Les habitants de Divonne-les-Bains sont les Divonnais et les Divonnaises[1].
Géographie
Localisation
Divonne est située à l'extrémité du pays de Gex. Frontalière de la Suisse, elle se situe à 20 km de Genève. Plusieurs hameaux sont rattachés à Divonne : Arbère, Crassy, Plan, Vésenex (avant la révolution de 1789, Vésenex était un village de la paroisse de Divonne. Le , la commune de Vésenex-Crassy fut supprimée et réabsorbée par Divonne[2].
Les limites communales de Divonne-les-Bains et celles de ses communes adjacentes.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 224 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Statistiques 1991-2020 et records DIVONNE ZA (01) - alt : 467m, lat : 46°20'29"N, lon : 6°08'22"E Records établis sur la période du 01-10-2003 au 04-01-2024
Au , Divonne-les-Bains est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Divonne-les-Bains (partie française), une agglomération internationale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (50,2 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (10,6 %), prairies (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), zones humides intérieures (1,2 %), eaux continentales[Note 3] (1,2 %)[14].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Depuis le 15 décembre 2019, à l'occasion de l'entrée en service du Léman Express, le doublement de la ligne Gex-Divonne-Coppet est effectué, ainsi que la création de 2 nouvelles lignes :
Nyon-Divonne-Gex (aux heures de pointes, en bus hybrides),
Coppet-Divonne-Maconnex (chaque demi-heure aux heures de pointe et chaque heure le reste de la journée ; via Grilly, Sauverny et Versonnex). Cette branche Divonne-Maconnex sera fermée 2023, tous les bus 814 auront Divonne, Arbere comme terminus.
Mobilités douces
Divonne compte 31 km de pistes cyclables[17], l'ancienne voie ferrée devient une voie verte Gex-Divonne (via Grilly), et une voie en site propre est créée entre le lac et Crassier (Vaud).
La ville propose aussi :
50 vélos électriques en libre-service
un parking relais au niveau de la douane
5 bornes de recharge pour les véhicules électriques
2 véhicules propres en auto-partage
La ville utilise aussi 7 véhicules électriques pour les services communaux.
Toponymie
Le nom est mentionné anciennement sous les formes Divonae, Divonna et Divona au XIIe siècle, Dyvona et Dyvone au XIVe siècle, Dyvonne au début du siècle suivant et Divonne en 1676[18].
Le toponyme trouverait son origine dans le « théonyme gaulois *Devona, Divona, ayant désigné d'abord une source sacrée[19], peut-être avec le suffixe -onne »[18].
Habitée dès la Préhistoire, Divonne est particulièrement appréciée des Gallo-romains pour la qualité de son eau. En effet, un aqueduc relie alors Divonne à Nyon pour alimenter cette dernière en eau. Si l’on en croit la légende, Divona signifierait « Eau Divine » en gaulois.
Fréquentée pour ses eaux à partir de 1830, la commune se dote d'une station thermale en 1849, grâce au docteur Paul Vidart. En 1850, les premiers curistes arrivent à Divonne, et la ville devient célèbre en accueillant en 1855 son premier hôte de marque, en la personne de Jérôme Bonaparte. C'est en 1892, par un décret ministériel signé par le président de la République Sadi Carnot, que la commune de Divonne a acquis officiellement la dénomination « Divonne-les-Bains ».
Le , la commune absorbe Vésenex-Crassy peuplée de 200 habitants à l'époque[21].
Durant le XXe siècle, Divonne va améliorer la qualité de ses thermes, ce qui fera venir un nombre encore plus important de curistes. Le parcours de golf date de 1931. En 1945 Marcel Anthonioz devient maire de Divonne-les-Bains. De nombreux équipements vont être construits : le casino (1954), nouveaux thermes, hippodrome, lac artificiel, centre nautique, voies de communication, etc. Le collège de Divonne, construit en 1976, porte le nom de M. Anthonioz, décédé à Divonne la même année.
En octobre 2022, la régie municipale des thermes de Divonne-les-Bains prend la décision de suspendre les cures thermales à compter du 1er janvier 2023 et jusqu'à reprise de l'établissement par un repreneur spécialisé[22].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2021, la commune comptait 10 137 habitants[Note 4], en évolution de +9,16 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,3 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 24,3 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 4 738 hommes pour 5 399 femmes, soit un taux de 53,26 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,65 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
6,8
75-89 ans
8,2
12,5
60-74 ans
13,7
22,1
45-59 ans
20,1
23,3
30-44 ans
22,1
13,7
15-29 ans
13,4
21,1
0-14 ans
20,9
Pyramide des âges du département de l'Ain en 2021 en pourcentage[39]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,6
6,3
75-89 ans
8,1
15,5
60-74 ans
16,2
21
45-59 ans
20,4
19,8
30-44 ans
19,8
16,4
15-29 ans
15
20,4
0-14 ans
18,9
Immigration
Selon l'Insee, la ville comptait 2 390 immigrés (nés étrangers à l'étranger) sur une population totale de 9 787 en 2018 soit un quart de la population totale[40].
Travailleurs frontaliers
Fin 2014, la commune comptait 1 183 frontaliers (titulaires d'un permis G) travaillant dans le canton de Genève[41],[42] et a reçu une rétrocession financière de 2,282 millions d'euros de la part du canton (chaque année, depuis 1973, Genève reverse une partie de l'impôt perçu sur le revenu des frontaliers aux communes françaises avoisinantes). Cette même année, le montant de la compensation genevoise dépasse les 232 millions d'euros répartis entre l'Ain et la Haute-Savoie, en fonction du nombre de frontaliers travaillant à Genève et résidant dans chacun des deux départements[43],[44].
La ville possède une école maternelle située au centre-ville, à proximité de l'école primaire du centre. Dans les hameaux d'Arbère, Villard et Vesenex, sont présentes trois écoles primaires. Les écoles de Villard et Vesenex sont regroupées au sein de l'école des Hameaux. À la rentrée 2019, la ville comptait 1170 écoliers parmi les 43 classes des écoles maternelles et primaires[45].
Une nouvelle école, dénommée Guy-de-Maupassant, regroupant un centre de loisirs et les cuisines municipales a ouvert en 2013[46].
Depuis la rentrée 2019, toutes les classes sont équipées de tableaux interactifs, dans le cadre du plan informatique de la commune.
Un vaste plan de rénovation énergétique des écoles est adopté en 2022.
Divonne-les-Bains compte aussi un collège d'enseignement général, le collège Marcel-Anthonioz construit en 1976. À la suite de l'incendie du réfectoire du 19 novembre 2014, celui-ci est reconstruit et modernisé en 2015.
L'espace Charles-Aznavour, dévolu à la chanson, propriété du Domaine de Divonne (casino de Divonne) ; il est utilisé occasionnellement pour la venue d'artistes de renommée nationale ou internationale ;
Le cinéma-théâtre André-Dussollier, construit au XIXe siècle, appartenant également au Domaine de Divonne ; le cinéma est actuellement exploité (2021 - aujourd'hui), mais la programmation théâtrale ne propose que quelques dates dans l'année. Une rénovation du cinéma-théâtre est engagée à la rentrée 2019 afin de relancer les activités dans ce lieu et de le valoriser.
La salle de spectacle située à l'Esplanade du Lac, offrant 498 places assises, dévolue au théâtre et à la danse, propriété de la commune de Divonne-les-Bains ; la saison culturelle comprend une trentaine de spectacles[47]. Les estivales du lac s'y déroulent en juillet et en août et comprennent diverses animations (séances de cinéma en plein air, spectacles de danse, ateliers créatifs...).
La ville de Divonne possède un gymnase avec une salle d'escalade, deux salles de combat, deux salles de danse, une salle d'agrès et une salle multisports.
Il y a aussi 8 courts de tennis, dont deux couverts en terre battue depuis 2011.
La ville possède aussi un golf de dix-huit trous, un neuf trous, un centre nautique olympique (architecte Maurice Novarina), une plage surveillée, un hippodrome accueillant des courses de trot et de galop, quatre terrains de football dont un synthétique, un city stade et un skatepark. Des sports nautiques sont aussi exercés dans le lac.
Divonne a accueilli pendant plusieurs années le championnat du monde de Dragon Boat (discipline) au lac.
L'équipe de rugby de l'agglomération du Pays de Gex (Union Sportive du Pays de Gex) évolue en championnat Honneur[48].
L'équipe de football de Divonne-les-Bains (U.S Divonne) évolue en division régionale[49].
La pratique du sport est favorisée par la ville à la suite de l'obtention des labels « Terre de Jeux 2024 » et « Centre de préparation aux Jeux ».
Social
La commune compte environ 300 logements sociaux en 2019. Le projet de PLU prévoit la construction de près de 400 logements sociaux dans la ville entre 2020 et 2030.
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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 038 €, ce qui plaçait Divonne-les-Bains au 849e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[50].
La population de Divonne-les-Bains se répartit à 49,7 %[Quand ?] d'actifs, ce qui est légèrement supérieur au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, 14,5 % de retraités, un chiffre inférieur au 18,2 % national. On dénombre également 21,4 % de jeunes scolarisés et 14,4 % d'autres personnes sans activité.
Le taux d'activité de la population des 20 à 59 ans de Divonne était de 82 %, avec un taux de chômage de 7,1 %, en 1999, donc bien inférieur à la moyenne nationale de 12,9 % de chômeurs.
Embouteillage de l'eau minérale de Divonne-les-Bains
Face à la contestation en France et en Suisse, un projet d'embouteillage de l'eau de Divonne-les-Bains lancé en 2016 est abandonné en 2019 en raison de « la rupture du rapport de confiance avec le porteur de projet », et car ce projet « devient incompatible avec les politiques menées par la commune et notamment dans le domaine de l’environnement et du développement durable ». Le maire s'engage à « faire le nécessaire pour que la rupture du contrat ne coûte rien aux Divonnais » et propose au conseil municipal de travailler sur un concept de fontaines d’eau minérale afin de rendre « cette richesse plus accessible aux Divonnais »[53].
Marion Bartoli, victorieuse du tournoi de Wimbledon en 2013, grandit à Divonne et est licenciée du Tennis club de la ville.
Georges Bernanos fait une cure à Divonne-les-Bains (il résidait à Vésenex) en 1930.
Jean Étienne Philibert de Prez de Crassier, dénommé Étienne Deprez-Crassier durant la Révolution française, général de division né le 18 janvier 1733 à Crassy (aujourd'hui hameau de Divonne-les-Bains) et mort le 6 juillet 1803 au château d'Ornex[56] ; la rue Étienne-Deprez porte son nom.
Raymond Cretin, né en 1914 à Divonne-les-Bains, déporté à Buchenwald en octobre 1943 à pour acte de résistance[57],[58].
Gustave Schlumberger (1844-1929), historien, byzantiniste et numismate français, spécialisé dans l'histoire des Croisades et de l'Empire byzantin, a fait plusieurs séjours au château de Crassy, alors propriété d'une de ses cousines elle aussi membre de la famille Schlumberger.
Jean Souètre (1930-2001), militaire français, capitaine dans les commandos de l'air lors de la Guerre d'Algérie puis membre de l'OAS. Membre du comité de direction du Casino de 1976 jusqu'à son décès en 2001.
Paul Vidart (1817-1873), médecin, fondateur de l'établissement thermal.
René Vidart, né le 24 juillet 1890 à Divonne-les-Bains et décédé en 1928 au Bourget-du-Lac. Petit-fils de Paul Vidart, aviateur, héros de l’air en 1911, moniteur à Ambérieu-en-Bugey et blessé au cours de la Première Guerre mondiale[60].
Événements
Entre le 1er et le 18 octobre 2019, la commune organise avec le bureau de l'Organisation des Nations unies à Genève ainsi qu'avec la Fondation pour Genève une exposition sur le développement durable, et les objectifs des Nations unies en la matière. La commune expose aussi ses actions dans le domaine[61].
De nombreux évènements prévus autour des Jeux olympiques d'été de 2024, à la suite de l'obtention du label « Terre de Jeux 2024 », le 22 novembre 2019.
Patrimoine naturel
La commune bénéficie d'importants atouts environnementaux et met en place plusieurs actions en faveur de la nature.
Fontaine ancienne du centre.
Fontaine jeux d'eau.
Fontaine du casino.
Fontaine ancienne du centre.
La Divonne, rivière prenant sa source à proximité du golf.
Fontaine en brique.
Vue sur le lac.
Fontaine jets d'eau multiple.
Biodiversité
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Écartelé : au premier et au quatrième d'argent semé de billettes de sable au lion issant du même brochant sur le tout, au deuxième et au troisième d'azur aux trois morailles d'or rangées en pal et au chef d'argent chargé d'un lion issant de gueules[62].
↑Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Gérard Dous, « Voilà 50 ans que Divonne et Vésenex se sont mariées pour le… Meilleur », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le )« Le 20 février 1965, le conseil municipal de la ville, présidé par le député maire Marcel Anthonioz, prenait connaissance de l’arrêté préfectoral du 8 février 1965, officialisant le « mariage » entre les deux communes. Du coup, était mis fin à 171 ans d’existence de la commune de Vésenex, née en 1794 ».
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bHenry Suter, « Divonne-les-Bains », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
↑Antoine Élisabeth Cléophas Dareste de la Chavanne, Histoire de France depuis les origines jusqu'à nos jours, Volume 9, Plon, 1879, p. 496.Lire en ligne
↑Amélie Vuargnoz, « Municipales 2020 : Vincent Scattolin élu au premier tour à Divonne : Dimanche 15 mars, Vincent Scattolin a été élu au premier tour pour la commune de Divonne-les-Bains, avec un total de 65 % des voix », Le Pays gessien, (lire en ligne, consulté le ).
↑Catherine Lagrange, « Municipales : à Lyon, déjà deux candidats déclarés contre Gérard Collomb », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Né à Givors, au sud de la métropole, il a effectué la majeure partie de sa carrière dans le département voisin de l’Ain. Professionnellement comme avocat, à Bourg-en-Bresse, politiquement à Divonne-les-Bains, petite commune thermale de 10 000 habitants, proche de la frontière suisse, une ville dont il est maire depuis vingt-sept ans. Mais, il y a quelques jours, Etienne Blanc a annoncé à son conseil municipal son intention de passer la main en janvier prochain… pour mieux s’occuper de la ville aux deux fleuves ».
↑« L’heure du bilan pour le maire démissionnaire Étienne Blanc : Le 31 janvier, Étienne Blanc a tiré un trait sur les cinq mandats de maire que lui ont confié les Divonnais pour commencer sa campagne lyonnaise. Il se dit fier d’avoir préservé la ville d’une bétonisation outrancière. Rencontre », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑Mathilde Régis, « Lyon : Etienne Blanc en lice pour affronter "un certain" Gérard Collomb : À la fin de l'assemblée générale de l'association des maires de l'Ain, le no 2 de Laurent Wauquiez à la région a annoncé se consacrer plus activement à la préparation des municipales de 2020 d'ici quelques mois », Lyon capitale, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Divonne: Vincent Scattolin élu maire : Il a été élu samedi matin avec 23 voix sur 28 votants », Le Pays Gessien, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Nouvelle équipe municipale », JVD-Je vis à Divonne-les-Bains, no 129 « Votre nouvelle équipe municipale 2020-2026 », , p. 6-12 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑Ce chiffre ne comprend que les titulaires d'un permis G et n'inclut donc pas les Suisses et binationaux qui ont leur résidence principale dans la commune ni les employés des organismes internationaux.