divers édifices. Les historiens qualifient l’église actuelle de cinquième église.
Le premier sanctuaire bâti à cet endroit date de l’époque mérovingienne. Au XIIe siècle, le prieuré de Payerne devient propriétaire de l’église, effectue d'importants travaux, et place l'église sous la protection de la Vierge Marie. Durant les siècles qui suivirent, ce sont les paroissiens qui veillaient à l'entretien, jusqu'à ce que l’apparition et l’extension du culte protestant en 1536 fit que l’église fut plus ou moins laissée à l’abandon. Au début du XVIIe siècle, l’église est rendue au culte catholique par François de Sales, évêque de Genève siégeant à Annecy, puis à partir du XVIIIe siècle, la mobilisation des paroissiens pour sa rénovation lui a donné son aspect actuel.
Bornes milliaires
Un ensemble de deux bornes milliaires est situé à l'entrée du porche de l'église de l'Assomption.
Ce sont deux pierres monolithes cylindriques intégrées dans les piliers d'angles soutenant la toiture du porche. Elles datent du IIIe siècle, et leur hauteur est de 1,80 m et leur diamètre de 40 cm.
Ces milliaires employés dans la construction de l'église primitive, furent retrouvés lors de la reconstruction de l'église au XVIIIe siècle et réutilisés ; ils supportaient les bas-côtés de la nef de l'église carolingienne.
Ils étaient placées sur la route allant de Genève à Nyon. Tous les deux indiquent le troisième mille à partir de Nyon, capitale de la Colonie Equestre, en direction de Genève, c'est-à-dire le village de Céligny. L'un a été daté de 219 après J.-C. (sous l'empereur Héliogabale) et l'autre entre 235 et 238 après J.-C. (empereur Maximin). NB : un mille romain correspond environ à 1,5 km[33].
Ancien Poste de Douanes
Bornes frontières
Autres monuments
L'ancienne église de Moëns, qui est aujourd'hui une grange, datant approximativement de 1000 ans.
Vestiges du prieuré de Prévessin.
Équipements culturels
Personnalités liées à la commune
Albert Fouilloux (1870-1953), homme politique français, est né et mort à Prévessin. Conseiller général du canton de Ferney-Voltaire depuis le , il devint maire de Prévessin le et président du conseil général de l'Ain le . La route entre Vésegnin et Brétigny porte son nom.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )