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Né à Forbach en 1970, Régis Sauder quitte l’ancienne cité minière de Moselle-Est en 1988 pour des études scientifiques. Il se spécialise en neurosciences à l’université d’Aix-Marseille avant de s’orienter vers le journalisme scientifique en obtenant un diplôme de l’université Paris VII. Il collabore ensuite à plusieurs revues et émissions de vulgarisation scientifique avant de se consacrer à la réalisation. Il se forme également à la prise de vue et suit l’atelier documentaire de La Fémis en 2005.
Il est l’auteur réalisateur d’une dizaine de courts métrages documentaires diffusés sur les chaînes de France Télévisions et d’Arte ainsi que d’installations pour le théâtre[1] et les musées[2].
De 2017 à 2019 il préside l'association du cinéma indépendant pour sa diffusion l'ACID et siège à ce titre aux négociations professionnelles encadrant le cinéma documentaire. Il est invité à de nombreuses commissions notamment au CNC, à la SCAM et en Région. Il enseigne également à l’école documentaire de Lussas et à la Cinéfabrique à Lyon, et a effectué des interventions à La Fémis et à l’École Normale Supérieure de Lyon[3].
Il est l’auteur réalisateur de plusieurs longs métrages documentaires pour le cinéma sélectionnés entre autres à Cinéma du Réel, aux FID, aux États Généraux du documentaires, à Visions du Réel, mais aussi à l’étranger au RIDM, au San Francisco Film Festival ou encore à Zinebi. Ses longs métrages ont été essentiellement produits et distribués par la société Shellac, à l'exception de Retour à Forbach, produit et distribué par Docks66[4]. En 2021 sort en salles J’ai aimé vivre là, son quatrième long métrage avec la participation d’Annie Ernaux, prix Nobel de Littérature 2022. Il publie à la suite de cette collaboration deux textes dans Le cahier de l'Herne consacré à l'écrivaine et dans La Femelle du Requin qui lui est également dédié[5]. Le film tourné à Cergy, s'inscrit également dans le projet de cinémathèque idéale des banlieues du monde, imaginé par Alice Diop avec les Ateliers Médicis et le Centre Pompidou[6]. Dans En Nous, il retrouve les personnes qu’il a filmées dix ans auparavant dans Nous, Princesses de Clèves. Le film ouvre l’édition 2022 de Cinéma du Réel au Centre Pompidou[7].
2011 : Nous, princesses de Clèves[20],[21]- production Nord Ouest et distribution Shellac, soutien ACID, sortie salles - Étoile de la Scam 2011 / Vision du Réel, Nyon 2011 /San Francisco International Film Festival 2011 / Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal 2011 / Festival International de Beyrouth 2011 / Festival Doc à Tunis 2011
2012 : Être là[22],[23] - production et distribution Shellac, soutien ACID, sortie salles - Étoile de la Scam 2014 /FID Marseille 2012 Compétition française /États Généraux du documentaire, Lussas 2012 /Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal 2012 /Traces de Vie Clermont-Ferrand 2012 /Festival International du film francophone de Namur 2012 /Festival International Watch Docs- Varsovie 2012
2017 : Retour à Forbach[24],[25],[26](production et distribution Docks 66, soutien ACID, sortie salles ) Cinéma du Réel 2017 / Étoile de la Scam 2018
↑« « Retour à Forbach » : autopsie d’une ville minée par son histoire », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Audrey Evrard, Precarious Sociality, Ethics and Politics: French Documentary Cinema in the Early Twenty-First Century, University of Wales Press, (ISBN978-1-78683-844-5, lire en ligne)