Le roi Louis XIII charge Jean Héroard, son Premier médecin, de « nommer des médecins qui établiront des jurandes dans les villes où il n'y a point d'université de médecine ni maîtrise d'apothicairerie jurée[6] ».
Thomas Harriot (né vers ), mathématicien et astronome anglais, meurt le d'un cancer du nez[7], malgré les soins du chirurgien Alexander Read (1580-1641[8]).
Giacomo Giacobelli, vice-Premier médecin des États du pape, est arrêté pour malversations[9].
L'apothicaire vénitien Giovanni Francesco Gemma est accusé d'avoir reçu dans sa pharmacie et d'avoir rendu visite à un marranerelaps, le médecin portugais Giorgio Francesco Diaz[10].
Publications
Tomás de Aguiar(es), docteur en médecine de l'université d'Alcalá, répond, dans son Apologia pro consilio medicinali, aux critiques d'Alonso Núñez de Llerena (c.1570 – c.1630), médecin personnel de Philippe IV[11].
Giovanni Francesco Arquati, médecin à Trévise, en Vénétie, publie son Tesoro della vera et perfetta medicina universale[12].
L'écrivain anglais Robert Burton fait paraître son Anatomie de la mélancolie[15],[16].
Le théologien et historien dominicain polonais Abraham Bzowski publie sa « Liste nominative de saints médecins » (Nomenclator sanctorum professione medicorum[17],[18]).
Pietro Castelli (1590 ? – 1661), médecin et botaniste italien, publie un Discorso della duratione de’ medicamenti[19], ainsi qu'un mémoire sur les propriétés du vitriol[20].
Esteban Rodrigo de Castro (1550-1627), médecin portugais, docteur de l'université de Pise[21] fait paraître son traité De meteoris microcosmi[22].
Proti Casulani, médecin siennois, donne son traité sur le diagnostic par l'examen de la langue[23].
Giovani Colle (1558-1631) publie deux ouvrages la même année : un Elucidarium anatomicum et chirurgicum ex Graecis, Arabibus et Latinis selectum[24], et un Cosmitor Medicaeus Triplex[25].
Jean Dant, Albigeois, membre de l'académie de Castres, publie un ouvrage qu'il intitule Le Chauve ou le Mépris des cheveux[26] et où « il déclame amèrement contre l'usage et l'inutilité des cheveux[27] ».
Arnauld Gilles publie sa Fleur des remèdes contre le mal des dents[31],[32].
Jean Giraud publie son avis sur le traitement du rhumatisme intermittent (Consilium Apollinare periodicae arthritidi[33]).
Rudolf Goclenius le Jeune (1572-1621), professeur de physique, de médecine et de mathématiques à Marbourg, fait paraître un « régime de santé » sous le titre de Tractatus physicus et medicus de sanorum diaeta[34].
Parution de la traduction allemande de la Dissertatio de peste (1611), de Johann Heins (1585-1656), docteur en médecine de l'université de Bâle et praticien à Ulm[36], sous le titre de Bericht von der Pestilenz[37].
Clovis Hesteau de Nuysement (v. – v. ), poète et alchimiste français, fait imprimer un Traité sur le vrai sel, « suivant le troisième principe du Cosmopolite » et « traitant de la connaissance de la vraie médecine chimique[38] », « entièrement fondé sur les Trois livres des elemens chymiques et spagyriques de Jean Brouaut[39] ».
Parution de la traduction française de Toutes les œuvres d'André du Laurens (1558-1609) par Théophile Gelée[42].
Michael Maier (1568 ? – 1622), médecin et alchimiste allemand, donne un ouvrage sur le traitement de la goutte et des rhumatismes de la main et du genou (Podagrae, chiragrae et gonagrae methodica curatio[43]).
En publiant sa Responsio brevis ad Annotationes Prosperi Martiani[44], Giovanni Manelfi (1581-1654), médecin à Rome, intervient dans le débat qui a opposé les médecins Prospero Marziani et Marsilio Cagnati à propos des purgatifs et de la saignée[45].
Gregorio Martini (1575 ? – 1632) publie ses Commentatiuncula[46].
Alonso Muñoz, Premier barbier du roi d'Espagne, fait paraître ses instructions sur la saignée[47],[48].
David de Planis Campy (1589-c.1644), chirurgien, médecin et alchimiste français, publie sa Petite Chirurgie chimique médicale[51].
Francesco Plazzoni († ), chirurgien et anatomiste italien, publie son traité sur les organes de la génération[52].
Matías de Porres(es) (né pendant les années 1550), médecin espagnol, médecin personnel de Francisco de Borja y Aragón, vice-roi du Pérou, publie un opuscule contre l'habitude de « boire froid avec de la neige » (Breves advertencias para bever frío con nieve[53]).
Sous le titre de Curationis magneticae et unguenti armarii magica impostura clare demonstrata, Johann Robertus, de la Compagnie de Jésus, donne sa « modeste réponse à la thèse pernicieuse de Jean-Baptiste Helmont » sur le traitement par le magnétisme et l'onguent armaire[55].
Parution posthume du traité médical en trois volumes de Gioseppe Rosaccio († ), médecin, astrologue et géographe italien[56].
Impression, chez Johann Repp, de treize thèses sur « la bonne manière de purger » (De recta ratione purgandi) proposées en 1620 et 1621 à l'académie de Strasbourg par le professeur de médecine Melchior Sebisch le Jeune (1578-1674[57]), parmi lesquelles figurent celles soutenues par Elias Geiselbrunner (fl. 1610-1650[58]), Johann Ludwig Gans (fl. 1621-1630[59]), ou Benedict Malleolus (fl. 1618-1627[60]).
Andrés de Tamayo fait paraître à Valence deux traités en un volume, l'un sur la traumatologie osseuse et l'autre sur la diphtérie (Tratados breves de álgebra y garrotillo[48]).
Le libraire bordelais Simon Millanges imprime un opuscule signé de Pierre Tremarc et intitulé Recueil des secrets admirables [...] des grands et signalés philosophes, astrologues et médecins[63], dont le texte sera réédité sous un autre nom à Grenoble en [64].
Ludovicus Valentinus Junior (1576-1630), médecin à Venise, publie une « grande controverse sur le flux hépatique » (De fluxu hepatico larga disputatio[65]).
1621 ? : Jacques Fontaine (né à une date inconnue), professeur de médecine à Aix, médecin ordinaire du roi[89] et auteur, en , d'un ouvrage sur l'affaire des possessions d'Aix-en-Provence[90].
Références
↑Émile Roegel, « La Faculté de médecine de Strasbourg en 1870 », Histoire des sciences médicales, vol. 34, no 2, , p. 115 (lire en ligne).
↑« Jardin des plantes (1 ha) - Vienne », dans Les Jardins, Comité des parcs et jardins de France, s. d. (lire en ligne).
↑« Le Coq (Paschal), docteur régent et doyen de la faculté de médecine (1597-1632) », dans Expo Animal et Imaginaires : Du sphinx à la chimère (catalogue d'exposition), université de Poitiers, (lire en ligne).
↑(en) Stephen A. Harris, Oxford Botanic Garden and Arboretum : A Brief History, Oxford, Bodleian Library Publishing, , 140 p., 60 pl. coul. (ISBN978-1-85124-465-2, présentation en ligne).
↑[Acte royal, 1621-11-03, au camp devant Montauban. Lettres de commission à Jean Héroard, sieur de Vaugrigneuse, Premier médecin du roi, pour nommer des médecins qui établiront des jurandes dans les villes où il n'y a point d'université de médecine ni de maîtrise d'apothicairerie jurée], s. l., s. d., 7 p., in-8° (lire en ligne).
↑(en) Walter Menzies, « Alexander Read, Physician and Surgeon, 1580-1641 : His Life, Works and Library », The Library, 4e série, vol. 12, no 1, , p. 46-74 (présentation en ligne).
↑(en) David Gentilcore(en), « « All That Pertains to Medicine » : Protomedici and Protomedicati in Early Modern Italy », Medical History, vol. 38, no 2, , p. 121 et suiv. (lire en ligne).
↑(en) Joanna Kostylo, « Contested Devotions : Space, Identities and Religious Dissent in the Apothecary's Home », dans : Maya Corry (dir.), Marco Faini (dir.) and Alessia Meneghin (dir.), Domestic Devotions in Early Modern Italy, Brill, coll. « Intersections » (no 59/1), (ISBN978-90-04-37587-1, lire en ligne), chap. 17, 1 : « Those Who Live at Home or Apotheca ».
↑(la) Tomás de Aguiar(es), Apologia pro consilio medicinali in diminuta visione ab eo praescripto et denuo confirmato, adversus duas epistolas doctissimi doctoris Illefonsi Nunez Llerensis, medici hispalensis, cum censuris in easdem, et in librum De faucium ulceribus anginosis (vulgo garrotillo) ab eodem autore Nuñez editum, Marchena, Gabriel Ramos Bejarano, , in-4° (voir (es) Antonio Hernández Morejón(es), Historia bibliográfica de la medicina española, t. 5, Madrid, veuve Jordan et fils, (lire en ligne), p. 39).
↑(it) Giovanni Francisco Arquati, Tesoro della vera et perfetta medicina universale per la salute et conservatione de prencipi, di Gio[vanni] Francesco Arquati, dottor fisico collegiato di Trevigi, in Venetia [à Venise], presso Andrea Baba [chez Andrea Baba], m.dc.xxi [1621] (lire en ligne).
↑Aubry, Abrégé dedans lequel on peut voir comme les maladies des goutes sont maladies curables et comme se font les douleurs et l'ordre qu'il faut tenir pour les oster, avec un autre abrégé de la différence qu'il y a entre la pierre et la gravelle et les moyens de s'en garentir [...], par M. Aubry [etc.], Paris, A. Saugrain, , in-8° (BNF30035862).
↑(la) Joachim Burser(de), De febri epidemia seu petechiali probe agnoscenda et curanda Joachimi Burseri D[otoris] Annaebergensium medici, commentatio philosophica-medica, locupletata variis animadversionibus in opiniones hucusque receptas, circa pathologica quaedam tàm generalia quàm specialia [etc.], Lipsiae [à Leipzig], impensis haeredum Thomae Schüreri [chez les héritiers de Thomas Schürer], anno m.dc.xxi [l'an 1621], XIV-111 p., in-8° (lire en ligne).
↑Cinquième édition (1638) : (en) Democritus Junior [Robert Burton], The Anatomy of Melancholy, what it is, with all the kinds, causes, symptomes, prognostickes and severall cures of it, in three partitions, with their severall sections, members and subsections, philosophically, medicinally, historically, opened and cut by Democritus Junior [...], the fifth edition corrected and augmented by the author, Oxford, printed for Henry Cripps [imprimé pour Henry Cripps], (lire en ligne).
↑Claire Crignon, « Les Fonctions du paradigme mélancolique dans la préface de l'Anatomie de la mélancolie de Robert Burton », Astérion, vol. 1, (lire en ligne).
↑(la) Abraham Bzowski, Nomenclator sanctorum professione medicorum, anniversariam quorum festivitatem universalis celebrat Ecclesia, cura Fr. Abrahami Bzovii, s[acrae] theol[ogiae] mag[istri], ord[inis] pred[icatorum], ad antiquitatis memoriam elabor[atus], Romae [à Rome], typis Petri Discipuli [sur les presses de Petrus Discipulus], ciↃ iↃ cxxi [1621], 41 p., in-12 (lire en ligne).
↑Alain Ségal, « Propos informels sur la liste nominative de saints médecins proposée par Abraham Bzowski en 1621 », Histoire des sciences médicales, vol. 50, no 3, (lire en ligne).
↑(it) Pietro Castelli, Discorso della duratione de' medicamenti tanto semplici quanto compositi, di Pietro Castelli, filosofo et medico romano, opera utile tanto a medici quanto a spetiali, per la quale si cognosce il vero modo di giudicare qual si voglia medicamente o semplice, o composto, in Roma [à Rome], appresso Giacomo Mascardi [chez Giacomo Mascardi], mdcxxi [1621], VI-68 p., in-4° (lire en ligne).
↑(it) Pietro Castelli, Breve ricordo dell'ellettione, qualità et virtù delle spirito et oglio acdo di vitriolo, di Pietro Castello [etc.], Rome, Giacomo Mascardi, , 30 p., in-4° (BNF30204646).
↑(es) De Antonio Hernández Morejon, Historia bibliográfica de la medicina española, vol. 5, Madrid, imprenta de la viuda de Jordan é hijos [sur les presses de la veuve Jordan et fils], (lire en ligne), Esteban Rodrigo de Castro, p. 43-48.
↑(la) Esteban Rodrigo de Castro, Stephani Roderici Castrensis, Lusitani medici ac philosophi praestantissimi et in Pisana schola medicinam primo loco docentis, De meteoris microcosmi libri quatuor, cum indice rerum et verborum, Florentiae [à Florence], apud Junctas [chez les héritiers de Lucantonio Giunta], m.dc.xxi [1621] (lire en ligne).
↑(la) Proti Casulani, De lingua quà maximum est morborum acutorum signum, opus, in re medica novi argumenti, auctore Proto Casulano Senensi, Florentiae [à Florence], apud Perum Cecconcellium [chez Pietro Cecconcelli], m.dc.xxi [1621], XIV-144 p., in-4° (lire en ligne).
↑(la) Giovani Colle, Elucidarium anatomicum et chirurgicum ex Graecis, Arabibus et Latinis selectum, una cum commentariis in quartum libr. Avicennae fen tertiam, inserti sunt tractatus de vulneribus [etc.], clarissimi viri Ioannis Colle Bellonensis e nobilibus Sancti Bartholomei de Colle sereniss[imi] Urbini ducis archiatri, Venetiis [à Venise], apud Evangelistam Deuch[inum] [chez Evangelista Deuchino], m.dc.xxi [1621] (lire en ligne).
↑(la) Giovani Colle, Cosmitor medicaeus triplex, in quo exercitatio totius artis medicae loca dilucidata et quaesita varia decisa, ac consultationes medicinales et quaestiones practicae enucleatae proponuntur [...], auctore Ioanne Colle Bellonensi [etc.], Venetiis [à Venise], apud Baretium Baretium [chez Baretius Baretius], m.dc.xxi [1621] (lire en ligne).
↑Jean Dant, Le Chauve ou le Mespris des cheveux, par Jean Dant, Albigeois, à Paris, chez Pierre Billaine, m.d.c.xxi [1621], 198 p. (lire en ligne).
↑Guillaume de Lorris, Jehan de Meung et Dominique Martin Méon, Le Roman de la Rose, t. 2, Paris, P. Didot l'aîné, (lire en ligne), p. 449, n. 1 : « Chevelure ».
↑(la) Fortunato Fedele(it), Fortunati Fidelis […] Contemplationum medicarum libri XXII in quibus non pauca praeter comunem [sic] multorum medicorum sententiam notatu digna explicantur, Panormi [à Palerme], apud J[ohannem] B[aptistam] Maringum [chez Giovanni Battista Maringhi], , pièces liminaires, 312 p., in-4° (BNF30434505).
↑(it) Maria Muccilo, « Fedele, Fortunato », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 45, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑(la) Epifanio Ferdinando (préf. Cataldo Antonio Mannarino(it)), Epiphanius Ferdinandi, Centum historiae, seu Observationes et casus medici, omnes fere medicinae partes, cunctosque corporis humani morbos continentes [...] nunc primum in lucem editae, auctore Epiphanio Ferdinando philosopho et medico Messaplense e Salentinis [etc.], Venetiis [à Venise], apud Thomam Ballionum [chez Tommaso Baglioni], , pièces liminaires, index, 352 p., in-fol. (lire en ligne).
↑(la) Marquard Gude(de), Bibliotheca exquisitissimis libris in theologia, jure, medicina, historia literaria omnique alio sutidorum genere instructissima […] quae publica auctione distrahetur ad d[ie] 4 august[i] an[no]MDCCVI, Hambourg, Barthold Reuther, [1706] (lire en ligne), p. 159.
↑Deuxième édition (1622) : Arnaud Gilles, La Fleur des remedes contre le mal des dents, avec les remedes pour faire percer les dents aux petits enfans, inventée et pratiquée par Me Arnauld Gilles, operateur pour le mal des dents, dediée à Madame Marie Henriette de Bourbon, sœur du roy, seconde edition reveuë corrigée et augmentée de nouveau, à Paris, pour l'auteur, chez Nicolas Rousset, m.dc.xxii [1622] (lire en ligne).
↑(la) Jean Giraud, Consilium Apollinare Joannis Giraudi [...] periodicae arthritidi, Aquis-Sextiis [à Aix-en-Provence], apud J[oannem] Tholosanum [chez Jean Tholosan], (BNF30511509).
↑(la) Rudolph Goclenius, Tractatus physicus et medicus De sanorum diaeta, seu De septem rebus non naturalibus : aere, cibo et potu, somno et vigilia, motu et quiete, perturbationibus, excretis et retendis, cum appendice praecipuorum corporis humani morborum et symptomatum, scriptus per Rodolphum Goclenium, phil[osophiae] et medicae artis doct[orem] et profess[orem] in academia Marburgensi, etc., adjuncta Methodo curativa generali et compendiaria, ex Hippocratis, Galeni, Avicennae et Montani lacitis, in medicinae studiosorum gratiam descriptae, per Alphonsum Bertotium et Joannem Cratonem de Krafftheim, etc., Francofurti ad Moenum [à Francfort-sur-le-Main], impensis Joannis-Caroli Unckelii [aux frais de Johann-Karl Unckel], anno Christi MDCXXI [en l'an du Christ 1621] (lire en ligne).
↑(la) Johannes Günther (rép. Georg Mochinger), Affectuum complicatorum medendi methodi γυμνασματων ex Galeni methodi l. IX, cap. 5, depromptum, resp Georgius Mochingerus Thorino-Boruffus, Leipzig, , 4 p., in-8° (voir Johann Carl Heffte et Henri-Charles-Antoine Ravel).
↑(de) Ingel Keil et Thomas Wich, « Henisius Johannes,° 20.9.1585 Ulm, † 25.1.1656 Augsburg, Arzt », dans Günther Grünsteudel, Günter Hägele und Rudolf Frankenberger (dir.), Stadtlexikon Augsburg, Wissner-Verlag, , 2e éd. (lire en ligne).
↑(de) Johann Heins, Joh[annis] Henisii, Kurtzer, gründlicher und vollkommener Bericht von der Pestilentz : was derselbigen Natur, Ursprung u. Eygenschafft, auch wie man sich davor vermittelst göttl. Gnaden verwahren [...] solle, bedruckt zu Augspurg [imprimé à Augsbourg], durch Andream Aperger in verlegung Sebastian Müllers [par Andreas Aperger pour Sebastian Müller], im jar m.dc.xxi [l'an 1621], pièces limin., [10]-60 p., in-8° (lire en ligne).
↑Clovis Hesteau de Nuysement, Traittez de l'harmonie et constitution generalle du vray sel, secret des philosophes et de l'esprit universel du monde, suivant le troisiesme principe du Cosmopolite, œuvre non moins curieux que profitable, traitant de la cognoissance de la vraye medecine chimique, recueilly par le sieur de Nuisement, receveur général du comté de Ligny en Barrois, à Paris, chez Jeremie Perier et Abdias Buisard, m.dc.xxi [1621] (BNF6k, lire en ligne).
↑Antonio Clericuzio, « Les Débuts de la carrière de Boyle, l'Iatrochimie helmontienne et le Cercle de Hartlib », dans Myriam Dennehy (dir.) et Charles Ramond (dir.), La Philosophie naturelle de Robert Boyle, Paris, librairie philosophique J. Vrin, coll. « Analyse et Philosophie », (ISBN978-2-7116-2144-6, lire en ligne), « Interprétations : Le Texte et le Laboratoire », p. 52, n. 5.
↑(de) I u [auteur inconnu], « Lauremberg, Peter L. », dans Allgemeine Deutsche Biographie, vol. 18, Munich, Duncker & Humblot, (lire en ligne), p. 59.
↑(la) Peter Lauremberg(en), Laurus Delphica, seu Consilium quo describitur methodus perfacilis ad medicinam, Lugduni Batavorum [à Leyde], apud Johannem Maire, typis Petri Molinaei [chez Jean Maire, sur les presses de Pierre Du Moulin ], anno mdcxxi [l'an 1621], 56 p. (lire en ligne).
↑André du Laurens (trad. Théophile Gelée), Toutes les œuvres de Me André du Laurens, sieur de Ferrieres, con[seill]er et premier medecin du très-chrétien roy de France et de Navarre, Henry le Grand, et son chancelier en l'universite de Montpellier, recueillies et traduittes en françois par Me Theophile Gelée, medecin ordinaire de la ville de Dieppe, [imprimé] à Paris, pour Raphael du Petit Val, libraire et imprimeur ordinaire du roy à Rouen (lire en ligne).
↑(la) Michael Maier, Civitas corporis humani, a thyrannide arthritica vindicata, hoc est Podagrae, chiragrae et gonagrae quae, velut tyranni immanissimi artus extremos obsident et excruciant, methodica curatio [etc.], authore Michaele Maiero, com. pal. phil. et med. D. equiti nob. exempto, olim Caes. Maiest. Rudolphi II, aulico medico, etc., Francofurti [à Francfort], impensis Lucae Jennis [chez Lucas Jenne], anno [M]DCXXI [l'an 1621], 216 p., in-8° (lire en ligne).
↑(la) Giovanni Manelfi, Ioannis Manelphi Eretani, Sabini, medici et philosof[i] Romani, Responsio brevis ad Annotationes Prosperi Martiani Saxolensis, in commentationem Marsilii Cagnati Veronensis super Aphorismo concocta 22. lib.I Hippocratis, Romae [à Rome], apud haeredem Bartholomaei Zanneti [chez les héritiers de Bartolomeo Zanneti], m.dc.xxi [1621], pièces lim., 100 p., in-8° (lire en ligne).
↑(it) Saverio Franchi, « Manelfi, Giovanni », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 68, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑(la) Gregorio Martini, Commentatiuncula in libri qui inscribitur de chymicorum cum Aristotelicis et Galenicis consensu ac dissensu caput XI, quod est De principiis chymicorum, tractationem quaestionis novam perque utilem continens, an sal, sulphur et mercurius sint prima perfecte mixta et reliquorum perfecte mixtorum principia, autore Gregorio Martini, suibus Sil. doct. et ducatus Wolavici in ejus Mesopoli, quae est Steinovia ad Oderam physico, Francofurti ad Oderam [à Francfort-sur-l'Oder], typis Friderici Hartmanni, impensis Martini Guets [imprimé par Fridericus Hartmann pour Martinus Guets], m.dc.xxi [1621], pièces limin., 243 p., in-8° (BNF30898440, lire en ligne).
↑(es) Alonso Muñoz, Instruccion de los barberos flobotomianos, por Alonso Muñoz, sangrador de su Magestad y su protobarbero, y examinador general de los barberos flobotomianos del reyno, en Madrid [à Madrid], por la viuda de Alonzo Martin [par la veuve d'Alonzo Martin], (lire en ligne).
↑ a et b(es) Andrés de Tamayo, Tratados breves de algebra y garrotillo, por el licenciado Andres de Tamayo, medico y cirujano, hijo del licenciado Tamayo, cirujano de su Magestad, con una Instruccion de los barberos flobotomianos, por Alonso Muñoz sangrador de su Magestad, en Valencia [à Valence], por Ivan Chrysostomo Garriz a costa de Filipo Pincinali [par Ivan Crisóstomo Gárriz pour le compte de Filipo Pincinali], (lire en ligne).
↑Jean-Baptiste Morgagni (trad. Marie-Alexandre Desormeaux et J. P. Destouet), Recherches anatomiques sur le siège et les causes des maladies, t. 5, Paris, Caille et Ravier, (lire en ligne), « Trente-septième lettre anatomo-médicale : De l'ictère et des calculs biliaires », p. 613.
↑(la) Aurelio Palazzoli, Aurelii Palazzoli equitis medicus, ad Scipionem Cobellutium S. R. E. cardinalem amplissimum, Venetiis [à Venise], typis Andreae Muschii [sur les presses d'Andrea Muschio], ciↃ iↃ cxxi [1621], [8]-XXXIX-[3] p., in-4° (BNF31052016).
↑David de Planis Campi, La Petite Chirurgie chimique médicale, ou est traicté amplement de l'origine des maladies et curation d'icelles, par David de Planis Campi, edelphe chirurgien espageric, a Paris, chez Jeremie Perier et Abdias Buissart, (lire en ligne).
↑(la) Francesco Plazzoni, De partibus generationi inservientibus, libri duo, quibus omnium et singulorum utriusque sextus ad generationem concurrentium, structura, actiones et usus perspicua brevitate explicantur, et multa circa eadem problemata enodantur, Patavii [à Padoue], (réimpr. ibid. 1624, Lugd. Batav. 1644 et 1664).
↑(es) Maria del Mar Rey Bueno, « « Concordias medicilanes de entrambos mundos » : El proyecto sobre materia médica peruana de Matías de Porres (fl. 1621) », Revista de Indias, vol. 66, no 237, (lire en ligne).
↑(la) Johann Raicus(et), Iohannis Raici, medicinae licentiati et Marieaeburgi Borussorum p. t. practici, Tractatus de podagra medico-kimicus, Francofurti [à Francfort], in officina Danielis et Davidis Aubriorum et Clementis Schleichii [chez Daniel et David Aubry et Clemens Schleich], anno m.dc.xxi [l'an 1621] (lire en ligne).
↑(la) Johann Robertus, Curationis magneticae et unguenti armarii magica impostura clare demonstrata Johanne Roberti Societatis Jesu sacerdote, s. theol. doct., modesta responsio ad perniciosam Disputationem Io[annis] Baptistae ab Helmont Bruxellensis medici pyrotechnici contra eumdem Roberti acerbe conscriptam, Luxemburgi [à Luxembourg], excudebat Hubertus Reuland [imprimé par Hubert Reuland], anno 1621 [l'an 1621], pièces limin, 101 p., in-8° (lire en ligne).
↑(it) Gioseppe Rosaccio, Il medico del dottore in filosofia et medicina et osseruatore de' motti celesti Gioseppe Rosaccio, libri tre, in questo primo si tratta della nobilità, et eccellenza dell'astrologia, et si proua con molte autorità, quanto sia di giouamento al perito medico, per la quale si possono congetturare gli strani accidenti, che sogliono venire nelle malattie di ciascun viuente [etc.], in Venetia [à Venise], appresso Pietro Farri [chez Pietro Farri], m.dc.xxi [1621], pièces limin., 308 p. et la table, le livre troisième manquant, in-4° (lire en ligne).
↑(la) Melchior Sebisch, Disputationes de recta ratione purgandi docentes quos quibus pharmacis et quo tempore purgare deceat, in inclyta Argentoratensium academia ingenii exercendi gratia proposita a Melchiore Sebizio Juniore, doctore et professore medico, Argentorati [à Strasbourg], typis Joannis Reppi [sur les presses de Johann Repp], anno m dc xxi [l'an 1621] (lire en ligne).
↑(de) Geiselbrunner, Elias, fl. 1610-1650, Alvin, s. d. (lire en ligne).
↑Bernard Cottret (dir.), L’Édit de Nantes, Perrin, coll. « Tempus », (lire en ligne), Notes, p. 611-615, n. 100, [§ 997 en ligne].
↑Abraham Elintus [Daniel Tilenus], Advertissement à l'assemblée de La Rochelle, par Abraham Elintus, docteur en médecine, à Paris, chez François Julliot, mdc.xxi [1621], 30 p., in-8° (BNF31469978).
↑Pierre Tremarc, Recueil des secrets admirables inventez et mis en œuvre par des grands et signalez philosophes, astrologues et médecins, tant de Perse que d'Éthiopie, recueillis, expérimentez et traduits des susdites langues en cette cy, par moi, Pierre Tremarc […] pour l'utilité tant des curieux et malades, que pour la conservation de la santé et longue vie [etc.], Bourdeaus [Bordeaux], S[imon] Millanges, [1621], 15 p., in-8° (BNF31492353).
↑Voir (en) Peter Krivatsy, A Catalogue of Seventeenth Century Printed Books in the National Library of Medicine, Bethesda (Maryland), U.S. Departement of Health and Human Services, (lire en ligne), p. 687, no [6722].
↑(la) Valentino Junior, Observatio admiranda de ejectione membranarum sanguinolentarum per secessum formam vipere referentium, ubi de fluxu hepatico larga fiet disputatio, auctore Valentino Juniori, medico ac physico Veneto, Venetiis [à Venise], apud Petrum Milocum [chez Pietro Miloco], mdcxxi [1621], [16]-91-[5] p., in-8°, dédicace, table, fig. au titre, marque typogr. à la fin (lire en ligne).
↑Rémi Franckowiak, « La Poudre de sympathie : Une potion magique », dans La Recherche, Éditions Croque Futur, (lire en ligne), p. 92-94.
↑Jean-Baptiste Van Helmont, Ioan[nis]-Bapt[istae] Helmontii, De mag[netica] vulnerum curatione, disputatio contra opinionem Ioan[nis] Roberti, presbyteri de Societate Jesu, doctoris theologi, in brevi sua anatome sub censurae specie exaratam, Parisiis [à Paris], apud Victorem Le Roy [chez Victor Le Roy], m.dc.xxi [1621] (lire en ligne).
↑Discours de l'hydropisie, des causes d'icelle, quelle est la guarisable, et quelle est celle qui ne guarit jamais, Sens, George Niverd, , in-8° (BNF33349893).
↑(la) Paul Zacchias, Pauli Zacchiae medici romani Quaestiones medico-legales, in quibus omnes eae materiae medicae quae ad legales facutates videntur pertinere proponuntur, pertractantur, resolvuntur [etc.],liber primus, Romae [à Rome], sumptibus Andreae Brugiotti, apud Jacobum Mascardum [pour le compte d'Andrea Brugiotti, chez Giacomo Mascardi], mdcxxi [1621], pièces limin., 384 p. (lire en ligne).
↑E[lzéar] Ortolan, « Débuts de la médecine légale en Europe, comme institution pratique et comme science », Revue de législation ancienne et moderne française et étrangère, vol. 2, , p. 96-97 (lire en ligne).
↑(la) Fortunato Fedele, Fortunati Fidelis medici, De relationibus medicorum libri quatuor, in quibus ea omnia quae in forensibus ac publicis causis medici referre solent, plenissime traduntur [etc.], Panormi [à Palerme], apud Joannem Antonium de Franciscis [chez Giovanni Antonio de Franciscis], mdcii [1602], pièces limin., 352 p. et index (lire en ligne).
↑Édouard Reichenbach, Étude historique et critique de l'expert médico-légal en France, en Allemagne (Prusse) et en Suisse (cantons de Berne et Vaud), Lausanne, Lucien Vincent, (lire en ligne).
↑Didier Kahn, « Le Sieur de Beauvallet, médecin, poète et alchimiste, et ses tentatives d'approche de Louis XIII vers 1621 », dans Sylvain Matton (dir.), Alchimie et philosophie mécaniste : Expérimentateurs et faussaires à l'âge classique, Paris, S. É. H. A., coll. « Textes et travaux de chrysopoeia » (no 16), 320 p. (ISBN978-88-72-52322-3, lire en ligne).
↑« Willis (Thomas) », dans Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 4, Mons, H. Hoyois, (lire en ligne), p. 777-779.
↑L[ouis] H[ah]n, « Willis (Thomas) », dans Amédée Dechambre (dir.), Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, 5e série, t. 3 : Ver-Zyt, Paris, G. Masson, P. Asselin, (lire en ligne), p. 841-842.
↑Claude Dorveaux, « Apothicaires membres de l'Académie royale des sciences, 1 : Claude Bourdelin », Bulletin de la Société d'histoire de la pharmacie, vol. 17, no 64, , p. 290-298 (lire en ligne).
↑Jacqueline Carolus, « La Modeste Carrière de Pierre Poirot (1621-1673), maître chirurgien à Nancy », Lettres du musée de la faculté de médecine de Nancy, no 69, (lire en ligne).
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 2, Mons, H. Hoyois, (lire en ligne), « Hoorne, (Jean Van) », p. 559-561.
↑L[ouis] H[ah]n, « Hoorne (Johann van) », dans Amédée Dechambre (dir.), Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, 4e série, t. 14 : Her-Hyg, Paris, G. Masson, (lire en ligne), p. 270-271.
↑(en) William Munk(en), « George Joyliffe », dans Inspiring Physicians (Munk's Roll), vol. 1, Royal College of Physicians, (lire en ligne), p. 280.
↑(en) Malcolm Oster, « Joyliffe, George (1621–1658) », dans Oxford Dictionary of National Biography, (présentation en ligne).
↑(de) Franz Gundlach(de) (dir.), Catalogus professorum academiae Marburgensis, vol. 1 : Von 1527 bis 1910, Marbourg, N. G. Elwert'sche Verlagsbuchhandlung, G. Braun, (lire en ligne), p. 388-389, no 689 : « Rudolph Goclenius d. J. 1608-1611 ».
↑(en) Thomas P. Hugues, Medicine in Virginia, 1607-1699, Williamsburg (Virginia), Virginia 350th Anniversary Celebration Corporation, (lire en ligne).
↑(en) David Kachlik, David Vichnar, Dana Kachlikova et al., « The Life and Work of Jan Jesensky (1566-1621), the Physician of a Dying Time », Journal of Medical Biography, vol. 21, no 3, (résumé).
↑(de) Röhrich Heinz, « Jessen(ius), Johannes (Jan Jessenskský) (Reichsritterstand 1608) », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 10, (résumé).
↑(it) Marco Leone, « Mannarino, Cataldo Antonio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 69, Istituto Treccani, (lire en ligne).
↑(de) « Stupanus, Johann Niklaus », dans Thesaurus, Londres, CERL, (lire en ligne).
↑« Jacques Fontaine (15..-1621?) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 6 août 2021)].
↑Jacques Fontaine, Des marques des sorciers et de la reelle possession que le diable prend sur le corps des hommes, sur le sujet du proces de l'abominable et detestable sorcier Louis Gaufridy […], Lyon, Claude Larjot, (lire en ligne).